chapitre 6

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Chapitre 6,

 pdv Ashley :

Je quitte l'appartement de mon chère coéquipier pour à grande enjambé rejoindre ma petite voiture grise laissé sur un parking de la place central de la métropole. Je monte dans celle-ci et allume en vitesse le chauffage car malgré le temps qui me presse le froid de décembre me frigorifie, je roule à vive allure jusque dans un entrepôt délabré et laissé à l'abandon, je me gare à la vas vite et entre dans la baptise grisâtre et légèrement abîmer, la pluie a laissé de sale trace sur la devanture de l'immeuble. Je pénètre dans le bâtiment laissé à l'abandon depuis bien des années. Je serpente les couloirs tombant en ruine en sautant par moment pas dessus les débris. La fin du couloirs approche ou une lumière blanche m'éclaire, je continue mon avancé jusque-là porte à mon nom, je pose ma main sur la poignée froide que j'abaisse et dans cette ambiance hostile j'entre en tant que l'ombre m'habitant.

La pièce qui m'est destinée est d'un blanc parfait presque angélique mais ce qui se produit dans cette salle est tous sauf angélique mes actes sont démoniaques, j'entre dans l'antre du diable à pas léger, je ressemble presque à ces petite fille de film d'horreur qui avant de commettre un massacre marche tranquillement en sifflotant. Je me dirige donc vers le fond de cette salle ou mon futur-torturé est enchaînée sur une table en métal. Au-dessus de lui, mes cheveux frôlant son visage, je le dévisage, cet homme est un mafieux russe très puissant et puis il détient en son esprits des informations qui me sont nécessaires pour accomplir mes tueries à bien. Je m'écarte de lui et sur mon passage lugubre je me munis de ma dague en argent sculpté, je reviens jusqu'à mon détenue et de ma voix la plus effrayante je commence :

Moi : Bonjour Monsieur Grayson, je ne vais pas passer par les préliminaires je vais aller droit au but, vous avez en votre possession des information qui me sont importante : que savez vous des plans du Joker ?

L'homme allongé en fasse de moi ne répond rien absolument rien , je soulève donc la lame jusqu'à son épaule mais avant de l'égratigner, l'homme au cheveux blond bouclé commence à énoncer :

Monsieur Grayson : La vraie question chère Ash, vous me permettez de vous surnommer ainsi ?

Je ne réponds rien, le flots de tristesse envahit mes veines.

Monsieur Grayson : Je prends votre mutisme pour une approbation, je disais donc que la vraie question est : est ce que vous voulez véritablement vous venger ?

Moi : mon chère monsieur mes intentions ne vous regarde guère, je souhaite seulement avoir quelque informations !

Lui : excellent, je vous les dirais seulement à une condition : je souhaite ne pas aller en prison premièrement et deuxièmement je veux intégrer votre équipe pour exterminer le prince du crime.

Moi : Pourquoi ?

Lui : chacun de nous a ses raisons belle tatouée.

Moi : il est vrai, je vous accorde vos obligeance mais  vous serez avec moi ou mon collègue h24, 7j/7j.

Lui : J'accepte, notre échange a été rapide et j'en suis ravi mademoiselle.

PDV : Louna

Je suis confortablement installé sur le canapé miteux de Will, tout en regardant les dernières nouveautés à la vielle télévision. Le joker a encore frappé, cette fois ci il a assassiné une femme enceinte à coup de batte, la jeune femme a été retrouvé dans le cimetière sur la tombe de son époux défunt, et le corps dénudé. Le joker est un malade ! Il n'a aucun honneur et aucune conscience, il est près à assassiner des innocents juste pour apercevoir cette peur dans leur pupilles, pour admirer l'éclat de vie s'éteindre dans leurs yeux se vidant de présence, il est prés à tuer seulement pour pouvoir toucher ce liquide écarlate à l'odeur métallique. Et puis il y'a cet imposteur d'héro, ce prénommé Batman qui s'est enfuis comme un lâche qui nous a laissé nous démerder et pourquoi ? car monsieur croyez que le joker était bien enfermé et que comme sa conscience était tourmenté par ses crimes et ses démons il a coupé le fil de sa carrière pour aller partir se reposer dans les Caraïbes, lui aussi me dégoûte  ! des bruits de pas me sortent de ma rêverie, je me retourne et aperçois Will en serviette, sa serviette blanche est noué autour de sa taille, quelque gouttes ruisselle le long de son corps musclé, ses cheveux bouclé sont humide et puis pour ne pas terminer cet œuvre sublime il m'adresse un clin d'œil malicieux.

La vengeance d'HWhere stories live. Discover now