CHAPITRE:III

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Le lendemain matin, j'étais réveillé à sept heure. Je m'habillais d'un bel uniforme de soirée, quelque chose que j'avais trouvé dans mon armoire, et attendit sur le bord de mon lit. Peu de temps après une mélodie me parvient jusqu'au fond de mon tympan. Mon ouïe était très fine, même si les isolations des murs était fabriqué de façon à ce qu'on ne puisse rien entendre. La mélodie du piano faisait comme une danse, les doigts de la personnes qui jouait ne s'arrêtait pas, aucune pause entre chaque notes, la mélodie du bonheur résonnait à mes oreilles, si majestueuse était cette musique. Dans ma chambre je regardais, j'observais, et vis un violoncelle à côté du mur. Le bois sculpté et taillé pour donner ses courbes informes et propre. L'archet lui poser prêt du violoncelle était fabriquer à partir d'un bois brut et sombre, et pour ficelle se trouvait le crin d'un cheval blanc. La combinaison des deux objets se marient à merveilles. Je pris l'instrument et le posa à terre prêt de mon lit, et je commençais à jouer la première chose qui me vint à l'esprit, et l'archet commença à frotter les cordes tendu. Les variantes graves et aigus de mes doigts sur les cordes rendait le son flexible et manipulable par ma conscience. Le piano d'un coup s'arrêta et m'écoutais maintenant jouer. Peut de temps après il reprit et joua des accords en essayant de respecter ma mélodie, et l'harmonie qui régnait entre ses deux instruments me transporta dans un rêve qui m'était inconnu. Et me voici dans le monde de l'imaginaire je me voyais en train de jouer une partition accompagnée par un orchestre tout entier. Et en regardant le piano je vis une silhouette, mais je n'arrivais pas à mettre quelqu'un sur cette étrange image. Peu de temps après je me réveillais toujours vers mon violoncelle, et regardant l'heure, il y était inscrit sept heure quarante je n'étais pas encor en retard.

Alors me dépêchant j'ouvris la porte et vis la jeune infirmière elle me conduisit sans un mot vers le réfectoire. Quand j'arrivais à la salle en question je pris un plateau et fis la rencontre des cuisiniers et cuisinières du pensionnat. Je pris des fruits, un bol de lait chaud et une tartine de pain grillé, et alla m'asseoir à une table. Me voilà seul. Une autre infirmière que je n'avais jamais vu au part avant entra dans la salle. Elle était brune et forte son caractère était sévère: ni souriante, pleine de haine. Elle prit un papier et nous appela un par un, dans la salle nous étions six. Sur chaques tables rondes colorés de bleu se trouvaient d'autres pensionnaires comme moi. Le premier que j'aperçus était brun, aux yeux marron, un marron pur comme les miens. Il semblait avoir mon âge, et je pus ressentir en le voyant une tristesse qui émanait de lui, je sentais les larmes monter. La souffrance qu'il éprouvait était celle d'une perte, une perte cher d'un être aimé au plus profond de soi. La table à côté de lui comptait deux personnes assez âgées, les sillons tracés sur leurs visages à tout deux montraient la longévité et la patience, de la guérison. Deux êtres humains mais avec un caractère bien différent. L'homme était aigri par la douleur que procurait la vieillesse sur son corps frêle et mort, par les courbatures, les maux de dos et d'autres problèmes liés à l'âge de la sécurité. Ce vieu loup de mer avait un regard d'assassin, effrayant comme la nuit froide ou le loup rôde dans la forêt chassant sa proie, une pauvre biche sans défense à qui il serait facile d'ôter la vie et de déchirer la chaire avec ses dents acérées. À côté de lui se tenait une femme du même âge qui souriait et illuminait de son sentiment de bonheur les visages les plus déprimant. Un sourire parfait qui laissait penser que la mort ne lui faisait pas peur, elle avait tout fait dans sa vie, et cela se voyait d'un seul regard, malgré les difficultés ses deux personnes. Elles se souriaient et s'aimaient comme au premier jour. L'amour les avait infecté de sa passion, incapable d'y échapper, un jour ou l'autre nous sommes tous obligés de trouver l'amour et de "passer à la casserole." Un couple ne se laissant jamais abattre par les dangers, et les malheurs que pouvait offrir la vie. À une autre table se trouvait une femme au cheveux blond et aux yeux de jade, elle pensait je ne m'attardais pas sur elle après tout elle ne m'intéressais pas, contrairement à une autre fille qui lui ressemblait beaucoup, mais qui était plus coquette et jolie, elle me regardait et me fis penser à quelqu'un. Ils me faisaient tous penser à des personnes que je connaissais dans le passé mais je ne saurais dire qui ? Je regardait mon plateau et son contenu, je le savourais lentement et longtemps. Après ce petit déjeuner copieux je retournais dans ma chambre.

La jeune et belle infirmière m'y attendais pour mes examens quotidiens. Elle vérifiait surtout l'état de mes jambes paralysés.

Une heure plus tard je sortis de ma chambre et vu la jeune fille de ce matin et décida de la suivre. Elle me fis traverser beaucoup de couloir sombre et de pièce inconnu, je pensais que ce n'était qu'une illusion. Quand soudain j'arrivais devant une double porte en bois cirée et lustré je rentrait dans la pièce éclairé de bougies sur les murs, et vis de mes yeux grand ouvert une magnifique et géante bibliothèque. Par terre je vis la petite fille lisant un livre. Je pris celui qui était à côté d'elle et commença à me plonger dans l'aventure d'un héros chevauchant un cheval et partit à l'aventure pour sauver le monde, les livres fantastiques était l'un de mes registres préféré. Après avoir lus deux livres de plus de cinq cents pages chacun, je me rendis vite compte que la petite fille n'était plus là. Me suis-je sans doute assoupie quelques heures ? Quand je repris totalement mes esprit je vis la vieille femme du petit déjeuner, et elle me demanda si je voulais prendre le thé avec elle cet après-midi, sans aucune hésitation je répondis, Oui !

Psychose Paranormalment dystopique Où les histoires vivent. Découvrez maintenant