𝐁𝐞𝐟𝐨𝐫𝐞 𝒂𝒏𝒅 𝑨𝒇𝒕𝒆𝒓

Chapitre 18: Seriously

Alors que le soleil c'était réfugié, les ténèbres et le pénombre de la nuit avaient envahi la demeure du jeune patron William's house.

Celui ci n'arrivait pas à trouver le sommeil. Il était bien trop occupé à penser à Éva.
Les sentiments qu'il essaie de cacher depuis ses 2 derniers mois sont inévitable. Cette façon qu'elle a de regarder celui en face d'elle droit dans les yeux.

À la fois fragile et forte, elle avait tout pour lui plaire. Mais ce qu'il aimait pas dessus tout c'était son innocence et son grand cœur aussi vaste que l'océan.

Alors qu'il buvait une nouvelle gorgée de son thé à l'infusion de tisanes, Hélène vint s'asseoir à ses côtés sur le sofa. Alors qu'elle arrangeait son haut de pyjama, elle engageait la conversation.

- Vous n'arrivez pas à dormir?

- Je suis bien trop occupé à penser.

- Puis-je savoir à quoi ou à qui?

Henry soupira et repris une autre gorgée de sa boisson chaude. Inspirant un bon coup, il se tourna entièrement vers la seul femme prend ente dans la pièce. Il se sentais bien gêné de lui parler de ce genre de chose, ainsi, il évitait le regard d'Hélène qu'il croyait sévère. Mais c'était tout le contraire.

- Je pensais à votre fille.

Elle écarquilla les yeux surprise. Un sourire inévitable pris place sur ses lèvres. Du bout du doigt, elle fit légère pression sur l'épaule d'Henry.

- Vous l'aimez bien ?

- Beaucoup.

- Alors qu'est-ce ce que vous attendez?

Henry poussa un long soupire avant de répondre.

- Je ne crois pas qu'elle puisse m'aimer étant donné la situation dans laquelle nous nous trouvons.

- Elle a un très grand cœur vous savez.

- C'est en parti à cause de cela que je l'aime.

Hélène riait doucement. Ce n'était pas de la moquerie mais de la joie. Aussi bizarre que cela puisse paraître. Elle se ressaisit bien vite et prit doucement la main d'Henry dans la sienne.

- Vous êtes quelqu'un de bien.
Tout ce que Dieu fait est bon. Et moi je dis qu'il a un plan pour vous deux. Vous aurez un avenir joyeux avec votre petit bout de chou qui est en route.

- Merci beaucoup madame.

- Pourquoi nous vouvoyons nous? Tu es mon futur beau-fils. Riait-elle.

Le noiraud ne pouvais s'empêcher de sourire face à l'attitude d'Hélène. Néanmoins, cela le réchauffait le cœur et le rassurait sur le fait qu'elle l'appréciait fortement.

- Si mon mari était encore là, je suis sûr qu'il vous aimerais beaucoup.

Trop de gentillesse d'un coup l'étonnait un peu mais lui faisait du bien.

- Ça me touche beaucoup Hélène.

- Il n'y a pas de quoi. En attendant, vas y mollo. Devient d'abord ami avec elle et par la suite, avoue lui tes sentiments.

- Merci.

Il la prit dans ses bras avec tellement d'amour que tout les deux souriaient.