𝐒𝐚𝐧𝐠

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13h45

« Putain...

j'suis où ? »

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...j'suis où ? »

J'ouvris mes yeux qui semblaient être clos depuis une éternité difficilement, mon corps semblait être comme une statue, j'avais affreusement mal de partout à chaque de mes mouvement ralentis accompagné d'un gémissement de douleur.
Enfin assis, je remarqua enfin que j'étais à l'arrière d'un camion, avec le coffre ouvert.
Je grogna inquiet :
« Putain, qu'est ce qu'il m'arrive.

- J'me pose la même question, t'es dans un sale état.

Je sursautait à cette voix féminine, en me retournant je fronçait les sourcils pensant que c'est cette personne qui m'a ramené là.

 Calme toi, j'suis dans la même situation, aucune idée qui m'a ramené jusque ici

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.. Calme toi, j'suis dans la même situation, aucune idée qui m'a ramené jusque ici. »

«  T'es qui ? » Dis-je méfiant.

« Ça fait deux jours que tu dors ici. » Répondît-elle

« Et tu me regardais dormir ? Tu m'as ramené ici hein ! avoue-le ! »

La jeune femme tournait son buste en premier vers moi, ensuite son bassin beaucoup plus difficilement, elle en gémissait de douleurs. Je pouvais voir ce que je ne voulais surtout pas voir, ses jambes était pleines d'hématomes, sûrement plus que cassées.

« T'es content ? » Cracha la jeune femme aux cheveux colorés.

« Désolé. »

Un bruit d'une sorte de peluche électronique qu'utilise les enfants de nos jours se faisait entendre, nous cherchions l'origine du bruit très inquiets.

Je me releva contre mon grès sous les yeux de la colorée qui était pratiquement paralysée et ses jambes ne lui étaient donc plus utiles, en sortant de l'arrière de la caravane je ne voyais pratiquement rien, appart les arbres. Je me retournais vers la blonde teinte.

« T'as une boussole ?

- Il doit sûrement en avoir une dans cette bagnole. »

On regardait tous les deux la unique et seule caisse qui se trouvait à l'arrière, rouge et abîmée, mais sûrement utile, et j'y trouvais :
« Une boussole, y a plusieurs couteaux, une carte.

- Putain. Jura la jeune femme

- Quoi ?

- Réfléchis. Il ou elle ou quelqu'il soit veut jouer avec nous, c'est comme le nez au milieu d'la tête, si il veut nous tuer il a qu'à le faire maintenant!

- Ta gueule, me met pas dans tes idées suicidaires, et de toute façon si il veut jouer avec nous, dans un jeu il y a toujours un gagnant.

- Tu m'énerves vraiment toi, t'as d'la chance que j'ai pas le choix entre te suivre et partir tout court.

- J'ai ma classe dans cette forêt, ils ne doivent pas être perdu quelque part dans cette forêt.

- Qui te dis qu'il ne sont pas déjà mort ? »

𝐁𝐢𝐬 𝐙𝐮𝐦 𝐓𝐨𝐝, 𝐔𝐧𝐭𝐢𝐥 𝐃𝐞𝐚𝐭𝐡, 𝐉𝐮𝐬𝐪𝐮'𝐚 𝐥𝐚 𝐦𝐨𝐫𝐭.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant