Chapitre 8

18 3 2
                                    

Arrivé au bout de sa rue il n'y avait finalement plus personne derrière nous ...

-Il faut que je te dise un truc...

Cette intervention m'avait un peu surprise mais j'étais si heureuse à ce moment là que je ne fit pas plus attention .

-je t'écoute...?
-Attend d'abord est ce que t'a passeé une bonne journée?

Je mourrais d'envie de lui répondre qu'elle était horrible jusqu'à ce que je le voie...mais j'opta simplement pour un « oui ça va pourquoi? ».

-Bon alors laisse, je te le dirai un autre jour.

-Noon maintenant que t'as commencé bah tu termine.

-Je vais déménager loin.

Boum.Boom. 
Tout autour de moi s'effondre...tout les efforts que j'ai pu fournir pour entretenir cette relation s'écroule.
Jamais au grand jamais, je n'ai pu penser qu'il puisse exister une tel issus...

Ah ce moment la je ne savais pas quoi faire, je ne savais pas ou me mettre.

Je ne voulais pas accepter la vérité en me contentant simplement  de lui répéter « tu mens » « c'est faux » « menteur » , quand à lui, il secouait simplement la tête en abordant une expression amusé, puis mélancolique.

Je me posa alors en face de lui et en rencontrant son regard je baissa les yeux, retenant des centaines de larmes qui menaçaient de me trahir.

Quand de sont indexe il releva mon menton, une larme m'échappa, le faisant instantanément détourné le regard.

Afin d'alléger l'atmosphère je lui souriais simplement.
Finalement on se quitta après plusieurs " tu vas m'oublier ";"dis pas de betise";  "menteur ".
Il me pris simplement dans ces bras en me rassurant, puis au moment de partir, une voiture se gara près de nous . 

Il semblais visiblement gêné (c'était trop mignon) puis déclara que c'était son père .
Et maintenant c'est moi qui suis gêner,bah bravo!

Je m'éclipsa alors en lui accordant un petit signe de la main qu'il me rendis avant de rejoindre son père, avec une expression neutre.

Dans la soirée, je reçu un simple « ça va? » de sa part.
Engageant une conversation qui le mena a me raconter que, quand son père m'avait vu avec lui plus tôt, il lui aurai demandé si j'était sa « copine ».
Ça réponse était sans surprise « Non », mais ce qui vient ensuite est...surprenant.
Son père lui a répondu « dommage elle était mignonne »(validé par le beau père) et lui a rétorqué « c'est ma femme » .

Il n'y à pas besoin de précisé mon état de choque...
Arrêt du cœur!

Et je me mise à pleurer de plus bel...cette fois en réalisant pleinement tout les progrès de cette relation, qui au début, je pensais, ne mènerai à rien.

InconditionnelOù les histoires vivent. Découvrez maintenant