Je voudrais mourir dans tes bras ce soir ; me laisser aller à nos étreintes passionnées,
Sans jamais penser à l’instant où nous devrons nous quitter.
J’aimerais que sans cesse de tes doigts emplis de prouesses, tu me caresses.
Voir tes cils approcher mes cuisses, sans savoir où nous mènera ce doux supplice.
Je sens ton souffle de feu, fondre dans mon cou. Je m’aperçois, languissante,
lâcher un soupir sensuel, mon corps se tordant, désirant le tien encore et encore.
Ton silence insolent semble ne jamais se terminer, me laissant là, impatiente de toi.
Alors te voilà qui approche pour de bon, me comblant de ta virilité, jusqu’à ce que, dans un souffle commun,
Notre amour s’unisse et périsse une dernière fois.