Une fois de plus, tu t'étais faite avoir par lui, par son charme, son caractère séducteur et manipulateur, l'autorité qu'il avait sur toi et les mots qu'il employait, te faisant rendre encore plus folle de lui.
Tu ne savais pas que tout ce qu'il te faisait ou même disait était pour jouer avec toi, avec ton corps.
Tu ne voyais en lui que ses qualités et faisait en sorte de justifier ses défauts.
Comme on le dit si bien, l'amour rend aveugle, et c'était clairement ton cas.
Lui, il voulait juste s'amuser, jouer et se défouler avec toi, pas de sentiments, rien de tout çela. Ce qui l'intéressait c'était ton corps qu'il qualifierait de parfait.
Tu es tout simplement sa poupée préférée.Il t'abandonnait et revenait vers toi sans cesse, mais ça t'étais égal puisque tu le voulais près de toi même si tu devais en souffrir.
Après de longues semaines d'absence, il s'était pointé chez toi sans prévenir, et cela te rendais tellement heureuse.
Tu l'avais laissé faire, encore une fois, t'emmener dans ta chambre afin de passer une nuit endiablée comme vous aviez tellement l'habitude de faire.
Tu le regardes, lui, imposant devant toi, te déshabillant du regard, ses mains posées fermement sur tes hanches.
Tu scrutes son visage, qui s'approche dangereusement du tiens pour venir capturer tes lèvres et donner un chaste et langoureux baiser qui te fait perdre la tête.
Tu réponds à son baiser en transmettant tout l'amour que tu lui portes.
Lui il se contente seulement de montrer son excitation et la sensualité de ses gestes.En peu de temps, tu te retrouves couchée sur ton lit, les sous-vêtements couvrant à moitié ton corps, en dessous de ton amant te surplombant.
Encore une fois, il prend un moment pour regarder tes courbes et tes formes, il aimait tellement ton corps qu'il ne pouvait pas s'en passer. Seulement cela le faisait rester près de toi. Tu étais son œuvre, son art, son objet, sa poupée.
« - Ne laisse qui que ce soit d'autre toucher ou regarder ton corps. Il m'appartient. »
Cette phrase il te la répéte sans cesse comme s'il avait peur qu'on te vole de lui ou du moins qu'on vole ton corps de lui.
Pour toi, cela signifiait qu'il tenait à toi donc tu ne pouvais que l'écouter et faire ce qu'il te disait.
Il presse son bassin contre le tiens, humidifiant de plus en plus le tissus qui cachait ton intimité et torture ton cou de morsure et de baisers en prenant le soin de laisser deux ou trois marques.
Des bruits obscènes sortent de plus en plus de la barrière de tes lèvres et montent dans les aigus.
Il retire ton bas de sous-vêtements, le balançant à l'autre bout de la pièce et fait de même pour le siens.
Il effleure ton intimité du bout de ses doigts, te faisant frémir et languir d'impatience, voulant le sentir en toi.
Ce qu'il ne tarde pas longtemps à faire, il te pénètre brusquement et assez violemment. Tes doigts s'agrippent et griffent son dos, sous l'effet de la douleur. Une grimace apparait sur le visage de ton bien aimé qui commence à faire de lent mais profond coup de rein.
Tu rejettes ta tête en arrière à cause du plaisir qu'il te procure et qui finit par surpasser petit à petit la douleur initiale. Tu roules des yeux quand il continue d'accélérer dans le but d'entendre ces sons de plaisir qui paraissent mélodieux à son oreille.
Tes mains descendent le long de son dos et se laisse finalement tomber de part et d'autre de ta tête, pour ensuite s'agripper aux draps.
Tu sens une touffe de cheveux se placer au niveau de ta poitrine pour embrasser celle-ci et mordiller ton bout de chair.
Tu sens ta fin venir de plus en plus, dû aux accélérations des coups de bassin et enfin, tes chairs se serrent autour de son membre, ce qui l'entraîne lui aussi à atteindre l'orgasme.
Il se retire lentement de toi, ce qui te fais lâcher un bref soupire de bien être, et s'allonge à tes côtés reprenant sa respiration.
Tu tournes ta tête vers lui et tu examines ses traits de visage exprimant l'épuisement. Tu ne peux t'empêcher de le trouver resplendissant, tu n'arrives pas à trouver un autre homme aussi beau que celui qui se tient près de toi. Cela te fais sourire, tu penses que l'aimer te rends heureuse, sauf que tu ne vois pas tout le mal qu'il te fait, tu te voiles la face.
Il finit par se lever, ce qui te frustre pensant qu'il allait rester avec toi et t'accorder de son temps, autre que pour le sexe.
Mais comme à ses habitudes , il récupère ses vêtements, qu'il enfile à la minute et pars sans rien te dire de plus, te laissant seule et souffrante par son absence.
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Baby doll - K.TH
FanfictionTu es sa poupée. Il joue avec toi lorsqu'il en a envie, puis te jette comme un minable objet lorsqu'il en est lassé. Pourtant, tu es passionnément amoureuse de lui, sans voir le moindre défaut dans sa personne. Tu es obsédée par lui, de la même faço...