chapitre 8

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Chapitre 8 :

c'est bon tu peux pleurer car des fois les sanglots te libèrent, c'est une faiblesse qui te rend fort, au creux de ton cœur il te délivre de tout ton malheur , ils sont l'épaule sur laquelle tu peux te poser pour aller mieux après, tu pleure le soir pour mieux te battre le jour et afficher un magnifique sourire qui une putain de connerie que tout le monde crois car c'est tellement plus facile de croire que tout vas bien alors que le soir je pleure car j'ai cet putain de peur d'être abandonné, j'ai peur d'avoir fais une erreur, d'avoir était top dur j'ai cet putain de peur de devenir insensible, j'ai cet putain de peur de merde de me réveiller en me disant que j'aurais pu mieux vivre et je vais me battre pour y arriver mais il y'aura toujours cet peur d'entendre le mots que je ne peux pas entendre, ce mot que je déteste  , ce mot que je m'interdit d'être : Menteuse et il me l'a dit et cela ma creusé un sillon dans mon cœur cela m'as perdu mais je ne peux pas non plus lui en vouloir jusque la mort car au fond je l'aime

PDV  Ashley:

J'entre dans la petite pièce, je couvre du regard la chambre de Will n'étant pas très bien équipé, seul un lit et un canapé menu décore cette chambre au couleur lugubre, je continue mon inspection mais après tout il n'y pas grand chose à décrire, alors de mes chaussures je foule le sol grisâtre de la pièce jusqu'au canapé anorexique, j'essaye de m'allonger au mieux que je peux, après plusieurs minutes de changement de posture je trouve enfin celle qui me convient je reste ainsi quelque temps mais la voix de basse de Deadshoot m'interpelle :

Will: Ashley tu es ridicule. Viens plutôt dans le lit

moi: Avec toi ?

il balbutia quelque mots mais il trouve soudainement l'inspiration pour me répondre

Will: Oui, je suis trop grand pour le canapé.

moi: Non, je suis bien ainsi et tu n'as pas besoin de me contredire je reste sur ma position.

Il souffla mais ne riposta cependant pas puisqu'il sait que la bataille est perdu d'avance, je ferme les yeux pour pouvoir à l'aveuglette trouver les doux bras de Morphée pour que celle ci m'emmène dans un lieu mieux que celui dans lequel je vis, je trouve avec faciliter la douce chaleur du corps de la déesse et je me laisse bercer dans ces bras plein de tendresse. Dans un océans au couleur des ombres de mon passé je suis guidé, sur cet océan je navigue jusqu' à une petite fille à la chevelure blonde coupé court et surmonté d'un serre terre oreille de chat, je rame encore pour arriver à sa hauteur, je descends de ma barque sur laquelle je naviguer sur les vagues de l'abandon, pour poser pied sur le rocher sur lequel la jeune fille est assise je pose ma main tatoué sur l'épaule de l'enfant, le petite se retourne est ses yeux illuminé par le clair de lune me fixe, elle me fixe, se relève et m'enserre de ses frêles bras, je lui rend son câlin en veillant à ne pas le blesser, d'une main je lui caresse ses cheveux soyeux je la garde ainsi quelque minutes avant de me séparer de cet ange, je la regarde attentivement et j'enregistre en ma mémoire chaque détaille de son visage à la peau d'ivoire, la peau de son père. Je la regarde toujours, je la regarderais toujours, je la regardais toujours car elle est mon ange disparus. Ses beau yeux me scrute,i nous nous voyons et pourtant nous sommes tant éloignés, nous somme tout prêt mais à des millier de kilomètre l'une de l'autre, je peux lui tenir la main mais sa main sera froide et sans vie, ce ne sera jamais comme avant ! Le ciel marin s'obscurci signifiant mon départ je plonge mes yeux une dernière fois avant de retrouver la lumière du conscient. je me réveille dans le canapé, je me lève et me dirige vers le salon ou Will habillé d'un costard prépare le déjeuner je me lance alors dans une question :

moi: Pourquoi es-tu en habit de luxe ?

Will: J'ai un rendez-vous avec Lady Plassard et tu sais comment elle est !

La vengeance d'HWhere stories live. Discover now