( Ceci est une rédaction que j'ai faite. Je devais changer le Point des vues du personnages quand ils ce sont rencontrés. Cette nouvelle a était rédigée par Fred Kassak. Mais cette version par moi.)
Je l'ai rencontré un soir de printemps, vers six heures et demie.
J'étais adossée à la grille près de la rotonde du parc. Je sanglotais convulsivement, essuyant mes larmes avec mon petit mouchoir rose.
C'était plutôt facile de jouer la comédie, mais aucun passant n'était venue vers moi.
Jusqu'à qu'un homme hideux s'arrêta, il ne bougeait pas, sûrement dans ses pensée. Puis il partit soudainement vers le fleuriste. Est-ce qu'il pourrait être potentiellement une nouvelle proie ?
Je me le demandais à ce moment précis. Je le vis revenir avec un bouquet d'anémones.
Je déteste les anémones, j'ai toujours aimais attirait les hommes, mais soyons sincères ce qui m'intéressait réellement étais leur argent. Je m'arrangeais toujours pour qu'ils meurent tous ''accidentellement'' comme ça je pouvais tout simplement prendre leur argent grâce à leur héritages. Il suffisait de quelques tours puis ils me le léguaient tout ! Personne ne sais jamais douter de rien.
Comment ? Je change d'identité à chaque fois qu'un de ''mes maris'' décède. J'ai eu bien des prénoms. Trop pour tous les dirent.
Réfléchissons quelques instant !
Pour cette proie je me nommerais donc Irène, le prénom de ma chère grand mère.
Malheureusement j'ai du prendre un enfant à cause de mon dernier époux, mort d'ailleurs, je suis tombée enceinte sans m'en rendre compte.
Quand l'enfant est née j'ai décidée de le garder sur un coup de tête.
Je dois maintenant m'occuper de mon fils, George ( Jpp du prénom-), âgé de un mois.
Étant perdue dans mes pensée je ne l'avais pas vu approcher. Il déposa le bouquet de ces immondes fleurs. Je pus mieux le détaillait maintenant devant moi.
Il était petit, grassouillet, une futur calvitie s'annonçait sur son horrible crâne, ce qui reste de sa ''fantastique'' chevelure était brun, ses yeux ressemblait à ceux des crapauds et étais gris.
Ha la la... Vraiment pas une des meilleures proie...
Et ne parlons pas de ses oreilles et de son nez ! Ça me répugne ! Je vais devoir vraiment faire un énorme effort pour cette proie.
Quand il s'adressa à moi.
- Il ne fait pas pleurer comme ça.
Cette voix était la seule chose agréable qu'il possédait.
Puis il me sourit et partit sans se retourner.
J'espérais vraiment que mon plant avait marché. Ainsi je passais dans ce même endroit le lendemain.
J'avais décidais de ne plus pleurer et de juste prendre mon meilleur air abattu.
Je fis un sourire forcée, je n'ai jamais étais douée pour sourire.
Il me demanda si j'allais mieux.
- Un peu..
Mais à ce moment, la joie que j'éprouvais était tellement forte ! Une nouvelle proie s'offrait à moi ! J'imaginais déjà sa mort ! Mauvaise chute dans l'escalier ? Trop simple ! Brûler vif dans un incendie ? Non ! Je sais !
Un simple accident de voiture suffiras !
Puis je le remercia pour ces ''magnifique'' anémones. Cela me dégoûte toujours autant d'avoir prononcée cette horrible phrase.
( Voilà voilà ! Donnez moi votre avis.)
