Meilleure Amie

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JUSTINE

Elle décide de s'assoir derrière moi et je m'allonge dos à elle, contre son torse afin de m'installer confortablement.

Le film commence mais je ne le suis pas complètement. Je déboutonne le bouton qui cache ma poitrine et caresse son genoux du bout des doigts. Son souffle se fait ressentir contre ma joue et sa main droite se lève pour se diriger vers mon cou. Elle me frôle et descend, caressant ma clavicule puis continue son chemin. Elle passe sa main sur les rebords de ma chemise, ma peau frissonnant légèrement.

Elle se lève soudainement, et se dirige vers la cuisine. Je ne vois pas ce qu'elle fabrique mais fais mine de remettre le film. Elle se réinstalle derrière moi et pose un bol à nos côtés. Je regarde ce qu'il contient et souris grandement. Je me retourne et son regard est joueur.
Elle fait descendre un glaçon le long de mon cou, passant mes clavicules et descendant dangereusement sur ma poitrine. Je frissonne de plus en plus, appréciant la morsure du froid sur la peau brûlante. Mes yeux restent fixés sur l'écran de son ordinateur qui joue je ne sais quel film.
Ses doigt laissent tomber le morceau de glace entre mes seins, le bloquant avec mon soutien gorge. Elle place un deuxième sur mon sein gauche, soulevant le tissu rapidement et le laisse placé sur mon tétons durcis et brûlant de désir. Elle rigole finalement et retire ses mains.

Je me retourne, frustrée :

— Tu te fou de ma gueule ?

Elle continue de s'enfoncer dans un fou rire et je me dirige vers mon sac pour en sortir un sachet d'herbe que je roule dans une feuille avec peu de tabac.

— Viens on sort.

***

L'odeur de la beuh mélangée au peu d'alcool que contenait cette bière nous enivre. Depuis quelques heures que je suis là, seule avec elle je ne cesse de la chercher. Sortir fumer était la meilleure et la pire idée que l'on ai eu jusqu'ici. Assises au milieu de son salon, vêtue d'une chemise ainsi que de mes sous vêtements rouges que j'ai choisis pour l'occasion. Pourquoi faire ça ? Après tout elle n'est que ma meilleure amie. Je découvre cette passion qui consiste à chauffer subtilement une personne. Avec des mots ou des attentions particulières. Justine est très joueuse et j'aime également cela.

Elle allume une bougie et je lance une playlist aléatoires de mes musiques douces et les lumières s'éteignent. Elle revient devant moi et pousse sur mes épaules pour que je m'allonge. Elle vint s'assoir à califourchon sur me taille et finit de déboutonner ma chemise. Ses yeux se perdent sur la courbe de mes seins qui dépassent presque de la lingerie rouge. Elle lèche sa lèvre inférieure et vint les poser sur mon cou, me mordant comme elle aime le faire et descendant sur mon torse. Je me relève afin de retirer ma chemise et mon soutien gorge.

Son visage descend entre mes seins puis lèche ma peau, remontant doucement vers mon mamelon droit. Sa bouche s'attarde autour mais ne s'arrête jamais à l'endroit voulu.

Je la repousse et inverse nos positions retirant son t-shirt au passage. Je viens directement mordre la naissance de sa poitrine puis Je remonte à sa mâchoire que j'embrasse doucement me rapprochant de ses lèvres sans les toucher. Je descend ensuit dans son cou et mord légèrement sa peau sensible.

— Je ne veux pas qu'on s'embrasse.

— C'était pas prévu meuf. Je réserve mes lèvres pour d'autres.

Elle rigole et je sourie en traçant un chemin humide de ma langue sur sa peau. Je retire sa lingerie de couleur noire et attrape directement son téton durcis entre mes dents. Je mords de plus en plus fort ma faisant gémis doucement. Plus je tire plus elle devient bruyante Et je jubile.

Je mords en dessous de son sein et laisse une marque violette sur sa peau. Elle semble perdue et j'attarde ma bouche sur ses abdos naissants.

Je m'allonge de nouveau et La chanson Thunder de Imagine Dragons se termine et on lâche quelques ricanements. Pourquoi ? peu importe.
Mes
Jambes légèrement écartées, celles de Justine entre les miennes, je la vois dangereusement approcher son pied de mon intimité.

— Tu vas pas ....

Elle appuie son talon contre mon entre-jambe mouillée.

— Tu vas tremper mon canapé bouffonne.

— Ta gueule putain viens ici plutôt.

Elle rigole et m'enjambe de nouveau puis, sans attende mord mon sein gauche et tire dessus. Des gémissements incontrôlés sortent de ma bouche. Ma main se perd dans ses cheveux et je les tire doucement

Ce petit jeu dure il me semble une éternité et elle finit par s'asseoir sur ma taille, jouant avec la peau gélatineuse de mon ventre.

— Tu t'amuses ?

— Oh oui

OS LesbianOù les histoires vivent. Découvrez maintenant