Prologue

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Sophia savait parfaitement ce qu'elle faisait. Elle était adulte, mûr et réfléchit. Ce n'était pas une pulsion mais un besoin. Elle savait que beaucoup de gens aurait pu la juger pour ça ... mais cela lui était bien égale. Elle profitait du moment présent. De toute manière, tant qu'elle n'aurait pas relâché la pression ... ce besoin insoutenable de sexe ne s'en irais pas : alors elle respira et profita du petit plaisir que lui faisait son partenaire du moment.

Sophia Rose est une jeune femme de 21 ans, en étude littéraire pour devenir un jour écrivaine. Elle est petite (1, 55 m), les anches marquées, une poitrine de taille moyenne (un 90C), un carré roux lui arrivant légèrement en dessous des épaules et des petites taches de rousseur sur les joues, au dessus de sa poitrine, et quelques-unes sur les fesses. Sophia Rose est à première vue, une personne plutôt banal. Néanmoins, ce que tout le monde ignore (même ses 200 partenaires sexuels en 7 ans) c'est que Sophia est une nymphomane, une accro au sexe, une personne hyper-sexuelle. Sophia a sans cesse une envie de sexe, qui parfois, se transforme en réelle besoin. Elle a toujours été attiré par ce monde : à 12 ans elle fantasmait sur les garçons et les filles de son collège, à 14 ans elle fit l'amour pour la première fois, à 16 ans elle faisait des strip-teases pour son premier copain (qui la quittera 2 mois plus tard car il sera dépassé par sa libido), lui envoyait des tas de photos cochonnes et ce à n'importe quelle heure, elle s'habillait le plus sexy possible car son corps entier respirait le sexe, elle ondulais, marchais et bougeais comme pour dire « je suis une femme fatal ». A 18 ans, célibataire, elle enchaînait les conquêtes. Elle traînait dans les boites et les bars, elle le faisait dans n'importe quel endroit qui l'excitait (un comptoir de bar, une scène, une voiture, une piscine, un stade de foot, la salle de classe la nuit, la cuisine, un cinéma, à la plage derrière un rocher, une rue malfamé...) à 20 ans elle apprit à se contrôler et à ne pas se mettre en danger. Elle s'inscrivit sur des sites de rencontre et cherchait des « plan cul ». Elle ne voulait rien de concret, pas d'engagement et pas de PCR (Plan Cul Régulier). Sa rupture avec Roméo (son premier, et dernier, petit ami qui l'avait quitté à cause de sa libido) l'avait réellement traumatisé et elle ne voulait pas que son hyper-sexualité affecte quelqu'un une fois de plus. Mais...même si elle ne l'avouera jamais, Sophia a développé une peur bleue d'être rejetée.
Par conséquent elle profitait de tous ses nouveaux partenaires, elle testait pleins de pratique sexuelles et de positions et elle apprit à se contenter toute seule par moment.
Sophia maîtrisait (mieux) sa libido et elle tentait de maîtriser sa vie. Mais malheureusement elle ne vivait pas le parfait bonheur. 

Une histoire de fessesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant