Chapitre 9

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Écouter le média ! Moi perso j adore !

Chapitre 9 :

Je suis devant la porte du bureau de Lady Plassard. Lady Plassard est un nom de code. c'est une femme  recherché par les forces spécials du monde entier, je me souviens encore de ce jour ou pour la première fois je l'ai vue, c'était durant mon apprentissage à l'académie de Rochelin, elle n'était encore qu'une simple adolescente, mais qui pourtant avait perdu toute trace d'innocence dans son regard meurtrier, à l'époque sur ses joues rebondi avec quelques boutons d'acnés nous pouvions  souvent voir des sillons peint rougeâtre. Cependant chaque matin dans les vestiaires des femmes après notre jogging quotidien, je la voyez essoufflées autant que nous malgré son asme mais elle se tenait là droite devant nous toute, la tête haute,le regard sombre. Malgré son jeune âge elle a réussi haut la main  les examens d'entré au sein du métier très privé de l'espionnages, et dans sa carrière elle a gravi les échelons jusqu'à devenir une des femmes les plus redouté de cette planètes. 

Je toque à la porte en bois d'acajou, et la jeune femme au court cheveux blond et le nez troussé d'une paire de lunette m'ouvre la porte, j'entre dans la pièce de petite taille recouvert de verre, Lady Plassard s'installe sur son fauteuil digne de celui d'une reine et moi je m'assois sur celui en cuir brun derrière le bureau ou juste à ma gauche Will et paisiblement installé, le regard traînant sur les personnes navigant dans la ville aux vagues d'ennuies. La voix stricte de la grande blonde nous parviens 

- " excusez-moi pour cette demande de visite de votre part mais j'ai récemment appris que vous avez pour mission de retrouver le joker et l'arrêter, je veux faire partis de votre équipe pour le coffrer sur cette mission je ne serais pas votre supérieur juste votre coéquipière "

Je lance un regard à Will tout aussi étonné que moi, et sans plus un mots nous acceptons.

Lady Plassard ravis de cet nouvelle nous accorde un sourire gratifiant, et nous mets à la porte comme de vulgaires chiffons usagé, cette petite fille n'a pas changé toujours aussi tourmentée. Je quitte le bâtiment blanc, blanc comme la mort, putain la mort m'a tellement pris, je revois son sourire lumineux, sas cheveux parsemés de lumière comme ceux de son père, mon enfant était si belle, elle me manque tellement, je n'arrive plus à vivre depuis qu'elle est devenue une étoile, je ne vois que la noirceur de ce monde nébuleu. Ma Luna si tu m'entend, si tu m'écoute, si tu me regarde depuis le ciel qui est ta seconde résidence je t'en pris prend moi avec toi. Je continue mon chemin cependant une légère larme roule le long de ma joue. J'atteins ma voiture mais je n'ai aucune envie de retourner chez moi, mon chez moi sans vie. J'allume le moteur, et roule en direction de la salle de boxe, ma came contre les mauvaises pensées qui me rongent l'esprit. Dans les vestiaires salit du côté femme je me change rapidement et remarque sur le miroir fissure que j'ai pris du poids, j'essaye de faire disparaître cet excès mais rien à faire alors je laisse tomber et me dirige vers un sac de frappe rouge : certainement pour masquer le sang.

J'enfile une paire de gants et laisse mes poings valser sur le cuir prenant la marque de mes coups, je déchaîne ma rage, mon ombre, telle une furie j'ai besoin de sentir mes poings cogner, j'ai le besoin de ressentir le cuir se mouver sous mes assauts, je dois entendre ce léger bruit quand le sac se balance par la chaîne qui le retient, putain ça c'est le pied. Je laisse mes tourments se déchaîner tel une tempête en bord d'océan, les géantes vagues sont ce qui représentent ma colère ardente, les éclairs : les coups avec lequel je me vengearais, l'orage: les cris du Joker quand il me verra arriver avec mon arme et puis le vent se sera le bruit que fera la balle quand elle viendra se nicher dans le sternum du Prince du crime.

Je quitte la salle de boxe, pour me rendre dans un endroit qui me rassure tout autant : le cinéma, je paye une place et entre dans la salle accompagné d'un sceau de pop corne, cet odeur celle des sucrerie me berce, et puis les fauteuils rouge parfois taché de soda sont si réconfortante dans leur bras tendres, et puis il y a aussi la pénombre celle dans laquelle personne nous vois celle qui nous couvrent de tout ces jugement celle qui nous prend la main et qui nous accompagnent dans une passe difficile, je m'installe au dernier en plein milieu pour avoir une meilleure image. Les pubs passent rapidement et le films commencent enfin. La petite fée que ma fille adore, clochette avec son chignon et sa robe verte est en train de piquer une crise beaucoup de personne rigole pendant que moi je serre les dent pour ne pas laissez un sanglot s'échapper d'entre mes lèvres, je serre mes mains sur l'accoudoir et comme un rêve ireele je sens une main avec une fine bague à l'index celle de ma chérie, je ferme les yeux et la revois rigoler et manger tout le pop cornes, je me sens mieu mais pas assez pour ne pas quitter la salle à la fin du film !

Une revenante désolé par mon absence mais c'est bon l'inspiration est revenue ! Le chapitre est court mais bon ! Le prochain sera mieux enfin j espère ❤ bon bisous mes chou à la crème !

La vengeance d'HWhere stories live. Discover now