La naissance

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Le fameux jour arriva, une louve se prépara à faire naître plusieurs louveteaux. Elle tourna en rond dans
sa cage en verre, des projecteurs lumineux sur elle et plusieurs hommes blancs étaient autour de la boite. La femelle trouva une position pour mettre bas, même, si elle était en plein stress et apeurer, regardant autour, les fameuses créatures à deux pattes. Elle savait que si, elles ne les faisaient pas naître, elle se ferait ... torturée.

Après quelques minutes a essayait de pousser les petits, couinant de douleur les yeux fermés et en pleure. Les scientifiques s'impatientèrent énormément, regardant la femelle avec leurs bâtons électriques à la main prêts à utiliser sur elle. La louve apeurée prête à faire une crise cardiaque tellement que la peur était présente, les regardant avec de grands yeux, la pupille tremblant, les larmes coulant sur ces joues. La louve nommer « A-422 » réussit enfin à sortir un louveteau, c'était un mâle. Elle voulut le prendre pour le mettre devant ses mamelles pour le nourrir. Mais, un scientifique le prit directement avec ces gants et le plaça dans une cage en verre sur un chariot. Le petit parti de la pièce avec un homme blanc, la mère le regarda partir les yeux en larmes.

Plusieurs heures passèrent. La femelle fit naître quatre louveteaux, trois mâles qui partirent comme le premier et une femelle, la petite dernière à naître. La mère prit directement sa petite et la mie contre son ventre la protégeant en grognant les crocs sortis prête à mordre. Un bipède voulut tout de même prendre la petite louve, mais se fit mordre par la mère ne lâchant pas la main de celui-ci essayant de le lui arracher. Le scientifique hurla de douleur et prit son bâton électrique, comme les autres personnes de la pièce. La louve les regarda faire, elle savait que c'était la fin pour elle. Tous les hommes en blanc lui donnèrent un coup de jus violent. Tous les bâtons étaient rassemblés en même temps, l'électrocutant de tous les côtés de son corps. Le jus électrique était tellement intense qui fit arrêter le cœur de la louve. Celle-ci lâcha doucement la main du scientifique, fessant tombée sa tête sur le sol en métal de la cage, les yeux ouverts de vide la gueule ouverte les crocs légèrement en sang. La mère était morte, la petite était toujours collée à son ventre, étant sourde et aveugle elle ne put savoir ce qui s'était passé. Mais, elle sentit plus la chaleur agréable de sa mère et plus sa respiration. La louveteau commença à couiner et à gigoter dans tous les sens. Un homme l'attrapa et la mise aussi dans une cage sur un chariot, une étiquette rouge était collée sur le verre, marquer « Z-422 » c'était son nom. Le « Z » voulait dire, expérimentation dangereuse, et le « 422 » c'était le code d'expérimentation qu'elle allait subir.  

Un scientifique prit le chariot et marcha vers une porte, celle-ci s'ouvrit automatiquement, et le chariot ainsi que le scientifique partirent de la pièce. La petite louve sentit partir l'odeur de sa mère et disparaitre au moment de la fermeture des portes étanches de la salle. La louveteau couina voulant sa mère et avait énormément faim. Elle était au milieu de la cage en verre, allongée en boule sur le sol en métal de la cage. La petite femelle était sourde et ne voyait toujours rien, mais elle pouvait voir les fortes lumières du couloir qui traversait, c'est petites paupières. Z-422 était en plein stressé, même en panique ne comprenant rien de ce qui lui arrivait. Elle ne ressentait aucune secousse dans la cage, et n'avait presque aucune odeur.

Après plusieurs minutes, elle sentit le chariot s'arrêter doucement. La petite louve leva la tête tremblante comme une feuille. Le haut de boite en verre s'ouvrit et un homme blanc la prit avec des gans, il la mise contre lui, la tenante fermement la lui maintenant brusquement la gueule. La petite louve couina et gigota dans tous les sens, mais ses mouvements ne fessait rien à l'homme, il était bien plus fort qu'elle. Un autre bipède lui mise la tête vers le haut et lui mis un collier en métal qui sera la petite gorge de la louve. Le scientifique marcha quelque pas et déposa la petite sur un sol en béton lisse blanc. Elle se trouva en boule par terre, ne savant pas où elle se trouva. Les scientifiques partirent et la porte pressurisée de la cage se ferma automatiquement fessant un bruit de verrouillage en métal. Puis ... aucun bruit, de toute façon la petite louve n'entendit rien et ne voyait rien, ne savent aucunement où elle était. Restant en boule, la faim au ventre, la peur au cœur, elle couina fort fessant le seul bruit de sa cellule ...

ŌzoraOù les histoires vivent. Découvrez maintenant