Sacrifice de Iluvtorun

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Résumé

Slade s'attend à ce qu'Oliver choisisse entre Laurel et Felicity, mais Felicity fait le sacrifice ultime.


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Slade leva son arme alors qu'Oliver sortait sur le toit. Il se gara à la vue devant lui, son sang coulant à froid alors que l'horreur de la situation s'installe. Une légère couche de neige recouvre le toit et continue de tomber. Il était rare que la neige tombe dans Starling City, et plus rare encore pour qu'il tombe le jour de Noël. Felicity et Laurel étaient à genoux devant Slade, les bras attachés dans le dos. Flocons de neige ramassés dans leurs cheveux. Ils avaient tous les deux l'air terrifiés. Laurel avait les larmes aux yeux, mais Felicity se rencontra et regarda Oliver sortir sur le toit. Il y avait quelque chose dans ses yeux qui faisait une forme creuse dans le creux de son ventre. Elle ne comprenait pas ce qui se passait, mais elle croyait en lui pour les sortir tous vivants. Il ressentait un sentiment de désespoir, car il savait exactement ce que c'était, et sa confiance en lui ne pouvait être plus déplacée. À moins que, par miracle, Diggle ait localisé Sara et qu'ils soient arrivés ici dans les cinq prochaines minutes, il ne pouvait pas voir comment cela finirait bien.Le sentiment de déjà-vu était presque écrasant et, pendant un moment, le paysage urbain enneigé avant lui fut remplacé par la forêt fraîche dans l'obscurité de la nuit.

"Dépose ton arc", commanda Slade. Il se tenait peut-être à deux pieds derrière Felicity et Laurel, à égale distance entre eux.

Oliver déglutit, considérant ses options. Son arc était rapide, mais ses flèches ne seraient pas suffisantes pour empêcher Slade de tirer sur la gâchette, grâce au Mirakuru . C'était une chance qu'Oliver n'était pas disposé à prendre. Son seul espoir était qu'il puisse raisonner avec Slade, où il n'avait pas réussi à raisonner avec Ivo. S'il pouvait convaincre Slade de le tuer à la place, ils pourraient vivre tous les deux. Abaissant son arc, il leva les mains. "C'est entre toi et moi, Slade," dit-il lentement. "Ils n'ont rien à voir avec ça." Les lèvres de Slade se soulevèrent en grondant, mais Oliver continua. "Ne leur faites payer aucun péché. Cela la déshonorerait." Il a pensé à Shado, ou plus précisément à son fantôme, dans le hall de sa maison quelques semaines auparavant. Tout le monde que vous aimez mourra . Il serra la mâchoire et dut se battre pour ne pas fermer les yeux contre la peur de cette situation.

"Tu ne parles pas d'elle!" Slade a crié, clairement un homme sur le bord. "Tu n'as pas le droit. Elle t'a choisi et tu CHOISIS la laisser mourir."

Oliver inhala contre le vif souvenir de Shado et de Sara devant lui sur le sol sombre de la forêt, alors que Felicity et Laurel étaient devant lui. Il est temps de choisir Oliver. C'est ce que lui avait dit Ivo. Qui vit et qui meurt. Mais choisissez vite car en trente secondes, je vais les tirer tous les deux . Un choix impossible alors, et encore plus impossible maintenant.

"Je voulais qu'Ivo me prenne à la place!" Il expira, expirant devant la douleur de la mémoire. "Mais il allait les tuer tous les deux. Ne fais pas ce qu'il a fait. S'il m'avait écouté alors, elle serait toujours en vie."

Slade fit un pas vers les femmes et balança son arme dans la direction de Laurel. "Alors tu as choisi SA SOEUR plutôt que Shado? Après la femme qui a partagé ton lit pendant près d'un an, qui t'a appris à te battre et à tirer sur cet arc? Tu n'as pas le droit de porter sa capuche!" Oliver pouvait entendre la fureur qui régnait dans Slade depuis cinq ans. Il travaillait à cette vendetta depuis qu'Oliver pensait l'avoir tué avec une flèche dans les yeux, il pouvait le voir maintenant.

Laurel avait l'air confus maintenant, aussi bien que terrifié. Elle jeta un coup d'œil et Felicity, puis revint vers lui. La référence à sa soeur n'était pas passée inaperçue, mais elle n'avait pas encore assemblé les pièces. Felicity, par contre, avait soudainement les larmes aux yeux. Il savait qu'elle comprenait finalement ce qui se passait ici. Il se demandait si elle le regarderait de nouveau de la même façon, s'ils sortaient vivants de cette situation.

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