Encore une fois.

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Le chargeur de mon arme est presque vide. Merde ! Il faut que je trouve des balles. Si je me rappelle bien il y en a quelques rues plus loin.

Je regarde rapidement ma montre. Je suis dans les temps. Il devrait se pointer dans, un, deux, trois ! L'homme qui venait de surgir devant moi s'effondre au sol touchait d'une balle dans la tête.

Vite, vite ! Je me met à courir vers la rue. La où se trouve les balles. Les balles sont si précieuse en ces temps. Surtout depuis que le nombre de tueur à gage a augmentés. Et pourquoi ? Tout simplement pour moi ! Pourtant je ne comprend pas ! Je n'ai rien de spécial. Vraiment rien !

Je suis née dans une famille normale. Avec des parents aimants ! Je n'ai jamais étais gâtée ou quelque chose comme ça !

Arrêtons de divaguer et ramassons ces balles ! Parfait. J'ai exactement vingt-trois minutes pour atteindre la planque.
Putain de merde ! Pourquoi je peux pas courir plus vites ! Vite ! Si je n'y arrive pas à temps !

Allez sois positive ! Positive !

Je regarde une nouvelle fois ma montre, je suis dans les temps. Je cours, je cours aussi vite que mes jambes me le permettent.

J'entends le tic tac de ma montre semblable à mes battements de cœurs.

Mon rythme cardiaque et ma température corporelle augmentent au rythme de mes pas.

Un tir. Une balle.
La mort a encore essayait de m'emmener. Pas cette fois ! Pas encore une fois !

Je charge rapidement mon arme et tire sur la femme derrière moi. Deux balles suffisent.

Je continue de courir. Mon endurance baisse rapidement. Merde merde !
Putain pourquoi je peux pas aller plus vite !

Je m'arrête quelques instants essoufflée contre un mur. Puis me remet encore une fois à courir. Plus que 100 mètres puis je dois prendre la prochaine rue !

Allez ! J'y suis presque !

Allez ! 30 mètres !

20 mètres !

10 mètres !

5 mètres !

3 mètres !

Puis une balle.
























Game over.

Je jette ma manette au sol. C'est une blague ! Je l'avais  oubliée celle la !
Et je n'ai pu le temps de recommencer. Je regarde ma montre.
Allez il est l'heure d'y aller. Je ressayerais ce soir.

Histoire quelconque. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant