Avant de sauter, j'ai dut prononcer une phrase, disant que j'avais tué mon fils, et mes deux enfants. Et bien, c'est le cas.
En allant à l'enterrement de mon fils, j'ai compris. J'ai eut deux réponses. La première répondait à la question de la solution miracle apportée aux prisons. Et la deuxième répondait à la question que je me poses depuis mon arrivée à l'ISEL. Soit : Sur quoi sont effectués les tests de nos produits ?
Quand j'ai vu l'état de mon fils dans son cercueil, j'ai craqué. Il était maigre comme une brindille.
Tu ne dois certainement pas encore comprendre, mais moi j'ai tout de suite fait le rapprochement. J'étais perdu. Alors après les funérailles, je suis revenu à l'ISEL. Au lieu de monter au labo n°26, je suis descendu au plus profond des sous-sols.
Là, j'y ai trouvé des centaines d'hommes et de femmes, en pleine agonie, ou déjà morts, tous malades ou déformés.
Et là, j'en ai eut le cœur net et j'en était sûr : Les prisons ont été vidées dans nos laboratoires. »
J'ai lâché les flacons, les laissant explosés sur le carrelage. Sous l'horrible regard d' Elisabeth.
FIN
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Eux
Short StoryWendy Staylor, jeune scientifique diplômée est embauchée à l'ISEL. Son quotidien, non différent de celui d'une jeune femme ordinaire s'apprête à changer quand elle comprendra la vérité.
