- Enfin, j'ai cru que ça aller durer une éternité. - Le Joker
- Vous... ? - Harleen
- Je t'ai manqué ? - Le Joker
Tout le corps Harleen tremblé.
- Nous devons terminé notre discution, vue que la dernière fois on a était interrompu par un indésirable énergumène. - Le Joker
- Je n'ai pas envie de discuter avec vous ! - Harleen
- Je ne t'ai pas demander ton avis, parlons un peu de toi. Qui est le jeune homme qui était avec toi ? - Le Joker
- Andrew, c'est personne, un ami. - Harleen
- Tu ferait mieux de me dire la vérité. - Le Joker
La jolie blonde était perdu dans ses pensées, comment pourrait-elle répondre au Joker, alors qu'elle même ce poser la question.Le Joker s'approche dangereusement de Harleen. La jeune femme lâche un soupire de surprise. Et sans prévenir il colla sa bouche sur la sienne, en mettant la main sur sa hanche. Harleen était figé, elle ne pouvait plus bouger, elle ne savait plus quoi faire. Elle repris ces esprit et ce rendit compte qui l'embrasser. Mais étrangement, elle appréciait ce baiser, elle savais que ce n'était pas bien mais elle voulais continuer. Elle trouvait ce baiser brutale, mais en même temps si intense. Elle ce décolla à contre coeur, mais elle savait que c'était la meilleure chose à faire.
- Qu'est ce qui passe Harley, tu te sent mal ? C'est moi qui te perturbe ? - Le Joker
Quand ils entendirent toquer à la porte. Le Joker ce décolla de jeune femme. Harleen tourna la tête quelques secondes, elle regarda à nouveau en direction du Joker mais il n'était plus là.Harleen n'a pas réussi à fermé l'œil de la nuit, elle n'arrêter pas de repenser au baiser du Joker. Elle ne comprenait pas ce qu'il lui arrivait, elle pensait à lui a longueur de journée. Était-elle entrain de tomber amoureuse ? Mais comment pourrait-elle aimé une telle horrible personne ?
Il était 10h, Harleen venait de ce réveiller. Elle était dans la cuisine, à la table, elle mangeait son petit-déjeuner. Quand une personne toque à la porte. La jeune blonde se leva et alla ouvrir la porte, c'était Andrew.
- Salut Harleen, j'espère que t'aime les croissant ! - Andrew
- Merci. - Harleen
- Ta bien dormie ? - AndrewAndrew et elle c'était beaucoup rapprocher, même si le Joker était le seul qui occupées pensées. Il venait la voir presque tout les matin.
Une semaine était passé et elle n'avait pas revu le Joker, il était introuvable par la police, par les journalistes mais surtout par Batman.
La police venait de moins en moins l'interroger, plus aucun journalistes devant chez elle et elle adorer ça. Sa vie était redevenue normal, plus de Joker, plus de problèmes.Le blonde termine son petit déjeuner en compagnie d'Andrew et ils vont rendre visite à la femme du commissaire Gordon, Mary.
Ils étaient dans la voiture d'Andrew prêt à démarré, quand Harleen ce rendit compte d'avoir oublie son sac.
- Andrew attend j'ai oublié mon sac, je vais aller le chercher et je reviens. - Harleen
- Ok, fait vite. - Andrew
Elle sort de la voiture, monte les escaliers et rentre dans son appartement. Elle ne retrouvait pas son sac, quand elle regarde sous un coussin du canapé et trouve quelque chose de bizarre. C'était une carte et dessus il y avait un joker. Elle n'était pas à elle, mais elle savait a qui elle pouvait appartenir. Et ses doute ce confirmèrent quand elle tourne la carte. Et voit au dos :Si tu continue de voir ce Andrew, je serai obligés de m'énerver et tu c'est ce qu'il arrive quand je m'énerve, il y a des cadavre dans toute les rue de Gotham. Je parie que ton cher Andrew sera ma première victime.
J.
Dès qu'elle lu ce message, ses larmes commencèrent à couler, elle ne pouvait plus bouger. Elle était comme paralysé, elle lâcha la carte qui tomba au sol. Ses larmes coulaient de plus en plus, elle ne pouvait plus ce contenir. Tout ce qu'elle avait garder en elle, ressortit d'un coup. Et à ce moments que Andrew débarque dans la pièce.
- Tu prenais trop de temps donc... Harleen qu'est qu'il t'arrive ? - AndrewLa jeune blonde voulais le rassurer, lui parler, mais elle devait lui faire tellement mal qu'il a détesterait. Mais, aucun son ne voulais sortir de sa bouche. Il baissa la tête, voit la carte et il a prend.
- Qu'est ce sais ? - Andrew
- Non. - Harleen d'une voix très affaiblie.
- Quoi ce fou te cause encore des problème ? Je vais appelé la police tout de suite. - Andrew
- Non. - HarleenMais Andrew parti en furie avant même qu'elle pût lui dire quoi que ce soit.
À peine quelques minutes plus tard, trois patrouilles de police étaient déjà là. Harleen était sur le canapé, une couverture sur les épaules, perdu dans c'est pensés. Elle n'a acceptée de parler à personne, à part le commissaire Gordon.
- Vous aller bien mademoiselle Harleen ? - Le commissaire
- Oui, ça va, enfaite non, je ne sais pas qu'est ce qu'il me veut. Et si, il faisait du mal à mes amies. - Harleen
- Moi non plus mais, le mieux pour votre entourage c'est que vous ne l'ai approchée plus. - Le commissaire
- Je suis d'accord. - HarleenAprès avoir fouiller l'appartement, interroger tout les voisin. La police est partie, Harleen était seule avec Andrew dans l'appartement.
- Pourquoi tu as appelé la police ? - Harleen
- Quoi ? - Andrew
- Pourquoi tu as appelé la police ? - Harleen
- C'est pour toi, pour ton bien - Andrew
- Tu ne sais même pas ce que je veux ! - Harleen
- Tu ne va pas me dire que tu veux revoir le Joker ? - Andrew
- Si, ce n'ai pas toi que j'aime, c'est lui ! Le Joker ! - HarleenAndrew attrapa violemment Harleen par le bras, et rapproche son visage du sien.
- Tu ne peut pas me dire cela, après tout ce que j'ai fait pour toi Harleen ! - Andrew
- Je suis désolé, mais c'est la vérités. - Harleen
- Tu es aussi folle que lui. - AndrewDès qu'il entendit ses mots, il se crispa et part de chez la jeune femme. Elle a dit ça pour le faire fuir, pour le protéger, mais après l'avoir dit elle ce rendit compte qu'il y a peut être une part de vérités.
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Un Amour Fou : Harley Quinn et Le Joker
Hayran KurguHarleen adorait sa petite vie, c'était une vie simple. Même en habitant dans la métropole du crime, elle n'avait jamais connu le grand frisson. Mais, maintenant qu'elle occupe les pensés du Joker, tout cela va bien changer. Gare à celui qui approch...