Eva, âgée de 22 ans prise au dépourvu suite à la mort de son père, fais tout pour s'occuper de sa famille.
Henry, une jeune homme d'affaire, riche , honnête , beau et attirant. Qui ne voudrait pas de lui ? Cependant, en acceptant Eva comme femme de...
"Ne cherchez jamais la bagarre avec une personne laide. Elle n'a rien à perdre."
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- Marc ?
Sur le coup, je me lève et me dirige vers lui à pas méfiants. Son regard était dur et sévère. J'ai bien dis que je voulais mettre mes choses au claire avec lui mais je ne voulais pas que ce soit dans ces conditions
- Marc il faut qu'on parle. J'ai dis la voix tremblante de méfiance.
- A bon ?
Ses main m'a fortement écarté. Mais je m'obstinais à aller de nouveau vers lui malgré ses interdictions.
- Marc arrête ! Je l'ai supplié avant de lâcher un gémissement de douleur.
Henry se lève en vitesse et marche vers Marc, prêt à lui donner un coup. Mais celui-ci le devance tout de suite et me protège , me faisant atterrir contre le meuble.
Ma tête à cogné contre le bout du meuble en bois.
- Ah ! Gémissais-je alors que je voyais du sang sur ma main que J'avais récemment porté à ma tête.
Les coups de poings se faisaient bruyants et violents alors que je me relevais pour tenter de les séparer. Mais en vin.
- Arrêtez je vous en supplie ! Criais-je les larmes aux yeux.
Mais Toujours rien. Henry frappe sans cesse Marc qui essaie de se défendre en retour. Ainsi me viens l'idée en tête de m'interposer. Ce que je fis.
- Arrêtez !
Mais seul Henry eu la sagesse de se stopper. Raison pour laquelle je me prit un coup de la part de Marc. J'atterris dans les bras de mon patron. Celui s'assure que je vais bien et fait mine de repartir attaquer Marc. À ce temps là, je m'en fichais royalement de la douleur.
Je pose mes mains sur son torse pour l'inciter à se calmer.
- Je te préviens. Ne t'en prend plus jamais à la mère de mon enfant sinon tu auras affaire à Moi. Il a sèchement dit en le pointant du doigt d'un aire menaçant.
Ça a été la meilleur façon pour lui d'apprendre que j'étais enceinte. En prenant compte du sarcasme.
- Tu n'est pas celle que je croyais.
C'est sur ces mots blessant qu'il s'en ait allé. Me laissant debout , les larmes ruisselantes le long de mes joues. Mon patron se dirige vers moi et inspecte chaque parcelle de mon corps.
- ça va ?
- je saigne mais ça va. Ce qu'il ignorait c'était qu'il n'y avait pas que ma tête qui saignait mais aussi mon cœur.
- Où ça ?
Je pose ma main sur ma tête plus précisément à l'endroit où je me suis cogné.
- On doit mettre un pansement.
- Oui mais laissez moi d'abord m'occuper de vous. Vous êtes sérieusement amoché.
Ce n'était pas faux. Le visage parfait de cet homme était à présent couvert de bleus. Sa lèvre était légèrement fendillé et son nez saignait aussi.
- N'insistez pas.
Mes pieds vont jusqu'au meuble où se trouvait la trousse médicale. Je reviens vers lui et pose la boite sur la table basse pour le laisser faire.
- Pourquoi s'en est t-il pris à vous ?
- Je n'en ai absolument aucune idée.
- Était t-il comme ça avec vous depuis ?
- Non. Je ne le reconnais pas du tout.
Celui qui à osé me faire du mal n'était pas le Marc que je connais. Qu'est ce qui ne va pas ?
