La vengeance d'H

prologue :

Prologue :

Le bruit de l'arme qui se vide de sa balle retentit dans les rue de Gotham city, le Joker à encore frapper, de nuit comme toujours. Mais cette fois si le bruit est extrêmement proche la peur m'assaille l'estomac d'un mouvement rapide je me tourne pour prendre la petite main de ma fille dans la mienne, elle est au sol, ma petite et magnifique Luna est au sol, la balle du fou schizophrène c'est logé dans son sternum, le sang coule à flot, j'entends le rire démoniaque de l'homme au sourire d'argent, je le regarde droit dans les yeux et dans ses prunelles bleu océan je ne vois que le cruauté et le plaisir d'avoir tiré du plomb sur une enfant de 4 ans, la colère monte en moi comme jamais auparavant cependant j'entends la toute petite voix cristalline de ma fille m'appeler par ce mot si magique qui a emplit ma vie de bonheur, ce mot de deux syllabes qui veut tous dire : maman. Je m'abaisse vers l'amour de ma vie, je la prends dans mes bras tatoués comme un cocon indestructible, elle me regarde dans les yeux et me demande avec difficulté :

Luna : Après que j'aurais fermé les yeux maman j'irais où ?

Moi : tu iras avec les étoiles mon ange, tu seras la nouvelle étoiles du bergers car l'amour que je porte pour toi peux se voir à l'autre bout de la galaxie mon amour.

Essaye-je d'articuler, mes yeux verse un torrent de larmes mais j'essaye de lui adresser un sourire réconfortant et tendre, je ne veux pas que la dernière chose qu'elle voie soit une image à perdre le sourire.

Luna : tu peux dire la phrase ?

Moi : Je t'ai donné la vie et toi tu m'as donnée le bonheur, je t'ai offert mon cœur, j'ai bâti le ciel pour t'offrir le beau temps, et le mauvais, j'ai créé l'obscurité pour que tu resplendisses au milieu du néant et je te donne la chandelle de mon cœur pour que tu puisses t'éclairé, je t'aime mon ange blanc !

Luna : regarde les étoiles et tu me verras briller, je t'aime maman

Dit-elle dans son dernier et éternelle souffle ses yeux se ferme, un légers sourire prends place sur ses lèvres pulpeuse, son corps frêle se refroidit et pâlit une légère larmes coule sur sa joue rebondit et rosi par le froid de février, mon cœur se déchire dans un bruit sourd, je verse toute les larmes de mon corps je hurle mon malheur, je hurle : qu'elle doit revenir auprès de moi, je dois encore lui dire à quelle point je l'aime, je dois la voir grandir, je dois la voir devenir plus belle qu'Aphrodite, je dois encore la faire sourire, je la tient fermement dans mes bras, je me balance d'en avant en arrière tel une folle, je pleure encore et encore, j'enfoui ma tête dans ses cheveux blond ensanglanté, je la serre encore et toujours plus fort. Le bruit de canon resonne dans ma tête : bam et encore bam, le bruit ne veux pas sortir de ma tête, je pleure un torrent de larme salé, je ne vois plus ses yeux vairons bleu et brun, je ne vois que ses paupière pales, je n'entends pas sa voix, je regarde son cadavre et même dans la mort elle sourit comme si elle était la plus heureuse. Je l'appelle, je crie le prénom de mon enfant mais elle ne répond pas. Une main se pose sur mon épaule et une voix grave retentit dans mes oreilles tourmentées par le son du revolvers :

Inconnu : madame, elle est partie.

Moi : non, Non, NON ! Elle ne peut pas me laisser, je dois encore la prendre dans mes bras ! Je ne veux pas, elle doit revenir !

L'inconnue s'éloigne de moi, et moi je tiens fermement ma fille comme si ce geste aller la faire revenir, je regarde son visage au trait doux et j'explose en larmes, son visage est sali par mes pleurs, je l'appelle encore et encore mais elle ne revient pas elle ne me répond pas, ses yeux se sont définitivement cousus, elle est partie. Elle a rejoint les étoiles pour briller dans le néant, je lève ma tête vers le ciel, je repère Vénus et dans un murmure je prononce : je t'aime ma belle étoile.

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Prêtre : En ce 26 février nous enterrons ici en bord de falaise, une enfant d'âgée seulement 4 ans, morte par une balle en plein sternum nous savons tous que cette jeune enfant serait devenue, un femme intelligente aimante, belle mais sa vie c'est raccourci par du plomb. Nous la voyons toute les nuits dans les cieux ténébreux, nous la voyons et nous sourions quand nos yeux se pose sur elle, elle est devenue l'étoile la plus brillante de notre voie lactée, elle est devenue L'Etoile du Berger, elle est devenus Vénus ( Aphrodite dans la mythologie latine ), Je ne peux exprimer des mots sur votre chagrin à tous, mais je peux vous dire que rien que par vos paroles, je sais que cette enfant ne méritais pas un tel châtiment, elle aurais du gouter à toutes les saveurs de la vie mais cependant elle a connu le gout de l'amour d'une mère, elle a gouté au bonheur, elle admirée les étoiles des cieux maintenant elle est la plus belle étoile que tout le monde admire sans se soucier de sa mort mais à chaque fois qu'une personne la voie, elle ne voie que la beauté de cette lumière et ne peut s'empêcher de sourire comme elle souriait. C'est tous ce que j'ai à dire car les mots n'expriment pas la souffrance que vous pouvez ressentir !

Je me lève de mon fauteuil, les yeux emplit de larme le discours du prêtre était le dernier, je me dirige vers la tombe de mon enfant j'enroule son foulard entre les branche en forme de croix et dépose son doudou avec elle dans la boite de bois ainsi qu'une photo de nous deux à Cuba, Nous commençons à enterrer mon enfant, mais je n'y arrive pas je m'écroule en sanglots dans les bras de ma sœur et ma mère, ma fille est tous pour moi, elles est mon univers ma raison d'être mais elle est partit, je ne suis plus rien sans elle je suis une coquille vide cependant je te fais la promesse que je te vengerais Luna .

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Salut, comment allez-vous ? J'espère que cette nouvelle fiction vous plait ! Si vous avez des commentaires n'hésitez pas ! sur ce bonne soirée bisous 😊