Enfuie dans ma propre flaque pourpre, mes poumons étouffaient. Mon cris de détresse oublié par delà les kilomètres qui me séparaient des gens normaux. Des gens qui ne doivent pas regarder leurs amis crever le matin en se levant ou encore avoir comme compagnon de nuit la peur. Celle qui se nourrit de nos souvenirs.
Mon nounours s'imprégnaient de mes pleurs, est-ce que l'usine qui l'avait créé avait prévue que son utilité serai plus qu'un simple jouet?
Avait-elle prévue un produit qui nettoie les tâches de sang comme elle l'avait fait pour les tâches de feutres?
Bien sûr que non, puisque ce n'était pas sensé se trouver là. Il n'était pas sensé contempler un enfant s'assécher sous le nuage de mort qui le narguait.
Le sens n'était plus.
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la mort est innocente
Short StoryIl n'existe qu'un seul génocide ; celui de l'humanité. (ma colère contre la guerre à décider de s'exprimer à travers celle du Japon, 1940-45.)