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« Selem A3leykoum »

Nadjib : TÉTAIS OÙ PUTAIN ?!

Younes : J'ai pas de compte à te rendre !

Nadjib : C'est à moi que tu parles !?

Younes : NON NON À JESUS !

Nadjib : JE VAIS TE NIKER PUTAIN !

Younes : VAS-Y C'EST BON CASSE PAS LA TÊTE PUTAIN !

Nadjib : TU CROIS QUE T'ES AU TÉLO TU VIENS ET TU PARS COMME TU VEUX ! TU DONNES PAS DE NOUVELLES EN PLUS ! ET TU ME DIS QUE T'AS PAS DE COMPTE À ME RENDRE ! JE VAIS TE FRAPPER COMME UN GOSSE PTIT CON !

Younes : T'EN AS PAS MARRE SE GUEULER OH LA TÊTE DE MA MÈRE ! COMPORTE TOI COMME UN DARON !

Nadjib a vu rouge. Je ne suis pas intervenue parce que la dernière c'est mon dos qui a pris. Donc voilà ...

C'est pas d'un coup mon père donne un coup de poing à Younes.

Moi : STOOOOOOOPPPP IL EST DÉSOLÉ !

Nadjib : FERME TA GUEULE TOI !

Younes : PARLES LUI BIEN AUSSI !

La c'est parti en couille ! Nadjib et Younes ont commencé à se battre. Quand je dis se battre c'est vraiment chaud. Vous voyez quand il y a un bourbier dans la cité et que deux gars se place pour se battre. Et bah c'est ça.
Ils se sont mis des vrais coups que ce soit Nadjib ou Younes.
Ils se sont mis en sang...

Ilyes : KAMILA IL FAUT QU'ON LES SÉPARE ILS VONT SE TUER !!

Moi : STOOOOOP S'IL VOUS PLAÎT !!

Nadjib : JE VAIS TE BUTER !!

Je me jette sur mon père pour qu'il arrête de frapper Younes. Il se retourne pour me donner un coup de poing sur mon nez. Je pisse le sang... Et il retourne sur Younes.

Je prend mon téléphone pour appeler la police sinon il y aura un mort c'est sûr.

Quelques minutes plu tard les policiers étaient dans l'appartement Younes et Nadjib en sang était menottés.
Les pompiers sont arrivés à la suite pour les soigner et me soigner.
Ensuite Younes et Nadjib ont été placés en garde à vue et transporté au commissariat.

Moi je suis restée avec Ilyes à la maison.

Dans la peau de Younes

Après 3 heures de garde à vue on est enfin libérée. J'avoue que pour une fois la garde à vue m'a permis de réfléchir un peu. Je suis allé trop loin avec mon daron. C'est mon daron et pour aucunes raisons je ne peux le frapper comme si c'était un gars de la tess...

Ils nous ont fait sortir en même temps je vais le voir.

Moi : Je suis désolé ! La vie de ma mère ! Je me suis comporté comme un sauvage et je ne t'ai pas respecté ...

Nadjib : Vas-y on bouge !

Des gars sont venues nous chercher pour qu'on aille à la villa.

Chronique de Kamila : Au Nom De La CitéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant