CHAPITRE:IV

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Je suivis la vieille femme, ont passaient dans des couloirs à n'en plus finir et à en perdre tous notre sens de l'orientation. Le bâtiment seul et tous ses pensionnaires ressemblaient à des illusions, sans doute que j'en faisais partie, je ne savais rien. La structure du bâtiment était tellement étrange. Je ne saurai dire si j'étais en plein rêve, avec toutes ces questions. Mais je continuai à avancer sans dire un mot, elle ne parlait pas non plus, comme concentrer sur son but d'aller à un endroit précis. Je lui demandai Où est-ce que nous prendrons le thé ? Elle me dit que je le serai quand j'y serai. Cette réponse ne me plaît pas, mais alors pas du tout. Après tout j'avais le droit de savoir ? "Ce n'est qu'un lieu" . Me dit ma tête" ce n'est pas le plus important". Nous voici maintenant à pousser une porte en tronc d'érable avec des courbes creusées dans le bois par un artisan de talent, sont travail exercé avec soin pour extraire la beauté du bois, est tout bonnement magnifique pour mes yeux. Et on traversa une grande pièce, ont se retrouva face à une fenêtre une très grande fenêtre, avec de petits carreaux séparé par le blanc de la fenêtre, avec comme seul contraste la poignée noir torsadé fait en métal froid, et dur comme les fouets utilisés pendant la ségrégation. Elle ouvrit doucement la porte, et je vis l'un des plus beau jardin du monde. 

Je peux voir le paysages relaxant et positif de ce jardin, avec le plus grand sol pleureur du monde les buissons et fleurs à foison, et les lampadaire qui d'un simple regard la lumière me parvient. Elle me fit asseoir sur une table blanche dont le soleil réfléchissait de sa lumière puissante, et qui pouvait rendre aveugle d'un seul contact. Son mari était assis lui aussi toujours avec son air grincheux. En discutant et buvant mon thé d'un marron très clair qui tournait avec ma cuillère comme une baguette magique, et sa poudre blanche en pierre qui donnait le goût le plus doux de la terre. C'était d'un délice et j'en appris beaucoup sur tout le monde. 

J'observais les enfants jouer au football, ils avaient l'air de s'amuser, sans offenser notre couple je leurs demande si je peux jouer avec eux. Elle me fit oui de la tête et je partis les rejoindres. En me retournant je vis le bâtiment géant et on ne voyait que des fenêtres de ce côté, et sur l'une je pus voir la directrice, elle regardait ses pensionnaires tel un médecin examinait ses patients enfin "clients." L'observation fut brève car le simple fait de la regarder dans les yeux vous paralyse et vous glace le sang, le mien n'a fait qu'un tour lorsque je vis son regard croiser le mien. Cette fois ci elle souriait et son visage laissait paraître la gaieté d'une mère attentionnée par ses enfants. 

Et je partis jouer au football avec les autres de passes en passes, de tir en tir, de but en but la fatigue se faisait sentir dans les deux équipes normal après une heure de jeu. Les deux équipes sont à égalités:<< 30 partout. Un point décisif va changer l'issu du match ou plus communément ce sera la botte de foin qui va faire basculer la remorque. Le coup d'envoi est donné une passe magnifique !!! De l'équipe qui s'avance vers les cages, et est prêt à tirer mais le ballon est intercepté par l'équipe adverse et ce sont eux qui contre attaque désormais ils se jouent de la défense et il tire ! Quel incroyable arrêt du gardien. Il relance à ses coéquipiers qui d'une vitesse folle arrive vers le but adverse, malheureusement un défenseur lui barre la route. Il passe la balle à un nouvel arrivant qui tire d'un coup sec>>. La balle atterissa dans les filets comme un oiseau qui chassait sa proie et rien ne put l'arrêter ! La voici notre botte de foin qui d'un coup de pédale marqua le 31ème but de son équipe. Pendant quelques secondes je ne réagissais pas. C'étais moi ! Moi qui est marqué. Après cette victoire inattendu, je partis me promener dans le jardin. 

Les renoncules, les tulipes, roses et arbres fruitiers faisait naître un magnifique parfums de la campagne. Au loin je vis un lac. Le lac près du sol pleureur, eau trouble et dégoûtante où vivaient les écrevis, tanches et autres poissons aussi gros et impressionnant qui nageaient sans mémoire continuel et qui ne se posaient jamais les questions de leurs miserable vie aquatique. Vivre en tant que poisson ne doit pas être désagréable, le seul inconvénient est la pêche, si amusant pour l'homme et déroutant pour le poisson, sa mémoire lui joue des tours et ses ce qui cause sa perte. Alors que la réflexion sur cette animal me fascinait, je vis une autre population venir à moi celle des insectes et autres animaux: 

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⏰ Dernière mise à jour : Nov 06, 2019 ⏰

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