« Maintenant que tu as fermant la fenêtre, Sergio, le voisin voyeur du bâtiment d'en face sera très déçu. Il jouissait avec notre amour et avec la magie de notre passion, mon cher. »
« Comme je l'ai dit, je n'aime pas que m'observent les voisins quand je fais l'amour. C'est quelque chose malade et anormal, Judy. Les couples besoin d'un peu de l'intimité. »
« Être espionné, dans l'acte d'amour, me semble très drôle. Un jeu délicieux et unique comme la vie. »
« Tu êtes folle, mon amour. »
« Folle de amours infinis. »
« Non, folle de passions trop intenses et de secrets trop mystérieux sur ta peau de la même folie et du même tissu que constitue l'essence d'un regard, Judy. »
« Mon aimé Sergio, mieux nous allons à la baignoire à inventer les étoiles de la passion. Sûrement, là te détendras. »
« Sergio était silencieux. Il regardait avec ses yeux aveugles et incompressibles à la belle Judy. L'indifférence de ses yeux aveugles était une vague turbulente et énigmatique de pensées indéchiffrables et absolus. »
« Puis-je te demander quelque chose, Judy ? »
« Bien sûr, le miel, dis-moi. »
« Pourquoi êtes-vous avec moi ? »
« C'est simple. Parce que vous avez une très belle et très élégante apparence, une grande carrière en tant que mannequin et chanteuse, et en dehors de cela, tu êtes riche et une icône de la mode moderne. N'est-ce pas assez ? »
« Quoi ! C'est seulement à cause de cela, mon amour ? »
« Non, bien sûr que non, que c'était une blague. Bien sûr que je t'aime de tout mon cœur, mon amour, et que je t'aime pour qui vous êtes. Je t'aime, en fait, avec la magie des étoiles les plus espiègles et lumineuses. »
« Bon à savoir, ma chere. »
Dans ce moment-là de délires volatils, de dialogues affectueux et tendres et de caresses passionnées et éternelles, sonna le téléphone mobile de Sergio.
« Ne vous inquiétez pas, répond au téléphone, disait Judy. Je vais à la baignoire à inventer les étoiles de la passion. Et là, je t'espère pour nager dans l'une d'eux et dans le sexe éternel de l'infini, d'accord ? »
« Bon », disait Sergio et ensuite répondu à l'appel sur votre téléphone mobile.
C'était Victor, le manager de Sergio qui appelait avec une voix extrêmement préoccupé.
« Bonjour, Victor, comment ça va ? »
« Très bien, Sergio, merci. Appeler juste pour vous rappeler que cet après-midi ont à assister à l'ouverture d'un restaurant à Maracaibo, et que demain vous devez donner un concert ici à Caracas, mon cher ami. »
« Oui, je sais, Victor. Vous n'avez pas à me rappeler mes devoirs tout le temps. »
« Alors, pourquoi ne m'as-tu pas appelé en jours, mon cher Sergio. »
« J'ai été un peu occupé, Victor. »
« Vous me disant la vérité, mon ami chanteur ? »
« Bien sûr, oui, j'ai été très occupé avec Judy. Vous savez, la dominicaine celle-là de collants verts, jambes minces et de larges hanches. »
« C'est impossible, Sergio. Êtes-vous sûr que ce que vous me dis n'est pas le résultat d'un de tes rêves étranges ? »
« Non, bien sûr, que non, Victor. Je vous jure que tout le temps j'ai été ici avec elle. Explorant la magie de l'amour. »
« Sergio, dites-moi une chose: combien d'heures t'accompagna elle ? »
« Combien d'heures ? »
« Oui, combien d'heures, mon ami ? »
« La vérité, Victor, c'est qu'en ce moment elle est ici avec moi. Elle est, plus exactement, dans la salle de bain de l'hôtel. »
« Je te répète que c'est impossible, Sergio. Judy est ici avec moi en ce moment. Si tu veux te communique avec elle. »
« Je ne trouve pas ça drôle, Victor. »
« Je suis sérieux, Sergio. Judy est ici avec moi et venu à demander pour toi. Très probablement, mon cher chanteur, c'est que tu êtes avec une fille qui a pris avantage de que vous ne pouvez pas voir. Et si cela étant le cas, je te recommande vous être très prudent. »
« La personne qui dit quelque chose de totalement impossible et déraisonnable sont vous, mon cher Victor. La fille qui est ici avec moi, c'est indiscutablement Judy. Elle a sa voix, la douceur de sa peau exquise, sa personalité irrévérente et, surtout, sa fragrance unique et pleine d'illusions de amour et passion. Croyez-moi, je ne me trompe pas. Vous savez que je pouvais reconnaître un parfum n'importe où, dans les limites de ce monde ou dans les coins de l'infini. »
Après un moment délicat de silence, Sergio et Victor se dirent au revoir, bout de quelques quelques recommandations de Victor. Après cela, Sergio est allé à la salle de bain de sa chambre d'hôtel en reniflant la piste d'un sillage séduisant et délicieux, et comme chasserant l'odeur de un encens de noisette. À cette la salle de bains que nous l'avons mentionné, une fille inventait les étoiles les plus brillantes de la passion du corps et de les essences de la vie. Des étoiles passionnés et infinies.
