Le soleil illumine les marais embrumés
Alors que se découpe une ombre alambiquée
Avançant doucement un fusil à la main.
Il n'y a qu'un chasseur pour partir le matin
La gibecière vide et le fusil chargé
Les sens bien affûtés et le chien emballé
D'aller de promener et pouvoir fureter
Bondissant au cœur joie au milieu des fourrés.
Profitant de ce monde aux senteurs bucoliques
Empoigne son arme au son caractéristique
Mais baisse son fusil d'un geste débonnaire
Quand devant lui s'envole un couple de cols-verts.
Angelina - le 10 septembre 2007
VOUS LISEZ
[Recueil de poésie] Contemplations
PoesiaRecueil de poésie sur le thème de la nature, des saisons et de la contemplation