Zoya prit la peine de réfléchir un instant puis décida qu'il était plus important de sauver Elijah que sa propre vie.
C'est alors qu'elle compris la nature de ses sentiments envers lui.
Ça avait commencé aux États-Unis, lors de leurs nombreux jours passés ensemble à rigoler ou à se disputer.
Zoya: Zoya Slovovitch et mon mari Elijah Adamovitch.
Le médecin parut réfléchir un instant, peut être parce qu'il avait déjà entendu ces noms quelque part.
Il partit en direction d'une salle, la laissant seule dans le doute.
Quelques heures plus tard, assise depuis un long moment à réfléchir elle vit le médecin de tout à l'heure revenir vers elle.
Le médecin: Monsieur Adamovitch est tiré d'affaire madame.
Elle sauta de joie en entendant ses mots.
Zoya: OH c'est super. Merci, beaucoup.
Il l'emmena ensuite dans la chambre d'Elijah.
À peine installée à ses côtés Elijah l'embrassa à pleine bouche.
Elijah: J'ai eu peur de ne jamais te revoir.
Zoya: Moi aussi.
Le médecin les observa un long moment, puis jugeant qu'il était de son devoir de les avertir de la suite...
Le médecin: Je n'ai pas pu m'empêcher de faire des recherches sur vous. La police ne vas pas tarder à arriver.
Puis il les laissa la, voulant leur laisser seul, leurs derniers instants de liberté.
Enfin c'est ce qu'il croyait.
Zoya ne bougeait pas, préférant ne pas faire souffrir plus Elijah avec sa récente opération.
Mais Elijah n'était pas de son avis.
Elijah: Qu'est ce que tu fait ? Allez bouge toi.
Zoya: Mais Elijah tu es encore trop faible pour ça.
Elijah: J'aime bien que tu t'inquiètes pour moi mais la il en ai du ressort de notre liberté et je ne permettrai personne de se mettre en travers de notre chemin c'est clair !
Zoya: Oui oui.
Elle se releva du lit aussitôt, prête à en découdre avec le monde entier.
Il lui dit d'ouvrir la fenêtre et de regarder si ce n'était pas trop haut.
Il y avait une certaine hauteur, elle pouvait y arriver sans soucis mais pour Elijah la chute serait plus dur.
Elle prit donc les du lit d'hôpital et en accrocha une des extrémité au barreau du petit balcon.
Elle tira dessus pour vérifier si cela résisterait à son poids.
Elle fit signe à Elijah d'enlever ses perfusion et il s'elança en rappel pour atteindre la terre ferme.
Zoya en fit de même et à peine arriver en bas qu'ils entendirent les sons des girophares de la police arriver.
Malheureusement pour la police aujourd'hui ne serais pas encore le jour où ils perdraient la liberté.
Ils s'élancent dans le parking pour trouver une voiture pour s'enfuir.
Une petite voiture toute simple attira leur attention.
Zoya maîtrisait à la perfection l'art de voler sans s'en rendre compte et elle allait user de ses talents.
Elle trouva un petit morceau de fil de fer par terre, heureusement pour elle d'ailleurs.
Puis elle s'activa à ouvrir la porte de la voiture puis ils s'y engoufrèrent.
Pendant ce temps là les policiers étaient arriver à l'hôpital et s'apprêtait à arrêter les deux fugitifs.
Malheureusement quand ils ouvrirent la porte ils ne trouvèrent qu'un lit vide ou fusait encore les fils reliés à Elijah Adamovitch.
Ils inspectèrent la pièce à la recherche d'un quelconque indice.
Un homme vint à leur rencontre.
L'homme: Ils ont volés ma voiture !
La police: Comment est-elle ?
Il leur décrivit sa voiture et ils lancèrent tout de suite un avis de recherche.
Un signalement ce fit entendre dans le centre ville, une voiture correspondant à celle décrite à été aperçue.
Ils accourirent donc à cet endroit.
Une course poursuite se mit en route, mais malheureusement pour les fugitifs les policiers les encerclèrent.
L'inspecteur qui les avaient pris en charge lors de leur première arrestation s'avança ainsi que pleins de policiers, armés jusqu'au dents.
Mais lorsqu'ils arrivèrent à quelques mètres de la voiture...
Elle explosa...
Le prochain chapitre sera l'épilogue.
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Very Bad Love
Roman d'amourSasha Chaikovski est une femme aux multiples facettes. Elle est aussi belle que dangereuse. Quand à lui, Elijah Adamovitch, il est un homme qui derrière sa façade d'homme d'affaire, est le chef de la mafia russe. Comme on dit entre la haine et l'amo...