Chapitre 1: Une main tendue

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Bonjour, je suis (T/P). Je vais bien, tout est ok dans ma vie mais comme toute personne en se monde, j'ai un problème. En effet, je souffre d'une timidité maladive. Quand on me connais, on remarque qu'en privé je suis une personne beaucoup plus ouverte mais a l'extérieur je fais effet de plante verte.

Je fait tout pour qu'on ne me remarque pas et qu'on ne me regarde pas. Quand cela arrive, une crise de panique viens me rendre rapidement visite. C'est un problème qui même s'il est handicapant au quotidien, je vie avec et m'habitue. Même si je reste seule, cela ne me dérange pas. ^-^

Comme d'habitude en cours, je suis a la dernière table pour me rendre la plus discrète possible. Malgré tout, je me sens coupable de ne jamais participer au développement de la classe et laisse toujours les autres le faire a ma place. Du coup pour me faire pardonner, j'ai pris pour habitude de faire la seule chose dont je suis doué, le dessin.

Chaque matin, les élèves on l'air content de découvrir un très grand dessin a la craie qui recouvre tout le tableau. Ils me prenne même pour un ange qui leurs fait un cadeau tout les jours... je ne veux pas leurs dire... Ce serait une grande déception pour eux de découvrir que ce n'est que moi.

A force de faire ça, notre professeure a finis par le découvrir. Elle ne m'a pas empêcher de le faire mais... Elle me déteste d'être une sorte de "légende" qui attire plus l'attention que ses cours. Je ne lui en veux pas... C'est normal quelle m'en veuille pour ça. '-'

Après avoir dessiné sur le tableau, je sort de la salle de classe pour y rerentrer en même temps que tout le monde et ainsi passer inaperçu. C'est donc plusieurs dizaines de minutes plus tard que je regagne mon siège de cours a nouveau, souriant des commentaires admiratif de mes camarades.

Fille 1: X a encore frapper !

Fille 2: Un dessin d'une fée ! C'est trop beau, comme toujours !

Garçon 1: Trop envie de savoir qui fait ça, quand même...

Garçon 2: Ouais moi aussi.

Fille 2: Cette personne est vraiment l'ange de la classe.

Fille 1: Mais pourquoi il ou elle se cache ?

Garçon 2: Qui sais...

« Simplement de la timidité... Vous ne pourriez pas comprendre. Mais c'est vraiment gentil. Evidemment, je ne pouvais pas leur dire. Après quelques minutes, la professeure entre, efface le tableau agacé et commence le cours. Mais au bout d'un certain temps mes camarades se mettent a discuter de mes dessins. Cela me fait plaisir mais en même temps j'ai peur que la prof s'énerve contre eux de ma faute.

Des craintes très vite confirmer car elle se retourne subitement pour crier contre les perturbateurs. La culpabilité apparait en moi mais je ne peux rien faire... C'est pas comme si j'allais crier dans toute la classe "C'est moi X ! C'est de ma faute ! Excusez moi que vous vous faciez engueuler de ma faute !". Non impossible. D'un coup la professeure se met a crier encore plus d'énervement et se tourne vers moi, le visage rouge de colère.

Prof: Si cette personne X pouvais bien ENFIN dévoiler son identité pour que je puisse continuer mon cour sans avoir a m'interrompre tous les 2 minutes ça m'arrangerait !!!

...
D'un coup... le silence... Tout le monde c'était retourner pour découvrir a qui était destiné cette phrase et découvris avec surprise que c'était moi... Moi (T/p)... Timide de la classe dont personne n'avais jamais fait attention...

Je me sens mal... Tout le monde me regarde... Ils me fixe... Non ! Laissez moi tranquille ! Arrêtez de me regarder !

Je découvre avec horreur que les cris de ma prof avait attirer le regard de plein l'élèves qui passaient par la et m'observait depuis l'entrebâillement de la porte. L'ange du dessin de la 2.1 était connu de toute l'école et tous étaient curieux de savoir qui se caché depuis tout se temps.

Je sentis les larmes me monter au yeux. Je ne pouvais résister a autant de regard sur moi. La crise de panique avait évidement fait son apparition. Sans plus attendre, je me mis a courir pour fuir ces regards si effrayant.

Je me rendit dans un endroit ou évidement personne ne va. Les toilettes ? Non tout le monde s'y rend. Le toit ? Non trop loin. Dans un couloir ? Dans les escaliers ? Non trop de monde. Je sais que c'est bizarre mais je vais me cacher dans mon casier. Oui oui, le casier ou tu range tes livres normalement. Comme ils sont assez grand et que moi je suis petite, je peux facilement m'asseoir dedans pour m'y cacher.

Une fois a l'intérieur de mon refuge, je continue de verser des larmes toujours paniqué de ce qui vient de ce passer. Avec la magnifique chance que j'ai, j'entends mes camarades de classe et d'autres personnes devant mon casier qui discute de ce qu'ils devrait faire. Ne faites rien ! Partez !

Heureusement, personne ne touche a ma demeure mais ils restent la... Devant. Vous attendez quoi !? Que je sorte !? Avec vous devant !? Jamais de la vie !! Retouner en cour ! La prof va vous crier dessus !

Je ne peux évidement pas dire a voie haute ce que je pense. Le mélange de ma timidité et de mes larmes empêche a ces mots de sortir de ma bouche.

D'un coup, tout doucement la porte de mon casier s'entrouvre. La lumière qui apparaît de cette ouverture m'aveugle mais j'arrive quand même a distinguer une main tendu vers moi. J'enfonce ma tête dans mes bras pour ne pas avoir a croiser le regard de cette personne et cacher mon visage rouge et humide. Une voix de garçon parviens ensuite a mes oreilles. Il chuchote comme s'il parlait a un chat qu'il avait peur d'effrayer.

???: Viens n'ai pas peur voyons. Sa main sans doute toujours tendue

(T/p): Non... Sans bouger

???: Pourquoi ? Personne ne te veux du mal ici tu sais... Je le sentie s'accroupir pour se mettre a mon niveau sans pour autant ouvrir d'avantage la porte.

(T/p): Non... C'était malheureusement le seul mot que j'arrivais a dire. Les larmes toujours en tain de couler sur mon visage.

???: Tu ne peux pas rester ici. C'est pas confortable et plein de poussière.

Sans que je sache vraiment comment j'ai réussi, je relevis lentement la tête vers mon interlocuteur. Bizarrement je me sentais en confiance. Je pris bien mon temps pour observer a qui j'avais a faire

 Je pris bien mon temps pour observer a qui j'avais a faire

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Il n'avais pas l'air méchant... même plutôt rassurant. Avec un grand sourire amical sur les lèvres et une tenue simple. Mais... Je ne sais pas comment l'expliquer mais il avait pas l'air comme les autres. Une beauté a couper le souffle.

En oubliant de réfléchir je pris la main qu'il avait continué de me tendre et m'extirpa de mon cocon qui était pourtant la chose la plus rassurante a ma connaissance. Je sens que tout va bientôt changer.

A suivre~

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1183 mots !
Merci beaucoup d'avoir lu ce premier chapitre ça me fait vraiment plaisir ! ❤
La suite au prochain épisode 😉

Timidité Maladive (Jhope x Reader) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant