Chapitre 29 « Rédaction En Péril » partie 2

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Furieuse j'avais besoin de m'isoler donc je suis allée au bord du lac, j'ai sorti mon paquet de cigarette et briquet de mon sac avant de le balancer par terre. J'ai sorti une cigarette qui a fini entre mes lèvres et je l'ai allumé avec le briquet j'ai ensuite ranger le tout dans mes poches arrière. J'avais besoin d'être seul et de faire comme si ce n'était pas vraiment. Pourquoi le doyen accepterai-t-il un journal d'information vidéo ? Il nous a déjà nous s'est insensé. Je n'ose même pas imaginer la tête de Green quand il saura ça.

Alors que j'étais dans mes pensées, fixant le point d'eau en face de moi j'ai senti des mains se poser sur mes hanches et des bisous dans mon cou. Je savais déjà qui s'était mais, j'ai quand même tourné ma tête vers Bruno.

« Tu te rends compte de ce que ça veut dire ? Lui demandais-je. Le journal c'est fini, ajoutais-je.

- On va trouver une solution, me répondit Bruno.

- Je suis sûr que Green est contre ce projet, ajoutais-je.

- C'est évident, il profère la version papier il nous l'a toujours fait comprends, me répondit-il. »

Il fallait que je fasse quelque chose, je ne pouvais pas rester là les bras croiser. Je ne pouvais pas laisser le journal disparaître sans me battre, je me demande ce qu'elle a dit au doyen pour qu'il accepte. Après c'est vrai qu'ici il y a diverse club qui se ressemble mais, ils ne font pas tous la même chose. Genre le club audiovisuel et le club d'informatique, il se ressemble, ils sont le même équipement mais, ils ne font pas la même chose avec. Le club d'informatique transforme du vieux matériel en quelque chose d'autre et le club audiovisuel eux, ils se servent de matériel informatique pour faire des trucs genre des reportages, des petits dessins animer trop drôle.

« Tu sais quoi je vais aller parler au doyen et lui expliquer ma façon de penser, lui répondis-je avant d'écraser ma cigarette sur le sol tandis que Bruno a ramassé mon sac pour moi. »

Nous sommes tous les deux retournés à l'intérieur de l'université pour prendre le chemin menant au bureau du doyen. Doris nous a laissé passer sans soucis. Je crois qu'en fait, elle nous aime bien. Ou alors elle se sent redevable qui sait. Donc j'ai frappé à la porte du doyen et quand il nous a dit d'entrée c'est ce qu'on a fait.

« Que puis-je faire pour vous ? nous demande-t-il.

- Vous pouvez revenir sur votre accord concernant le club du journal télé, commençais-je. Ce journal va couler le liberty. Si toute l'information circule sur les écrans nous qu'est-ce qu'on va devenir, lui expliquais-je.

- Pourtant Green était d'accord, il a même ajouté que se serai une bonne idée et qu'il trouverait un moyen pour que ça ne nuise pas au liberty, nous informe-t-il.

- Green ? lui avons nous demander à l'unisson.

- Oui il est venu avec Brooklyn Barnes pour m'exposer leurs projets »

Leurs projets ? C'est clair je vais les tuer l'un comme l'autre. Moi qui pensais que Green était contre le projet en fait c'est tout le contraire, il le soutient mais, qu'est-ce qu'il cherche à faire ? Qu'est-ce qui ne tourne pas rond chez lui. Dire que la journée avait si bien commencer.

« D'accord ben merci on va lui parler, répondis-je au doyen avant de sortir avec Bruno de son bureau. C'est clair, je vais le tuer, commençais-je.

- Allons d'abord lui parler il doit surement avoir une bonne raison, me dit-il en haussant les épaules.

- Bien, lui répondis-je avant de prendre le chemin de la rédaction. »

Sur le chemin je réfléchissais déjà à ce que j'allais dire à Green j'avais tellement de chose qui me passait par la tête. Pourquoi il a soutenu se projet ? Et qu'elle moyen il a trouvé pour que ça ne nuise pas au liberty ? J'aimerai bien qu'il répond à toutes mes questions et sans tarder parce que je sens que je vais exploser, j'ai envie de me défouler mais, je ne sais pas sur quoi. Je ne vais pas me défouler sur Bruno, il doit déjà supporter ma mauvaise humeur. Une fois la porte de la rédaction franchie, je me suis approché du bureau de Green.

« Salut tout le monde j'aimerai avoir votre attention quelque minute ce ne sera pas long, commençais-je alors que tout le monde posait son attention sur moi et laissait ce qu'il était en train de faire.

- Qu'est-ce que tu fais ? me demande Green en se levant.

- La ferme, lui ordonnais-je. J'ai reçu une information qui m'a scandalisé, informais-je l'insistance. Vous êtes au courant que notre cher Green va soutient un projet de journal télé pour l'université ? Mais, attendez l'information ce n'est pas déjà ce qu'on fait ? Qu'est-ce qu'on va devenir ? Quelque chose me dit que même notre cher rédacteur en chef n'en sait rien et vous savez ce qui est pire c'est qu'il n'est rien dit à personne, ajoutais-je en riant doucement. »

A la suite de cette annonce tout le monde c'est regarder et à commencer à parler. C'est bien je ne suis pas la seule à être scandaliser de tout. Ils sont tous l'air en colère et je les comprends j'étais dans le même état quand j'ai appris le grand projet de Green. Green lui avait l'air plutôt embarrasser ce que je comprends heureusement que je ne suis pas à sa place.

« J'allais vous le dire mais, je ne savais pas encore ce que vous alliez en penser, ajout Green.

- Ben tu aurais dû demander on t'aurait dit "Il en est Hors de question", ajoute une rédactrice. C'est pour ça que tu ne nous as pas demander. »

Ben ouais grave, qui voudrait perdre sa raison de vivre je crois que je parle au nom de tout le monde quand je dis que le journal c'est notre vie, quand je dis que l'investigation c'est notre came. Green aussi était comme nous mais, apparemment il est passé du côté du multimédia.

« Allons les gars, on peut en parler calmement, dit-il à la foule agiter.

- Je pense qu'on a besoin de réfléchir, ajout Olivia en croisant ses bras sous sa poitrine.

- Je comprends, répond Green avant de quitter la pièce. »

Qu'est-ce qui lui a fait croire que son idée nous plaira. J'aurais bien aimé lui poser davantage de question mais, malheureusement je dois aller en cours en plus, je dois aller voir Seth tout à l'heure pour savoir ce qu'il a fait en mon absence parce que je l'ai planté alors qu'on était en plein visionnage et montage. Du coup Bruno et moi avons aussi quitter la salle. Il m'a tendu mon sac et je l'ai pris avant de le suivre en direction de notre salle de cours.

Scandal In Cal State | TOME 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant