DRONE

Un Début à Tout

- Eladio...

- Chérie.

- Je suis à bout de souffle, Élizionne s'est endormit avons nous encore un long chemin à faire ? Je crois bien que le roi Icarus ne va pas tarder à nous rattraper.

- Le parallèle n'est plus très loin ma douce ne t'inquiète plus autant nous allons la protégé coûte que coûte ! Je te le jure sur mon honneur de sang déchu.

- Pourquoi à t -il fallu que mon bébé soit la dro...

- Syvéria... ma chérie attenti...

- Eladio ! Non !

                                                 Point De Vue Eladio

Je suis trainé en arrière par une sorte de chant magnétique que je n'arrive pas à contrôler. J'observe ma femme se faisant torturer pas des coups d'éclairs et je me sens impuissant? moi? qui suis supposer être le ténébreux, le plus fort des déchu. Mais où est ma fille  ? ma Eli ? mon petit diamant noire ? Je ne la vois plus. Pendant que je parcoure les environs avec mes yeux ignorant de plus belle ma douleur, tout d'un coup je ne sens plus rien. Comment ça ? suis-je entrain de mourir ? Non ! je ne meurs pas ? je suis libre ! ma femme aussi ! comment est-ce possible ?

- Syvie ? ma douce ouvre les yeux je t'en prie .

- Eli...mon béb...

- Ne t'inquiète pas ma chérie je vais la retrouver elle n'est pas loin, son amulette me conduira à elle. De grâce repose toi.
   
- Sauve la...Il faut que...Tu dois...Eli !

- Ma douce ? Syvéria? Syvéria? Syvie... Non...Non!!

  Je pose mon oreille délicatement sur sa poitrine pour me rendre compte que son cœur ne bat plus mais étrangement je peux toujours sentir sa douce respiration chaude sur mon coup. Mais comment ça se fais ? Est-ce mon imagination ? est-ce moi qui refuse de la savoir morte ? pourtant elle est si paisible , si belle. Je ne tarde pas à plonger mes doigts dans sa chevelure noire, d'un noire si intense et si beau à la foi qui finit par me rappeler ma fille ! oui ! Elle aussi a la même chevelure noire et de grand yeux dorés pouvant attendrir n'importe qui.(sauve la). Finalement ces quelques mots finissent par se frayer un chemin jusqu'à mon cerveau me faisant reprendre conscience. Je couchait donc délicatement la tête de ma femme quand je remarque une petite fille de 2ans reniflant l'air comme pour s'empêcher de pleurer. Ses grand yeux dorés rempli de larmes.

- Élizionne !