Destinée

chapitre XIV

Une fine fumée noire traverse la maison, je crains le pire et nous décidons de prendre les enfants et de partir.

Entre temps, tout les deux se sont endormis, je n'ai pas de temps à perdre, Adam passe par une fenêtre et prend Lukas.

《- Tu veux faire ce que nous avions parler ?

- Pas totalement, je veux juste qu'il soit en sécurité dans une autre famille pendant quelques temps... Ce sera pareille pour elle aussi.》

Il s'occupe de Lukas et moi de Maria, je vole le plus vite possible pour repérer une maison, ça y est ! J'en ai localisée une !

Je m'enfonce au plus profond, lorsque je percute une personne qui me fait tomber, j'atterris sur les pieds. La personne me donne des coups, je fais en sorte qu'aucun d'eux ne la touche.

Je la protége comme je le peux, cette personne disparait, mais je remarque que ma fille n'est plus dans mes bras aussi.

Je panique, en revanche je vois un peu plus loin, cette personne tuer ma fille. Je cours le plus vite possible pour l'en empêcher.

《- NOOON ! NE FAITES PAS DE MAL À MA FILLE !》

Je hurle de douleur quand j'aperçois qu'elle gît par terre, une flaque de sang l'entourant. Je serre contre moi son petit corps, je pleure et hurle à m'en déchirer les poumons. Je ne voulais pas que ça finisse comme ça ! Je voulais qu'elle vive dans un monde de paix et de couleurs comme son grand frère, et surtout, sans guerre !

En la serrant dans mes bras, j'essaie de ralentir l'hémorragie, elle avait toujours les yeux ouverts à cause de l'attaque, elle me regarde les larmes aux yeux.

《- Tout va bien, reste avec moi, ne t'endort pas d'accord... ? 》

Sa respiration devient de plus en plus lente, cette personne... Je voulais la tuer, mais je dois rester au près d'elle. Je la berçait doucement, en lui carressant ses boucles rousses.

Ce soir-là, ce n'était pas une femme qui avait perdue son mari, c'était une mère qui avait perdue son enfant. J'avais même donné mon sang pour qu'elle vive, malheureusement, ça n'a pas marché.

Je tourne la tête vers la mystérieuse et horrible personne, elle était toujours là à observée.

Je dépose délicatement le corps de ma fille sur le sol, avant de me lever et de l'attaquer, toute ma rage et ma tristesse se tourne vers elle.

Je vais la venger, dans ma précipitation, je me pris un violent coup sur la tête, un liquide rouge coula sur mon visage. Mais il en faut beaucoup plus pour me tuer, je lui assène le même coup mais en plus fort, son visage est pareil que moi, puis sans qu'elle se doute de quelque chose j'enfonce une main dans son corps pour la ressortir.

《- Je vais te faire souffrir, tu vas payer pour ce que tu m'as fait !》

Je remarque que les coups que je lui ai infligé se dissipe. Elle ricane. J'avais oubliée que les sorciers avaient des meilleures capacités de régénération que nous, mais si je veux la tuer, je dois lui arracher son coeur, ce que je fais en plongeant ma seconde main dans son abdomen.

Je la sort, son coeur dans ma main, son corps tombe inerte sur le sol enneigé, aillant toujours son coeur, je le compresse jusqu'à le faire exploser. Le sang de celui-ci, m'explose en pleine tête.

Je tourne la tête vers ma fille, sans comprendre, elle disparait comme de la poussière. Je j'aperçois Adam et Lukas pas loin.

Ils s'approchent de moi inquiets, le sang sur mes mains dégouline par terre ainsi que sur mon visage.

《- Chérie, est-ce que ça va ? Où est Maria ?

- Maman ? Pourquoi tu as du sang sur les mains et le visage ?》

Je passe une main sur son visage, il devient tâcher de sang. Il me regarde toujours inquiet, je l'enlace de toute mes forces en versant des larmes.

《- Au moins, l'un de mes précieux enfants, a été sauvé...

- Que veux-tu dire ?

- Pour répondre à ta question, oui sur mon visage c'est mon sang g ar le me suis pris un violent coup sur la tête et parce que, quand j'ai tué une personne, j'ai plongé mes mains dans son abdomen j'ai arraché son de corps, son organe vital, son coeur. Et je l'ai compressée puis, écrasé et cela m'avait explosé au visage.

- Et Maria elle est où ?

- Elle s'est fait tuée par cette même personne. Et je l'ai vengée !》

J'harbore un sourire malgré mes larmes, je m'effondre dans les bras de mon mari. J'ai évacuée presque l'eau de mon corps par les larmes, il me porte.

《- Je suis fatiguée... Maria...》