VI.

21 6 0
                                    

Seul. Je peux enfin me mettre à pleurer sans que personne ne m'en demande la raison.

Je ne saurais pas quoi leur répondre de toute façon.

Alors je pleure, je me fais du mal pour me faire payer le depravé mental que je suis.
Il est tard, je me retiens de crier pour ne reveiller personne.

Minuit.

Je suis fatigué. Mes yeux gonflés de larmes se ferment tout seul.

Minuit vingt et une.

Je m'endors enfin.

Je ne voulais pas leur faire mal, juste les tuer. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant