Les mémoires vampiriques de Natasha Salvatore

Chapitre 5 ✅

Bonjour !

Avant toutes choses, vraiment désolé pou le retard, j'ai pas d'excuse cette fois.

Donc voilà le nouveau chapitre, qui sera plus centré sur le type de relation qui commence à s'installer entre Nicklaus et Natasha.

Donc bon chapitre, et encore désolé du retard. Je vous poste le chapitre six dès que possible.

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1947

« -Vous n'êtes que des incapables ! »

La vampire envoya jeta violemment son verre, qui se fracassa contre le mur. Les trois hommes, à genoux sursautèrent sous l'excès de fureur de leur patronne.

« -Vous ne comprenez même pas pourquoi je suis dans cette état. J'ai passé tellement d'année à élaborer cette stratégie. Et vous ! En moins e deux mois, de deux petits mois, vous l'avez ruiné. »

Elle s'approcha lentement d'eu, et s'agenouilla à leurs niveaux.

« -Vous comprenez ? Vous comprenez que je ne peux pas laissez-passer ça ? Que par votre faute, je suis prisonnière pour encore de nombreuses années ? »

Elle les regards droits dans les yeux, chacun leur tour, avant de se relever précipitamment. Soudain, Natasha fut prise d'un rire nerveux. Toute ces années, où elle pourchassait sa liberté, venaient d'être balayé par ces trois abrutis. Non, elle n'allait pas laisser passer ça. Surement pas.

« -Mademoiselle Salvatore, je suis terriblement désolé...mais nous ne pouvions rien faire...elle...

-Tait toi ! hurla-t-elle en se retournant. Encore un seul mot qui sort de sa bouche, et je t'arrache les cordes vocales. C'est clair ? »

L'homme qui venait de parler hocha la tête, ne voulant pas perdre la parole. Natasha eut un sourire a cette vision. Un sourire Malsain, digne de l'homme qui l'héberge. Elle s'approcha et se posta devant lui.

« -Relève toi. Maintenant. »

L'homme hésita, mais ne préféra pas contredire la vampire. Il la surplombait d'un demi-tête, pourtant c'était bien elle qui était position de force. Elle le regarda, toujours son sourire sur le visage. Soudainement, elle plongea sa main dans sa poitrine, et lui retira son cœur. Le cadavre de l'homme s'écroula, sous les regards horrifiés de ses anciens partenaires.

« -Un de vous connais-t-il son nom ? demanda-t-elle en désignant le corps inanimé de la tête. »

Les deux survivants se regardèrent, hésitant à parler. Mais ils virent que la vampire commençait à s'agacer.

« -Il s'appelait Marchal, mademoiselle.

-Bien. »

Le cœur de sa victime toujours dans la main, elle se dirigea vers l'homme qui avait choisis le silence, et d'un coup sec, lui planta son talon aiguille dans le crâne. Son dernier employé respira vite, ayant peur de sa future mort. Au lieu de ça Natasha lui laça le cœur en plein visage.

« -Remet ça à sa famille. E suis sur qu'elle adora avoir un souvenir.

-O...Oui ma...mademoiselle.

-Ne bégaye pas, tu ne mourras pas. Du moins pour aujourd'hui. Après avoir remis le cœur, tu repartiras à la recherche de Katherine. Tu suivras mes instructions à la lettre, et si tu échoue, ton sort sera bien pire que le leur, lui dit elle en désignant les deux cadavres. Compris ?

-Oui mademoiselle, répondit-il avec difficulté.

-Bien, maintenant pars. »

L'homme s'empressa de se relever, et sortit précipitamment de la pièce. Natasha se retrouva seule, dans une marre de sang. Puis, comme si elle venait de se réveiller d'un long sommeil, elle retrouva sa lucidité. Elle regarda ce spectacle macabre, tout en portant ses mains à sa bouche pour étouffer un cri. Un cri de détresse. Parce qu'elle avait replongé, même si on l'avait poussé. Ses jambes se mirent à tremblés, et cédèrent. La vampire s'écroula à son tour, ses yeux posés sur ses deux victimes. L'odeur du sang enivrait ses narines, mais Natasha refusa de le boire. Elle avait tué ces hommes de sang-froid, elle leur devait un minimum de respect. Pourtant, l'appel était fort. Et à ce moment, elle était des plus susceptible à céder. Mais elle leu devait, au moins ça.

La porte s'ouvrit avec un léger grincement, et une silhouette s'engagea dans la pièce. Sans même un regard pour celle-ci, elle sut immédiatement qu'il s'agissait de lui. Son geôlier, tortionnaire, et amant.

« -Pourquoi ? demanda-t-elle. Pourquoi m'avoir hypnotisé pour faire...ça ?

-Parce qu'ils ne le méritaient pas, ma douce ?

-Personne ne mérite ça Niklaus, personne.

-Tu aurais été bien trop indulgente avec eux, lui dit il en s'agenouillant près d'elle. Ils n'auraient pas eu ce qu'ils méritaient. Je devais m'assurer que justice soit rendu. »

Natasha se retourna vers lui, furieuse. Elle le poussa violemment, et il fut propulsé au sol. L'élan le fit traîner sur le sol, et sa tête rencontra le mur.

« Comment ose-tu me parler de justice ? u ne sais même pas ce que ce mot signifie. Tu penses que tué deux humains étaient juste ? Parce qu'ils n'ont pas réussi à avoir Katherine ? Qui, elle, est un vampire ? Non Niklaus, la seule injustice est qu'ils ont croisé ton chemin. »

Il se releva, et ils se regardèrent en chien de faïence. Puis, avec précipitation, Niklaus se dirigea vers Natasha et a plaqua contre le bureau.

« -Je devrais donc m'en prendre à toi ? Car c'est bien toi qui à élaborer tout cette stratégie. Répond moi trésor, n'est tu pas heureuse de n'avoir reçu aucune sanction ?

-Ce n'est ni ma faute. Personne ne pouvait prévoir qu'elle mettrait le feu au bar.

-Si. Toi tu le pouvais. Tu la connais suffisamment, c'est pour ça que tu es à mon service. »

Natasha voulu répondre, mais Niklaus la releva soudainement, et la plaqua contre son corps avant de plaqué ses lèvres sur les siennes. L'originel l'embrassait, lui faisant passer toute sa haine, exactement comme elle. Ils se séparèrent, mais leurs visages restèrent proches, leurs fronts collés.

« -J'espère pour toi que la prochaine fois soit la bonne...sinon je serai de prendre des mesures en fonction de tes erreurs, dit-il en balayant tous les objets du bureau. »

Puis, il posa la vampire sur le meuble, et recommença à l'embrasser. Ce qui était le plus étrange, c'est que Natasha avait l'habitude de ce schéma, de ce cercle vicieux. Il la torturait, d'une certaine manière, puis couchait avec, comme pour la soigner, avant de recommencer. Était-ce une marque d'affection ? Elle ne le savait pas. Et en cet instant, lorsque les lèvres de l'originel descendaient sur sa gorge, tout en enlevant les pressions de sa robe, elle s'en moquait royalement.