Perdu et recueilli par les creepypasta

Chapitre 1

Je sort du boulot et comme à mon habitude je met mon casque. C'est à ce moment que je me rappelé que personne pouvait venir me chercher.... Quel tête en l'aire^.^

Donc je décide de rentrer à pied en passant par la rue marchande dû à la faim que je ressens(vive la bouffe!!) Mais une chose attira mon regard lorsque je me baladé dans la rue marchande, j'ai l'impression d'avoir aperçu une fille de ma classe ce faire poursuivre.

Plus je m'éloigné plus je me sentais mal comme si j'avais fait ou laisser quelque chose de mal ce produire, suite à cela je décide de faire marche arrière pour être sur de l'identité de cette personne.

J'avais beau faire le tour des rues marchandes je n'arrivais pas à retomber dessus elle, enfin c'est ce que je penser car on peut dire que c'est elle qui met tomber dessus (littéralement), lorsque je compris que c'étais bien une fille de ma classe et que j'entendis des personne venant dans notre directions en criant.

A ce moment là je décide de la prendre par la main et de nous cacher de ces personnes, on attendit un moment avant de bouger de notre cachette puis je décide de l'emmener avec moi loin de cette rue sans faire attention à la direction que je prenais.

Je remarqua que je me diriger vers l'un des endroits que je déteste le plus au monde hors le fait d'être chez moi, mais je ne savais pas pour quelle raison je me sentais comme attirait par cette endroit, plus on s'en  approcher plus je compris qui était cette fille et qui était les personnes qui la poursuivait.

Plus on s'enfonçais dans cette endroit plus je me sentait libre, mais je détesté cette endroit pour le fait de ressentir ce sentiment  alors que je n'ai plus aucun droit de ressentir cette liberté. Ce qui m'étonna le plus c'est que cette fille n'avait pas fait un seul bruit depuis le moment où on s'est rentrer dedans et elle n'avait pas non plus fait de résistance jusqu'à maintenant. On arriva enfin devant un grand bâtiment et à ce moment je ressentis une pression anormale venant de derrière moi mais je ne la reconnaissais que trop bien pour que cela ne m'impression. Au moment où je me retourna pour lui parler on m'attrapa les membres pour m'immobiliser.