LES ÉTOILES NE PLEURENT PAS

6.

- Je crois qu'il y a méprise sur la personne, un hôtel ?

- Tais toi et suis moi au lieu de dire des bêtises.

Nous passons le seuil de l'entrée principale et là... Magie ! Le haul de l'entrée et compléter métamorphosé en un désert scandinave, des brumisateurs expulse des arômes de cannelle et de vanille sucré, une hôtesse nous invite à la suivre, elle ouvre une porte battante sur une cours transformé en patinoire. Pour le coup je me sens bête. Au centre y est déposé une table avec un service à thé et toute une dégustation de pâtisseries.

- Tu as compris que pour y accéder nous devons traverser la glace ?

- C'est... Magnifique.

- Tu aimes ?

- J'ai l'impression d'être dans un Disney.

Mais yeux brillent comme une petite fille, j'ai l'impression d'en faire un peu trop mais je n'ai rien vu d'aussi beau et surtout pour moi. Il sent que je suis émue au larme, il m'offre son bras.

- T'inquiètes pas tu ne risque rien, le tapis rouge est anti dérapant.

Il me tire ma chaise et m'invite à m'assoire, de longues minutes s'écoulent sans que ni lui ni moi ne dessert un mot.

- Détend toi s'il te plaît, j'ai l'impression d'avoir mal fait les choses...

- Détrompe toi ! C'est bien la 1ere fois qu'on fait ça pour moi. Je ne sais pas comment te remercier c'est gênant.

- Prend le comme un cadeau. Tu es une jeune femme remarquable et je ne comprends pas comment on a pu te faire croire le contraire.

- Si je n'avais pas dis ce que j'ai dis à la police, aurais tu remarqué mon existence ?

-...

- C'est bien là ta plus belle qualité. Ta franchise.

- Si tu veux toute la vérité tu m'as déstabiliser un matin sur la terrasse, tu m'apportais un café, le vent avait recouvert ton visage avec tes boucles défaitent de ton chignon.

- Mon Dieu ce jour... J'avais dormi chez Sofia elle m'avait offert ces vêtements.

- Il te traite comme ça depuis combien de temps ?

- Qui ça ?

- Ton mari ? Du moins ce qui t'en sert...

- Depuis toujours.

- C'est vrai ce que tu as dis au poste pour sa maîtresse et le reste ?

- Tout est vrai. Mais grâce a toi j'ai pu y mettre un terme.

- Comment ça ?

- Pendant qu'il était au poste j'ai pû, avec l'aide de mon frère et mon père le mettre dehors, bon c'est vrai il a trouvé le moyen de me défiguré mais c'était une plaisir de savoir que c'était pour la dernière fois.

- Tu veux dire que tu vas divorcé ? J'ai cru que c'était ta famille qui t'avait mise dans cette état quand je suis venu te trouver.

- Ce n'est pas le genre de ma famille. Et oui je suis en pleine procédure de divorce et je tente de faire annuler la procédure pour l'obtention de ses papiers.

- Si tu as besoin de quoi que ce soit tu sais que je suis là ?

- Merci.

- (il lève sa tasse Nespresso) À nous ! À notre nouvelle vie sans ces déchets qui nous servez de conjoints !

- Amine ! C'est délicieux. Merci encore.

- Arrête donc de me remercier j'espère juste que les pâtisseries te plaisent je ne sais pas ce que tu aimes sauf les croissants aux amandes.