Chapitre 7

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Je suis dans l'avion direction Paris. Je suis installé sur mon siège à lire un magasine people. Limite j'avais commencé à lire la première page, j'avais envie de balancer ce foutu magasine à travers la cabine. Sur la première de couverture on pouvait apercevoir Adrien avec sa "Magnifique petite amie" qui se tenaient la main, le sourire niait. Mes mains tremblent de colère en froissant ces pauvres pages qui n'avaient rien demander. Croyaient moi les "tourtereaux" votre bonheur ne va pas durer longtemps.

- Veuillez attacher vos ceintures, nous rentrons en zone d'atterrissage.

Je repose le magasine rageusement sur le siège d'à côté et met ma ceinture comme le recommande l'hôtesse. Je détends mes sourcils qui étaient froncés et reprend mon air impassible et froid. J'attend que l'avion atterrit et souffle un bon coup pour me déstresser, ce n'est pas le moment d'avoir la boule au ventre Marinette ! J'attend posément que l'avion se pose pour descendre de l'avion accompagner de mes lunette de soleil, je les replace correctement sur mon nez et descend les marches. Une fois au sol, je cherche du regard le proprio de mon nouvelle appart et je le retrouve quelques minutes après armé d'un carton où il y était marqué mon nom à l'aide d'un marqueur noir. Je plisse les yeux pour mieux le scrutait. Il avait l'air jeune même trop jeune pour être proprio, mais il ne faut pas se fier au apparence, mon passé me l'a appris. Il est grand avec une peau matte, ses cheveux sont noir au racine et deviennent bleu aux pointes. Lorsqu'il m'aperçoit, il me fait un grand signe de la main, pas du tout discret au passage, et me fais signe de le rejoindre. Je lui fais comprendre que je dois récupérer ma valise en montrant du doigt le tapis roulant. Il comprend et attend sagement mon arrivée.

Je m'approche du tapis roulant et attend que ma valise noir à point blanc fasse son apparition. Je l'attrape à la volée dès qu'elle passe devant moi. Je me retourne et avec une  démarche assurée, je me dirige vers ce jeune homme si indiscret qui se trouve être mon proprio.

- Salut, je m'appelle Lucas et toi c'est Marinette ? Me demande-t-il.

Il affiche un grand sourire niais et heureux en me saluant. Cette attitude me refait penser à celle que j'avais autrefois... Je reprend vite mes esprits et décide de lui répondre.

- Oui, c'est bien ça. Vous êtes le proprio ? Lui demandais-je avec un air distant.

- Euh... Non. Moi je suis son fils, j'ai dix-huit ans !

Je me disais bien que c'était bizarre. Il avait l'air beaucoup trop jeune pour avoir ce métier. Je lui fis un rapide mouvement de la tête comme quoi j'avais compris et il m'emmena vers un taxi qu'il avait surement réservé. Il met ma valise dans le coffre de la voiture, puis me regarde durant quelques secondes et commence à avancer vers la portière qui ouvre sur les sièges arrières.

- Entrer mademoiselle. Me dit-il en m'ouvrant la portière et en faisant une légère révérence.

- Mmh, merci.

J'entre dans ce véhicule jaune, et attend que le chauffeur démarre pendant que Lucas s'installe devant à côté" du conducteur. Il lui indique l'adresse et c'est seulement quelques dizaines de minutes plus tard qu'on arrive devant un grand immeuble.

- Voilà. On est arrivé Marinette !

Je me lève de mon siège et sors du taxi, je ne prend pas la peine de l'attendre et je récupère ma valise pour rejoindre l'ascenseur qui se trouve à l'accueil de l'immeuble. Mais malheureusement pour moi, qui voulait rester seul, Lucas s'incruste dans la cabine tout essouffler et appuie sur le bouton de l'étage dans lequel je dois me rendre. Il tourne sa tête vers moi et commence à ouvrir la bouche plusieurs fois, mais la referme pour cause qu'il doit reprendre don souffle.

- Punaise ! Je suis musicien moi, pas sportif ! T'aurais pu m'attendre Marinette.

- Je sais où se trouve l'appartement, je n'ai plus besoin que tu m'escorte.

Je pense que mon ton était un peu trop autoritaire et froid, car il détourne les yeux d'un air coupable et souffle un "désolé, je pensais que tu aurais besoin de moi". Je lève les yeux au ciel, il est vraiment trop gentil. Lorsque les portes s'ouvre, je me  dirige vers le grand couloir de l'immeuble en cherchant l'appartement "411". Je le trouve rapidement et ouvre la porte avec les clés qu'on m'avait envoyées en Chine en avance. Je rentre et découvre un immense appartement, même sur les photos il avait l'air plus petit ! L'entrée ouvre sur une cousine ouverte en direction du salon, de l'autre côté du salon se trouve une grande porte fenêtre très moderne ouvrant sur la terrasse. J'y passerais plus tard. Je me dirige vers la porte blanche que j'ai aperçu à ma gauche et l'ouvre, elle permet d'accéder à ma chambre où il y a déjà une salle de bains avec un grand lit et un bureau, les murs sont simples mais à mon goût. Je sors et me dirige vers les deux autres portes que j'avais vu dans le salon, une offrait à une autre salle de bains alors que l'autre me permet d'accéder à un grand dressing. J'ai hâte de m'y installer. Je déballe mes valise ainsi que les cartons déjà étalés dans toute l'entrée et me met au travail.

Quelque heures plus tard, j'ai enfin finis. Je me dirige alors vers la petite terrasse accompagner de ma tisane et m'appuie à l'aide de mes coudes sur la rembarde. Je regarde le ciel me demandant si ma nouvelle vie ici va bien se dérouler cette fois. J'aimerais me débarrasser de certaines personnes pour enfin vivre ma vie tranquillement sans larmes, sans tristesse, sans ranqueur... Mais apparemment cela est trop demander de ma part n'est-ce pas ?

Je souffle et baisse la tête pour tomber droit sur le manoir des Agrestes. Ma seule réaction a été de regarder avec mépris ce tas de brique hight-tech qui renferme en lui une personne plus affreuse que le papillon. Adrien Agreste. Je bois une gorgée de mon thé en affichant un sourire carnassier, je me demande comment fera-t-il pour s'en sortir lorsque je l'attaquerait. Je commençait tout juste à rigoler lorsque des petit cris très agaçant me sont parvenue à l'oreille. Je détourne alors le regard vers la source des cris et aperçu avec dédains Adrien en train de chatouiller une demoiselle au cheveux bleu. J'ai de la chance aujourd'hui. En seulement une journée j'ai pu observé deux de mes proies dans leur vie intime. Même si cela m'a donnait envie de leurs balancer ma tasse dans la figure pour leur brûler leur joli minois. Je continue de les observé jusqu'à ce que je vois Adrien l'attirer par la taille pour l'embrasser de façon plutôt audacieuse.

Là s'en ai trop, je balance ma tasse, et dieu sait où elle a atterri. En tout cas j'ai réussi à arrêter leur démonstration de couple trop intense, ne vous inquiéter pas très chères. Bientôt, la seule fois où vous aller vous approcher, se sera pour vous défigurer sans aucune pudeur.

Je reviens en force et demain ma vengeance commencera officiellement. Adrien profite bien de ta petite Mei d'amour car cela ne va pas durer.

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Saluuuuut ! ♥ Je vous adore vous le savez hein ? Très chère lecteur, ha, ha ...(^~^')

Je suis vraiment désolé pour mon retard de une semaine et un jour d'habitude je poste régulièrement ( même si je n'ai fait que 7 parties...) Mais j'avais mon orale de brevet et je devais bien réviser pour le réussir.

M'enfin ! C'est fini et je reviens en force avec de nouveaux chapitres !

Marinette est de retour à Paris ! Malheureusement sa journée à été un peu gâchée.

Que se passera-t-il demain au lycée ? Est-ce que les gens vont la reconnaître ?

Vous le saurez sûrement dans le prochain chapitre !

Vengeance d'une coccinelleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant