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Je m'habille donc rapidement pour me rendre dans ce putain de restau croisant tous mes doigts et priants tous les Dieux possible et inimaginable pour que mon tel soit encore là-bas. Oui c'est idyllique comme pensée mais l'espoir fait vivre, non.

 Oui c'est idyllique comme pensée mais l'espoir fait vivre, non

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Ma conscience : Il n'y sera plus ~Moi : Je sais ! Mais, laisse-moi y croire !


Je marche jusqu'au métro et me laisse emmener jusqu'au restaurant avec la vague conscience que je fais ça pour rien. Il y a foule à cette heure-ci. En même temps, il est plus de midi et les gens sortent pour aller manger un bout. J'aurais dû faire la même chose. Je souffle dans mon masque. L'air est irrespirable aujourd'hui et un gros nuage de particules flotte au-dessus de la capitale du pays du matin frais.

Je continue mon chemin et arrive bientôt devant le restaurant. Je m'engouffre à l'intérieur et un serveur me salue en s'inclinant avec respect devant moi. Je lui réponds de la même manière et lui demande s'il n'aura pas vu un téléphone laissé hier sur l'une des tables. Il me regarde d'un air désolé avant d'aller demander à ses collègues. Il revient toutefois devant l'air penaud. Je le remercie avant de sortir du restaurant vaincu.

Ma conscience : Je te l'avais dit !Moi : Tais-toi ! Je réfléchis !Ma conscience : Ah ! Parce que tu en es capable.


Qu'est-ce que je vais bien pouvoir faire maintenant ? Déjà rentrer chez moi. Une fois là-bas, je reprends mon vieux téléphone et je compose mon numéro. Ça sonne...

***

Annyeong mes Michel ! Voilà la correction du chapitre 2 ! J'espère qu'il vous plaira ! 


L'inconnu Connu [TERMINÉ] [EN REECRITURE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant