Si tu lis cette lettre, C'est que la maladie m'a finalement emportée Quel maladie ? Et bien celle qui tuait mon âme Chaque jours Depuis un moment. Pourquoi je n'en ai jamais parler ? Car Quand je vous regardais Quand je voyais vos choix Vos décisions Elle était différentes des miennes Et J'ai su à ce moment Que vous ne pourriez m'aider Nous sommes différents Tous Souvent nous rencontrons juste des personnes avec des pensées similaires Mais Jamais Ô grand jamais Il y'aura une personne qui pensera comme nous Mais je me dis que quelqu'un m'étant identique serais un peu barbant alors je préfère le faite que personne ne me comprennent En ce moment mes pensées sont sûrement En train de m'engloutir, comme à chaque fois. Des mauvais souvenirs du passé Viennent tuer cette humeur joviale du présent. Au fond J'aurai aimée avoir quelqu'un avec qui parler, Quelqu'un en qui j'ai tellement confiance que Je lui raconterais, Sans m'arrêter Toutes ces pensées dans ma tête Toutes ces histoires qui me hantent Mais Je n'y parvient pas. Je n'est pas rencontrée une personne qui Rien que dans un regard, en quelques mots Une confiance immense émane d'elle; Je cherche cette personne, Cette personne à qui je dirais tout
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