CHAPITRE:II

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La chambre où je me trouvais était grande sombre et humide. L'odeur qui se dégageait n'était autre que du moisi et du soufre. Du soufre ? Ce qui signifie que le bâtiment se situe sous un volcan. Non c'est impossible, je devais halluciné. Tout se rêve m'avait chamboulé l'esprit j'apercevais encor l'ombre de la faucheuse sur les murs froids et mou de ma chambre. Je regardais constamment le plafond, ma position me faisait voir tout l'organisation du charpentier.

Les poutres d'un marron immaculé de petites taches de moisissures, la plus haute et la plus grosse se trouvait au centre. Elle n'avait rien de pareille à ses confrères. Elle avait des courbes sombre et sublime. La petite ampoule de verre posé dessus et dont les câbles électriques était visible tel le serpent se faufilant autour de sa proie et ne la laissant plus s'échapper pour l'étouffer et en faire un festin tragiquement délicieux. Dans la poutre central se trouvait aussi deux trous dont un plus gros que les autres, le premier laissait percevoir une petite colonie de fourmis s'étant installer dans le bois pour les longs et périlleux hiver qui soufflait et recouvrant de neige le sol déjà fraîchement mouiller par la rosé du matin. J'imaginais déjà le lever du soleil et l'herbe toucher et caresser par la douce pluie qui donnait à l'air son odeur et son parfum si délicat qu'on ne pourrait le décrire d'avantage. Je voyais les belle perles de pluie ruisseler sur le corps de cette belle et piquante femme à la chevelure de printemps, à cette femme se nommant rose rouge et autres amis qui portent son nom en commun. J'imaginais les insectes se laver, faire leurs toilette avec cette eau pure tombant du paradis. Je voyais les papillons virevolter, les abeilles butiner, les araignées tisser. Tout ce que la nature avait de beau à nous offrir. Dans le second trou gigantesque se trouvait une autre colonie les insectes à l'intérieur de ce cratère étaient plus vorace les uns que les autres. Ont les appelaient les termites la nature avait certe bien fait les choses mais pas pour ces bestioles, elles inspirent le dégoût, ces créatures mangent et détruisent tout ce qui est végétal et dur le bois. Ils ne sont pas les seules d'ailleurs le capricorne en fait partit, lui il se fraye un chemin dans l'arbre pour ensuite mordre la source de sa vie son cœur. Je comprenais mieux maintenant pourquoi le bâtiment était moisi, à tout moment il pouvait risquer de s'effondrer. Le seul et unique but de ces bêtes sauvages est de nous détruire en tuant tous nos arbres elle risque de détruire toute notre réserve d'oxygène, la terre se jour quand il arrivera sera éradiquer, elle aura disparue du système solaire.

Pendant que je réfléchissais la poignée de la porte s'ouvrit tout doucement et je vis la jeune et jolie infirmière de tout à l'heure avec un fauteuille roulant. Je ne savais pas pourquoi l'on m'apportait un fauteuille roulant. Je pouvais très bien marcher seul. Elle s'approchait de moi tranquillement passant et prenant tous les médicaments dont j'avais besoin, ensuite avec la passion, la dextérité et la douceur qu'une femme puisse avoir. Elle m'aida à me lever et à m'habiller soigneusement de beau vêtement neuf et propre ornait et protégeait mon corps, puis elle fit ma toilette. Je pouvais l'observer, la regarder attentivement pendant qu'elle  me préparait avec soin. Je pouvais voir la beauté dont elle était faite. Ce qui lui servait d'uniforme était une blouse blanche fraîchement sorti du sèche linge, par dessus était disposé un vieux tablier sale couvert de sang et de microbes, en guise de chaussures elle ne portait que de petites pantoufles couleur bleu ciel. Sur sa poitrine on pouvait voir une énorme croix rouge et sa plaque d'identité elle se nommait Hélène. Quel doux prénom pour une aussi belle infirmière, son visage était sublime c'est cheveux blond imprégné de la chaleur du soleil et de l'éclat de de l'or, des pupilles bleus topaze lui décorait les yeux, un nez fin et pour finir une bouche fine et pulpeuse laissant jaillir une toute petite quantité de poudre rose sur ses lèvres. Quand elle eu finit, elle me sourit et commença la partie la plus délicate m'asseoir sur le fauteuille roulant, ça ne fut pas facile mais après quelques essai perdus je réussi à m'asseoir dans le fauteuille et je me sentais éreinté par la durée et la force déployé juste pour réussir à m'asseoir.

Je roulais maintenant dans de longs couloirs sombre et sans aucun bruit, je pouvais apercevoir les lumières qui s'allument à chaque fois que nous avancions. Quand j'y voyais plus clair je pouvais admirer la peinture des murs et la structure des couloirs tous différents en passant de la longueur à la largeur avec quelques portes doubles ou l'on pouvait lire bloc opératoire. Nous arrivions à un moment devant une porte: "salle d'examen" je sentais mon cœur battre dans ma poitrine de plus en plus fort et de plus en plus vite, l'infirmière me dit de ne pas m'inquiéter et que tout ira bien, malgré toutes ses tentatives pour me rassuré, je n'étais pas moins anxieux.

La porte ouverte nous entrons maintenant dans la salle blanche ou mes yeux souffraient tellement la lumière était forte, comme si je n'avais pas revu le soleil depuis des millénaires. Je vis dans la salle assis sur sa chaise de bureau une femme avec un stéthoscope autour du cou, à côté d'elle se trouvait une infirmière et ce que je supposais être un stagiaire c'était un homme assez jeune. Les deux médecins se présentaient à tour de rôle, le premier était le docteur Shinaya, elle avait des cheveux couleur châtain et de délicieux yeux noisette, sur son nez était poser des lunettes. Elle était très calme et souriante, elle me mis directement en confiance c'était incroyable tout mon stress avait disparu je me sentais libre et détendu. Son associé comme elle l'aimait l'appelé était brun avec la barbe de trois jours il était assez sérieux pour un jeune homme de son âge, normalement les personnes de son âge adoreraient rire, jouer mais lui ce n'était pas le cas il était sec sans aucune originalité émotionnel, c'est yeux bleu accentuaient encor plus son côté sérieux et travailleur. Ils me firent comprendre qu'ils seront mes médecins attitrés et s'occuperont de moi. Ils commencèrent sur moi des séries de test basique comme la température du corps, la taille, le poids, la tension, les pulsations cardiaque… Et finirent par trouver une paralysie général aux jambes impossible de les bouger. Mon corps avait totalement couper les liens qui unissaient mon côté intellectuel à mon côté moteur le fil ces brisé après un choc un très gros choc émotionnel ? Physique ? Mystère, ce qui est sûr est que j'étais totalement paralysé de mes jambes. Après avoir fini leurs observations ils dirent aux deux infirmières présentent dans la salle de me présenter la directrice.

Quand je sorti de la salle j'étais apaisé, et le chemin pour aller d'ici à la salle de cette directrice était long nous sommes sorti dehors, et enfin je pouvais respirer l'air qui remplit mes poumons de fraîcheur incroyable. Quand nous étions rendu au bureau de la directrice j'avais eu soudainement froid dans le dos, et tous les trois nous rentrions dans la pièce et derrière nous la porte se claqua. La pièce où nous nous trouvions était belle et douce, les couleurs de la pièce était assez sombre et érotique. Je roulait sur une moquette bordeaux et au fond de la pièce se trouvait un bureau en bois de chêne massif, des courbes dessinées et construit à la main et poser dessus des tonnes de paperaces et deux lampes une reflétant une lumière rose ce qui allait subliment bien avec les rideaux de même couleurs, c'est rideaux étaient long et soyeux accrocher aux fenêtres. Et la deuxième était du même rouge que le mur une parfaite harmonie entre les couleurs purement féminine de ce monde. Et elle entra enfin la directrice, cheveux long ondulé et noir, de magnifique yeux violets cosmique ravissait son visage sublime, elle était parfaitement dessinée. Elle avait une voix d'ange et en même temps très cruelle. Elle me fis savoir qu'il ne fallait en aucun cas enfreindre les règles du pensionnat sous peine de sanctions, et de ne jamais quitter le bâtiment ou bien ils seront obliger de me lessiver. Sur ses mots elle demanda à Geneviève de m'accompagner jusqu'à ma chambre.

Dans des couloirs totalement différents des locaux d'avant elle m'emmenait jusqu'à  mes appartements. Geneviève était très âgé cheveux blanc attaché en chignon, yeux vert et lèvres sèche. Elle m'apprit que le bâtiment était coupé en deux d'un côté il y avait les appartements de chaques pensionnaires et de l'autres les locaux médicaux j'en savais un peu plus sur l'endroit où j'ai atterri.

En découvrant mon appartement j'étais fou de joie à avoir un propre chez moi, les murs étaient magnifique et le revêtement du sol accompagnait les murs à merveilles j'avais tout mon petit confort ici. Geneviève me prévenu que je devais être lever pour huit heure pétante et que je rencontrerai les autres pensionnaires le lendemain matin. Elle ferma la porte, je me posais tranquillement sur mon lit et m'endormis comme un loir.

Psychose Paranormalment dystopique Où les histoires vivent. Découvrez maintenant