Sergio Muselman, ce personnage aveugle qui rêve du futur et celui auquel nous étions en train de nous référer jusqu’au moment, ne fut pas toujours un chanteur de musique pop important et reconnu. Il y a déjà deux décades qu’il n’était qu’un enfant timide et avide de surprises et connaissances qui avait une imagination si grande comme sa curiosité infinie. Il était un enfant de visage rougeâtre et blondinet qui habitait à un petit village occulte dans l’épaisseur verte et algide d’une terre ou la brise, encore aujourd’hui, s’insinue avec un certain mysticisme entre les fleurs.
Oui, il était un enfant qui adorait observer tout autour de lui. Un enfant avec les sens si éveillés que, de temps en temps, apercevait que les yeux rayonnants de la lune se posaient doucement sur la peau terse et soyeuse de ses rêves.
Sergio était un enfant travailleur et peu coquin qui faisait pleinement tous ses devoirs. Un des choses qu’il aimait plus était justement se lever tôt pour aller à l’école. Bien que si quelqu’un connaissait son histoire, nous dirait que cela a une raison d’être très exacte et concrète. Il nous dirait que Sergio ne se levait pas si tôt et qu’il arrivait à l’école très ponctuellement tous les jours, non seulement pour remplir tous ces devoirs d’étudiant, mais pour voir la belle Katherine et pouvoir voir la belle essence que les yeux de cette belle fille rayonnaient.
Sergio ne pouvait jamais oublier ce jour de clarté printanière, soyeuse et velouté où il vit Katherine la première fois. Cet instant-là, quand la professeure Jazmin la présenta à tous les étudiants de sa classe, Sergio tomba amoureux d’elle immédiatement, avec sa peau brune et tendre, ses yeux d’essence douce et libérée et ses cheveux noirs de jais incomparables. Depuis lors, Sergio n’arrêta pas de l’observer dans l’école de temps en temps dès son pupitre sobre de couleur terre-cuite. Quelque fois quand il regardait le tableau où quelque professeur en service expliquait une leçon, son regarde s’engageait distraite et discrètement vers elle, vers la belle katherine. Pour Sergio, elle était purement et simplement comme un ange que diluait dans son être un spirit bizarre de contemplation. Un spirit de contemplation et beauté comme celui qui pourrait avoir une chute d’eau gigantesque et sublime, amoureuse des yeux.
Bien sûr, la belle Katherine était une fille très travailleuse et studieuse qui n’a jamais eue une mauvaise note. Il n’y avait pas de doute, d’ailleurs elle était la fille la plus jolie de la classe et il est possible que la plus tendre, douce et fantaisiste. Et nous disons que la plus tendre, douce et fantaisiste parce qu’une de ses passions principales consistait à dessiner des cœurs tendres et colorés sur ses cahiers. Cependant elle était très silencieuse et ne parlais jamais avec personne. Ni même pour dire à quelque amie ou quelque professeur que son cahier d’espagnol était plein de cœurs de formes et tailles différentes. Non, elle ne parlait pas. Ni même quand son père, un des seuls qui ne connaissait pas le don indéniable comme dessinatrice de katherine, découvrit tel cahier et il la punit avec une sévérité exagérée. Il lui donna autant de gifles qu’un petit fil de sang sortait de ses lèvres et de son nez fin et retroussé. Katherine n’a rien dit. Elle resta simplement avec son être et son âme immutables pendant qu’elle voyait une bouffée de rancune que comblait de côté à côté le visage stoïque de son père. Une figure qu’il faisait chaque fois qu’il la frappait férocement. Une figure qu’il faisait plus grave à mesure qu’il voyait que la petite Katherine ne pleurait pas et ne perdait pas la beauté éblouissante de son visage doux quand le sang poussait de lui.
Mais comme il était prévu, après le châtiment féroce de son père, la belle Katherine arrêta de dessiner des cœurs sur ses cahiers, devint plus silencieuse, solidifia son cœur et plongea dans une aura plus froide et impeccable.
En une certaine occasion, Sergio alla jusqu’à prendre les mains soyeuses de katherine. Il les prit et découvrit qu’elles étaient si douces que la brise légère. Plus placides et chaleureuses que les sentiments divers d’une nébuleuse d’amour. Dans ce moment-là, quand elle sentit les mains de lui, elle éclata d’un rire éblouissant, précieux et absolu.
« Nous allons voir le miroir de la source de l'école » lui suggéra Katherine à Sergio, une fois quand il avait déjà gagné leur confiance et tous deux étaient amis.
« Vous savez quelque chose, Katherine ? Le miroir des yeux est le seul que toi retour un reflet sincère. Ou du moins ce que dit ma mère quand elle était vivante. »
« Le miroir des yeux ?, demandé Katherine à cette occasion. »
« Oui » dit Sergio, comme il s'inclinait un peu afin que ses yeux restassent à la hauteur de son amie mignonne. Elle, est à son tour, se tenait le regarder très concentrée.
« Que voyez-vous ? Que voyez-vous dans mes yeux ? » demanda soudain Sergio.
Après avoir entendu cette question-là, Katherine ne dit pas rien, mais souriait avec vigueur et Sergio se sentait comme s'il se promenaient dans les nuages de la vie et le bonheur ultime. Son sourire était apothéose pour lui. Oui, le sourire de cette jeune-là fille avec l'âme d'une splendide hirondelle.
Cependant, quelquefois le flux du temps est gris et nous enseigne moments amers. Pour cette raison, il y avait un temps dans lequel Katherine, comme cela a été dit précédemment, est devenu plus isolée et silencieuse, après la dernière réprimande de son père par les cœurs sur ses cahiers. Cela fait que Sergio se sentît plus solitaire que jamais dans ce paysage vallonné et vert dans lequel il vivait avec sa grand-mère. Sûr, Sergio ne savait pas que le père de Katherine l'a battue sévèrement et et beaucoup moins qu'apart des coups a cause des coeurs dans ses cahiers, Rodrigo, qui a été le nom du père de Katherine, avait strictement averti à sa petite fille que ne voulait pas qu'elle parlât avec l'un des enfants à l'école, parce que sinon, elle recevrait une punition vraiment terrible.
Après cela, il y avait de nombreuses occasions dans lequel Sergio se approché Katherine avec son petit coeur de fragile essence et rempli d'enthousiasme pour la saluer. Pas d'embrayage, la vie était trop opaque et elle, plongée dans un horreur psychologique de insoupçonnée proportions, ne revenait pas à saluer Sergio et lui traitait, aussi, avec une indifférence froide et indolent. Une indifférence avec la couleur sombre de la solitude.
Sergio ne comprenais pas ce que l'enfer qui se passait. Il no rêvait pas avec l'avenir en ces jours. Il n'avait pas devenu aveugle, mais il a estimait que l'obscurité de sa solitude était trop palpable.
Cependant, malgré que Katherine ne parlait pas avec lui ni avec personne, Sergio était content de la voir sourire même si c'était pour quelques secondes à l'école, et de savoir que il pourrait nager dans les eaux luxuriantes et doux des ses yeux. Des yeux qui rayonnaient une peur profonde, mais ils avaient aussi une magie étrange et inhabituelle dans les ténèbres de la solitude. La magie d'une brise légère et joyeuse et de un amour infini. Un amour de fragrance aussi unique et exquise que la vie.