"Retour à la case de départ"
Ils nous abandonnaient sur le quai où les bombes explosaient nos cerveaux. C'est dans ce carnage que je vérifiais si ceux habillés en uniforme en possédaient un.
Oui, ils en avaient un.
C'est un cœur qui leur manquait.
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la mort est innocente
Short StoryIl n'existe qu'un seul génocide ; celui de l'humanité. (ma colère contre la guerre à décider de s'exprimer à travers celle du Japon, 1940-45.)