part fourteen.

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- Ce chapitre comporte une partie parlant de l'égorgement religieux d'un mouton. Il n'y a pas de détails choquant mais si vous êtes sensible à ce genre de sujet, cessez la lecture lorsque vous verrez ce signe "{}", jusqu'à sa nouvelle apparition signifiant la fin.

La musique de l'aïd, fête musulmane célébrée deux fois dans l'année par toutes les familles musulmanes du monde, résonnait dans le salon lorsque ma famille et moi avions franchis la porte de ma maison, de retour de la mosquée pour la prière annonçant le début de cette journée de fête.

Ma grand-mère nous attendait toute souriante, assise dans le salon devant une table bien garnis.

"Eid Mubarak." On s'échanger les vœux entre nous par tradition en se faisant la bise comme ci on s'était pas vue depuis des années alors qu'on avait dormi dans la même maison.

La matinée s'était passée dans la bonne humeur. Pour la première fois depuis une semaine, on avait mis de côté les problèmes, la maladie et les querelles et on avait juste kiffer le moment de l'égorgement du mouton et les rires qui s'en étaient suivi.

Youcef et Ramy avaient aidés mon père et mon oncle, et c'était vraiment drôle.

"Meriem, Leïla!" Appelle mon père. "Allez venez travailler un peu."

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Je sors dans la terrasse de la maison pour rejoindre les hommes de la maison, et les deux moutons accrochés aux crochets en pleins milieu me surprennent.

"MDR juste à la tête de Meriem ça se voit elle va pas toucher." Rigole Ramy en me regardant.

"Ah si, Meriem tu vas retirer la fourrure de celui-ci, et toi Leila le deuxième." Dit mon père.

"Hein?" Je m'exclame. "Mais je sais pas faire moi, non papa je touche pas."

"Allez arrête de faire la chochotte, regardez vous avez deux hommes avec vous ils vont vous aider." Ricane mon père en se tournant vers Ramy et Youcef. "Vous savez faire vous?"

"Oui t'inquiète lhajj." Réponds Youcef avec un sourire.

Mon père et mon oncle s'en vont nous laissant seuls, face aux deux bêtes mortes dégoulinantes de sang. Je grimace.

"Les pauvres moutons." Je dis en m'approchant de lui.

"Allez Marcelino bouge." Se moque de moi Ramy en faisant une entaille entre la viande du mouton.

"T'es archi pas drôle." Je roule des yeux.

"Ramy vient faire le mien d'abord." S'exclame Leïla alors que Ramy allait m'aider avec mon mouton.

"Attends je fais celui de Meriem, Youcef va t'aider avec le tiens Leïla." Dit mon frère.

Ma cousine soupire en regardant Youcef et je baisse la tête. Elle est pas du tout discrète j'ai envie de la frapper mmddrr, mais je l'aime.

"Non wesh vient, je veux te parler de Ikram." Elle insiste. "Laisse Youcef l'aider."

Mon frère passe son regard entre son pote et moi et me souris.

"Okay j'arrive." Il se tourne vers moi et me fait un clin d'œil.

Youcef et moi nous regardons mais il ne bouge pas de sa place. Il avait les jambes pleines de taches de sang, et son t-shirt était couvert de terre et de sang aussi.

"Okay..." Je chuchote voyant que le kabyle ne bougeait pas de sa place.

Je pris les choses en mains et plaça le tube du compresseur d'air dans l'entaille réalisé par mon frère. C'était une procédure pour gonfler le mouton pour que l'arrache de la fourrure soit plus simple.

Pour L'amour D'un Atal {Youcef Atal}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant