Un Amour Fou : Harley Quinn et Le Joker

IX

Harleen se faisait belle, elle savait que son fou aller lui rendre visite ce soir. Occupé à se mettre un rouge à lèvre, rouge sang qui lui donné une allure délicieuse, elle entendit un bruit sourd parvenant de sa chambre. La jeune femme effrayait et sans défense se munit d'un couteau de cuisine et alla en direction de ce bruit. Plus elle se rapprocher de sa chambre, plus son coeur battait la chamade mais elle n'avait pas peur. Peu importe la chose qui se trouvait dans sa chambre elle était prête à l'affronter, elle voulait l'affronter, elle en avait besoin.
Quand elle s'approche assez pour apercevoir l'individu qui s'était introduit dans sa chambre, elle entendit des gémissements de douleur et se rendit compte que cet individu était son bien-aimée. Elle jeta son couteau au sol et se précipite vers lui, inquiète. Le Joker avait du sang partout sur le torse et des bleus au visage mais il gardait le sourire en voyant sa douce si inquiète. La jeune femme aida le roi du crime à se poser sur son lit et alla dans la salle de bain, chercher sa trousse de secours et quelques serviettes.
- Mais qu'est-ce qu'il t'ai arrivé ? - Harleen
- Ce n'ai rien ma douce, les risques du métier. - Le Joker

Harleen est resté bouche bée devant la réponse de son amant, il arrivait à dire ceci tout en gardant son sourire psychopathe et enivrant. Le roi du crime plongeait dans le regard de la jeune femme, attrape son cou et l'embrasse passionnément.
- Tu es merveilleuse. D'ailleurs j'aurais besoin que tu me rendes un petit service. - Le Joker
- Un petit service ? - Harleen
- J'aimerais que tu me prête ton jolie petit appartement pour y cacher mes affaires personnelles. - Le Joker

Cette idée fit sourire Harleen car si les affaires personnelles du roi du crime était chez elle, cela voudrait dire qu'elle le verrait plus souvent. Elle avait l'impression qu'ils auraient pu vivre comme un couple normal, sans meurtres et sans Batman.
- Quel genre d'affaires personnelles ? - Harleen
- Tu sais celles que j'apprécie le plus, celles qui me servent à empoisonné, à étranglé, égorgé, poignardé, torturé, démembré et mutilé une personne. - Le Joker

Dit-il en caressant les lèvres rouge de la jolie blondes. Quand à elle, elle perdit son sourire rempli d'espoir, qui laissa place à des larmes qui remplissaient ses yeux bleus.
- Pourquoi toujours tuer ? Qu'est-ce que tu es pour pouvoir commettre autant de meurtres, sans jamais éprouvais aucun remords ? - Harleen
- Je décrirais plutôt mes actions comme des oeuvres d'arts gratuites et exposées à tout oeil qui sait bien regarder. Certains me qualifieront de fou, d'autres de tueur en série, personnellement, je préfère le mot "prédateur". N'est-ce pas un jolie mot ? Trois syllabes plutôt simples pour qualifié ma complexe personne. C'est si jouissif, si... - Le Joker
- Tu es un monstre, un psychopathe fou ! - Harleen

Harleen se leva et croyant pouvoir échapper au clown sans pitié mais il l'a rattraper et l'a plaqua contre le mur, mettant un poignard sorti de sa poche contre la joue brûlante de la jeune femme, ce qu'il l'a fait frissonné.
- J'ai comme une impression de déjà vue, pas toi ? - Le Joker
- Sauf que cette fois je n'ai plus peur de toi Joker ! - Harleen

Si le pouls de la jeune femme résonne jusqu'à sa tête, si ses mains tremblent de manière incontrôlable, si Harleen se mord la lèvre inférieure aussi passionnément, c'est que la peur est un sentiment bien disparate avec celui qu'éprouve pour cet homme. Sous un élan incontrôlé, le Joker jeta son poignard au sol et un main sur la hanche de Harleen se mit à embrasser la jeune femme. Puis d'un coup le fou s'arrêta et pris son revolver de sous sa chemise et le pointe sur Harleen. La jolie blonde est tétaniser, c'est la première fois qu'on l'a pointé avec un arme à feu. Mais, son roi du crime serai vraiment capable de l'a tué ?
- Pourquoi je n'arrive pas à le faire ? Pourquoi je n'arrive pas à presser cette p*tain de détente ? Qu'est-ce que tu m'as fait ? Tire Joker tire, si tu ne peux pas la tuer elle devient une faiblesse pour toi hahahahaaaa ! Je ne suis pas faible ! Je ne suis pas faible ! - Le Joker

Harleen était subjugué, c'est comme si il y'avait plusieurs personne qui interagissaient en lui. La jeune femme était maintenant persuadée que le Joker ne l'a tuerai pas. Il l'aimait. Elle avance d'un pat assuré, pris le visage du Joker entre ses deux mains et elle le regarda dans les yeux.
- Pourquoi aimes-tu tant tué ? Pourquoi aimes-tu tant reprendre le chaos ? - Harleen

Le Joker l'a regarda d'un air amusé comme si la jolie blonde venait de lui poser une question tellement simple que c'était difficile à expliquer. Le génie du mal baissa son arme et pris sa douce par les hanches. Harleen ne comprenait plus la situation. Il l'a retourne, lui caresse le long du bras et mis l'arme dans la main de la jeune femme, qui savait à peine quoi en faire.
- Calme toi, je veux que tu sache ce que ça fait. - Le Joker

Ce qu'a chuchoté son amant, laisse Harleen perplexe. Que voulait-il quelle ressente ? Effrayée, elle tenait l'arme dans ses mains enroulée par celles du Joker. C'était la première fois qu'elle touchait à une arme à feu, elle était drôlement lourde. La jolie blonde avait le doigt sur la détente, prête à tirer. Touché cette détente lui procurer un sentiment étrange. Sa respiration s'accélérait de plus en plus comme si une excitation grandissait en elle. Le douce Harleen pouvait sentir le souffle doux du Joker sur son cou, il l'observait et avait l'air assez satisfait de ce qu'il voyait, elle pouvait deviner un sourire se dessiner sur le visage de ce fou. Mais Harleen n'y prêta à peine attention, elle se sentait puissante, étrangement elle aimait avoir cette arme dans la main, savoir qu'elle pouvait ôter la vie de quelqu'un, qu'elle avait ce pouvoir lui procura une sensation étrange qu'elle ne pu qualifier.
- J'ai l'impression que tu commences à comprendre cette excitation qui m'anime. - Le Joker

La respiration de Harleen s'accélère de plus belle, ses joues était rouge de chaleur. Le Joker l'a retourné de manière à qu'ils soient faces à face, l'a regarde dans les yeux quelques secondes et pointa l'arme que la jolie blonde avait dans la main sur son visage.
- Tu ne peux comprendre ce que ça fait tant que tu n'as pas ôter la vie de tes propres mains. Aller ma belle Harley, tue moi !