SEDUIS-MOI

11• haine

                             Justin

C'est tellement plus simple de fuir que de se battre pour se que l'on veut.

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Je sort de l'école en commençant à réfléchir.

Comment vais-je annonçer mon renvoi de trois jours à mon père ?

Après m'être battue avec le même mec qui traînait avec Léa, le directeur m'a renvoyer pour 3 jours.

Si j'etais un de ses fils à papa, je serai déja aller le raconter à mon « papa » pour qu'il arrête de couvrir quelques frais de cet etablissement.
Mais malheureusement, je n'en suis pas un. Si j'ose aller me pointer en face de mon partenel pour lui dire ça, je le payerai de ma vie.

Si mon géniteur apprend mon renvoi, il risque de me le faire payer de la pire des manières. Il me sermonera à longueurs de journées, m'arrachera mon scoot et tous mes appareils éléctroniques et m'interdira de sortir.

Je me suis déja amuser à jouer avec ses supposés « règles à ne pas franchir » et je me suis retrouvé les mains liés sans savoir quoi faire.

Mon père trouve que je dois prendre très à coeur mes études car dans quelques années, c'est moi qui deviendrai son succedeur dans l'entreprise familiale.

J'ai nullement envie de devenir PDG de cette entreprise mais lorsque Peter Mclaren l'a decider, y'a t-il un autre chemin à empreuter?

J'ai toujours voulu devenir acteur mais mon père s'y est farouchement opposé et vaut mieux de ne pas le contredir dans ses prises de desicions.

Je file tout droit à la maison où je trouve la voiture de mon père déja garée. Ne serai t-il pas en voyage ?

Je prend mon courage à deux mains et entre dans la maison. Je retrouve mon père, ma mère et Léa à table.
Je fais semblant de ne pas les voir en empreutant les escaliers mais je suis intercepter dans ma lancée par mon père :

— Où vas-tu Justin ? Crie t-il dans mon dos.

Je serre la machoire et les poings en me retournant. J'avance à petits pas en gardant la tête droite pour ne pas me faire marcher sur les pieds. Car il profite de toutes les occasions pour me marcher sur les pieds.

— Je montais dans ma chambre. Quesqu'il y a ? Je demande en fronçant les sourcils.

Léa me regarde, le visage plein de regret. Elle s'en veut car c'est de sa faute si je me suis fait renvoyer temporairement. Je l'ai encore suprise avec le même garçon avec qui elle couchait. J'ai défonçé ce mec trés violemment, ce qui m'a fallu un tour dans le bureau du directeur. Je ne suis pas violent d'habitude mais ce gars l'a bien chercher. Je lui avais dit de ne plus approcher Léa et il l'a fait.

Ma soeur ne sait pas que si je fais tous ça c'est parceque je crains pour sa vie. Léa ne mérite pas de tomber sur une crapule qui lui fera du mal comme je l'ai été pour... Lina.

— N'essait pas de me cacher la vérité, je l'aurai su tôt où tard. Je sais que tu as été vulgairement renvoyer comme un de ses gosses de pauvres.

Voilà qu'il prend encore ses grands airs de riche.

Je suis cramé, je voulais lui cacher la verité mais je parie que c'est Léa qui a cracher le morceau.

— C'est toi pas vrai ? Demande-je à l'intention de ma frangine.

Elle baisse la tête et mon père se contente de prendre le relais.