Scandal In Cal State | TOME 1

Chapitre 52 « Les Parents Kohler : Que cesse cette Mascarade » part 2

 « J'ai une question pourquoi Eva encadre tes décisions, demande Carla.

- C'est une longue histoire Green te racontera plus tard, lui répondis-je. Désolé mais, j'ai rendez-vous avec la mère de Bruno donc je préférai avoir le temps d'assisté à cette petite réunion. »

Ouais, c'est une longue histoire que j'ai marre d'entendre donc on ne va pas revenir là-dessus surtout que mon temps est compté et précieux. Non mais, sérieux j'ai rendez-vous de quoi j'aurais l'air si j'arrive en retard à un rendez-vous avec la mère de mon copain. Je ne vais pas avoir l'air fin. Elle va surtout me détester. Déjà qu'elle ne m'aime pas.

« T'inquiète je comprends, me répondit-elle. Alors d'après ce que Green m'a dit depuis quelque temps le groupe de rédaction est réduit, ajout-elle.

- Ouais, on a dû se séparer pour divergence artistique, dit Olivia. Il n'était pas sérieux, ajoute-t-elle.

- Du coup j'aimerai savoir comment vous travailler, nous demande-t-elle. »

Je me suis donc levé de mon bureau en lui faisant signe de s'approché du tableau blanc. Une fois chose faite, je lui ai expliquer le système du tableau. Genre sous chaque nom des rédacteurs se trouvent le nom de leurs thèmes et je lui ai expliquer ce qu'on fait quand on reçoit de nouveau article et qu'est-ce qu'on fait avec le tableau dans ses cas-là. En gros je lui ai expliquer tout mon système et je dois dire que ça avait l'air de lui plaire.

« Niveau organisation vous êtes au top, dit-elle. Qui en a eux l'idée, demande-t-elle.

- C'est l'idée de ma copine, criât Bruno.

- Waouh ben tu es à féliciter pour ça, commence-t-elle alors que j'ai envoyé un baisé volant à mon copain. Tu fais une bonne co-rédactrice, d'ailleurs, tu as besoin d'une lettre de recommandation pour rejoindre un bon journal après tes études tu peux compter sur moi, me dit-elle. »

Quand elle m'a dit ça j'ai cru que j'étais en plein rêve. Je me voyais déjà intégré un immense journal très connu et tout et tout. Pour moi c'était claire il fallait que je saisisse l'occasionne puis, avec le parcoure que j'ai n'importe quel journal devrait être content de m'avoir. Ouais, je sais je me la pète mais, que voulez-vous, je trouve que je suis assez douée dans ce que je fais après s'il trouve que je ne suis pas très douée je veux bien qu'il m'apprenne à bien faire mon boulot.

« Ça me fait plaisir d'entendre ça, commençais-je avant de sortir mon téléphone. Ça pourrait mettre utile donc rentre ton numéro là-dedans, ajoutais-je en souriant avant de lui tendre le dit téléphone. »

C'est si gentiment proposé. Bon après ça, elle nous parlé plus en détaille de ce qu'elle fait dans la vie, ce que ça fait d'être sur le terrain et genre sur une vrai affaire, genre des accidents se genre de chose. Elle nous a aussi annoncer qu'il faut être très disponible. Le journal a toujours besoin de quelqu'un sur place et ça peut être à n'import qu'elle heur du jour et de la nuit. Vraiment il faut s'accroché. Je suis ne pas surprise parce qu'elle raconte parce que je m'en doutais un peu.

Quand l'heur de mon rendez-vous fut presque arrivé, j'ai dit au revoir à tout le monde, j'ai embrassé Bruno puis, j'ai ramassé mon sac. J'ai ensuite couru jusqu'à l'extérieur de l'université et jusqu'au parking puis, je suis monté dans ma voiture et j'ai posé mon sac sur la banquette à côté. Une fois ma ceinture boucler j'ai pris la route menant au lieu de rendez-vous. Sur le chemin je me suis arrivée devant une boulangerie où j'ai pris des viennoiseries que je me suis mise à manger. Une fois arrivée sur les lieux. J'ai attrapé mon sac puis, je suis sortie pour rentrez à l'intérieur. Elle n'était pas encore là heureusement. De plus j'ai attendu que 5 minutes avant de la voir arriver.

« Bonjour Eva, me salut-elle en me tendant la main.

- Bonjour Maman Kohler, lui répondis-je en lui serrant la main.

- Venez on va s'installée, ajout-elle avant d'aller chercher un tapie. »

Moi j'ai posé mon sac contre un mur puis, j'ai sortie mon tapie, il reposait sur mon sac. Oui je fais du Yoga ça me détend. Après ça j'ai suivi la mère de Bruno et j'ai installé mon tapie à côté du sien. En silence. Dans un premier on a laissé la professeure se présenter puis, quand elle a commencé à nous donner des instructions on a suivi.

« Alors qu'est-ce qui vous plait chez mon fils ? me demande-t-elle.

- Votre fils est quelqu'un de vraiment passionné, il dessine vraiment très bien, en plus il est intelligent et marrant, commençais-je. Je crois que c'est le premier garçon avec qui je me sens aussi bien, ajoutais-je.

- C'est bien ce que je vois en plus ça fait bientôt 2 ans que vous serez ensemble, ajout-elle. »

Oui bientôt 2 ans j'ai tellement hâte d'y être je voulais faire une fête pour célébrer ça et vu qu'on a prévu de partir en Italie je me dis qu'on pourrait fêter ça là-bas. Faire une fête avec tout nos amies, ça pourrait être marrant. Je n'aurais jamais, cru que sortirai aussi longtemps avec quelqu'un au premier abord on pourrait penser que les relations sérieuses ce n'est pas mon truc ben finalement c'est mon truc.

« Et oui et je dois bien admettre que je n'arrive à croire que ça fait aussi longtemps, lui répondis-je.

- Vous avez vraiment l'air d'une fille très bien, commence sa mère. Mais, je ne veux pas que vous détourniez mon fils de sa destinée, ajoute-t-elle.

- Qu'est-ce que vous voulez dire par là ? lui demandais-je en posant mon attention sur elle. »

Je ne suis pas sûr de comprendre ce qu'elle est entrain de me dire. Bruno est capitaine de l'équipe de natation et puis, je ne suis lui ai jamais dit de renoncer à tout ça au contraire je l'encourage. Je ne suis demanderai jamais de renoncer à ce qu'il aime. Je ne suis pas se genre de fille. Quoi qu'il fasse à partir du moment que ça lui tienne à cœur je le soutiendrais comme il me soutiendra si jamais je me lançais dans un nouveau projet.

« Son destin est de devenir un grand nageur pas un auteur de roman graphique, commence-t-elle. Ni de devenir Journaliste, ajoute-t-il.

- Mais, il faisait tout ça bien avant que je le rencontre, lui informais-je.

- Oui et maintenant qu'il vous connait il trouvé bon de continuer donc maintenant je vous charge de le faire arrêter, dit-elle. »

Elle se fourre le doigt profond dans l'œil, si elle pense que je vais céder à son chantage. Je n'aime pas qu'on fasse pression sur moi. Je me demande ce que va penser Bruno de ça quand je vais le lui dire. Je n'aime pas jouer les balances mais, parfois il le faut pour le bien d'un être cher.

« Il en hors de question, lui répondis-je.

- Mesdames au fond silence vous déranger les autres, nous informe la professeure. »

- Réfléchissez bien si vous tenez à avoir un avenir, ajout la mère de Bruno. »