Une Mort Vivante [Terminée]

Chapitre 8: Méfiance

Avant de commencer, je tiens vraiment à m'excuser pour mon absence. J'ai eu des problèmes de connexion, les cours... enfin bref, bonne lecture...
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Pdv Floris:

Ce gars, Thomas, je le sens pas du tout. Déjà il arrive comme par magie et il me pique ma petite amie. Ensuite, il dit très haut ce qu'il pense de moi. Il dit que je suis un sale con qui attaque avant de se renseigner sur la personne.

En plus, il ne veux pas que son gosse traîne avec moi pour je ne sais quelle raison. Ça doit sûrement être pour ce que je lui ai fait la première fois que je l'ai vu.

Bon de toute façon, aujourd'hui je compte l'emmener faire une "petite balade" dehors. Bien évidemment, je vais m'arranger pour qu'il ne rentre pas. Tiens, quand on parle du loup... Bon quand faut y aller, faut y aller. Je vais lui proposer cette balade.

-Tiens salut Thomas. Je voulais te voir pour te proposer d'aller chercher des médocs dehors. Je sais que c'est bizarre vu qu'on est dans un hôpital mais on est vraiment à sec.

-OK pas de problème. Je met une veste et j'arrive. Il faut bien que je fasse mes preuves, non ?

-Bon bah on se retrouve en bas de l'immeuble.

Yes ! C'est réussi. Je vais dans dans ma chambre, je prend mon flingue et un couteau de combat. Ça y est, il est déjà là.

Je passe en premier. Je commence à faire semblant que je connais le coin en lui disant des tas de trucs faux comme :

-Suis moi, je connais une petite pharmacie dans un petit coin paumé de la ville. Au moins on est sûr qu'il y a encore tout dedans.

Il me croit et me suis. Une fois arrivé dans une petite ruelle, je me retourne et lui colle une droite en pleine mâchoire. Je l'attrape par la gorge et le colle au mur. Je frappe son visage de toute mes forces. Aïe...

Quel enfoiré. Il vient de me mettre son genoux dans les couilles. Comme je suis penché en avant, il en profite pour m'en mettre un deuxième dans la gueule.

Je sors le couteau et lui fait une petite entaille sur la cuisse. Il a pas vraiment l'air de souffrir. Il me choppe le bras où je tiens mon arme et me le tord. Je me met à quatre pattes sur le sol. Je pose mon sac par terre et sors le pistolet.

Il met un coup de pied dedans et le machin vole à dix mètres de moi. Il me relève et commence à m'étrangler. Au moment où je commence à devenir bleu, il se décide enfin à me lâcher.

On reprend la route pour retourner au bâtiment rose. Il est pas mort mais au moins, je sais que si il est éveillé, il est plus fort que moi. Attends, ça viens de me donner une idée...