Chapitre 13 « Situation de Crise »

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Après cette petite interruption le doyen a pris la parole et il nous informé qu'un généreux donateur voulait améliorer notre vie à l'université puis, il nous l'a présenté et on a dû écouter le père de Brooklyn essayer de nous charmer avec ses conneries et c'est vrai que c'est parole était assez charmante. De la bouffe de qualité en cuisine, du nouveau matériel, tous les cours en ligne. Parce que vous ne savez peut pas mais, ce n'est pas tous les profs qui mettent les cours en lignes parce qu'ils pensent que les élèves ne vont pas venir en cours et pire qu'ils ne vont pas prendre la peine d'aller voir le cours en ligne et je dois admettre qu'ils sont raison. Si le cours est ligne pourquoi aller en cours ? Moi ce que je proposerai pour nos résultats ne soient pas en chute libre c'est des petits examens chaque semaine. Personne n'aime ça les examens mais, le truc c'est que j'ai vraiment envie de réussi mon année donc évidemment je ne peux pas y arrivée en me tournant les pousses. En plus quand je serai plus à l'université qui sait je pourrais bosser dans un vrai journal.

Après ses belles paroles, nous sommes allés nous regrouper à la rédaction. Il fallait qu'on parle de tout ça et je dois admettre que la rédaction est un peu devenue notre QG. D'ailleurs, je trouve ça cool mais, ça doit surement dérange les autres rédacteurs de nous entendre parler mais, bon vu qu'ils ne se plaignes pas on reste.

« Sinon on en parle de son numéro de charme ou pas, nous demande Sarah.

- Je ne vais pas vous mentir il m'a fait rêver, leurs informais-je. »

D'ailleurs, ils m'ont tous fait comprendre qu'il était d'accord avec moi. Il est vrai que notre université a besoin de renouveau mais, il y a bien une façon de faire tout ça en gardant l'université ouverte. Normalement, il devrait favoriser l'ouverture de l'université pas nous forcer à fermer, je suis sûr qu'il n'y a pas grand-chose à réparer à l'université pour moi, elle a l'air bien. Après peut-être qu'elle a des soucis mais, à la surface elle a l'air bien. En tout cas il faut qu'on trouve une solution.

« Qu'est-ce qu'on va faire ? nous demande Duncan.

- Sortir de cette salle vous ne pouvez pas continuer à squatter la rédaction pour gêner ceux qui ont un article à rédiger, nous informe Green les bras croiser sur son torse. Bruno tu n'a pas des dessins à faire ? Seth, tu n'as pas des blagues ou des jeux à nous pondre ? Olivia et Eva vous n'avez pas des articles en cours ? »

J'aimerai lui donnait tors mais, c'est vrai qu'on ne peut pas continuer à squatter la rédaction. Je me mets à la place des autres qui travail et je crois que je n'aimerai pas être déranger par un groupe d'individu qui n'a rien à faire. Pour la plupart des individus qui sont occuper on des écouteurs dans leurs oreilles donc y a des chances qu'ils ne sachent même pas ce qui se passe au tour.

« Non d'ailleurs j'aimerai faire un article sur ce monsieur le bienfaiteur, lui informe Olivia en tournant son siège dans sa direction.

- Et moi j'aimerai couvrir la fermeture de l'université j'aimerai interroger le doyen, ajoutais-je. »

C'est vrai que le doyen nous a expliquer ce qui avait des chances de se passer si les travaux étaient pour bientôt mais, je suis sûr qu'il y a d'autre solution et je veux en trouver avec lui. Donc je vais aller le voir et le questionné. Il n'a pas répondu aux questions que j'ai dans la tête.

« Aller je valide vos thèmes du moment que vous faites quelque chose, les autres dehors, ajout-il en montrant la porte. »

Duncan, Sarah, Brooklyn et Carlos sont sortis de la salle après avoir ranger leurs sièges.

« Je vais aller voir le doyen tu viens avec moi ? demandais-je à Bruno.

- Ouais, je te suis, me répondit-il en se levant de son siège. »

Je me suis levée de mon siège pour ensuite le suivre hors de la rédaction. Nous sommes partis en direction du bureau du doyen ou Doris faisait comme toujours son travail. J'espère qu'elle sera aussi gentille que quand on cherchait la poseuse d'affiche. On ne peut jamais savoir avec ses gens-là.

« Salut Doris on aimerai parler au doyen, commençais-je.

- Il est dans son bureau allez-y, nous dit-elle en désignant sa porte. »

Je pense qu'elle n'a pas envie de perdre son boulot donc elle nous laisse passé, elle doit se douter qu'on chercher une solution à tout ça. Nous nous sommes donc approchés de la porte où j'ai frappé. Quand je l'ai entendu nous crier "entrés" nous sommes entrés. Fermant la porte derrière nous, nous sommes allés nous asseoir sur les sièges en face de son bureau.

« Que voulez-vous ? nous demande-t-il.

- On veut des réponses pourquoi vous êtes si pressé de faire des rénovations, lui demandais-je.

- On n'est pas spécialement pressé je n'ai pas envie de fermé l'université mais, ça ne dépend pas de moi mais, du conseil d'administration, m'informe-t-il. »

Ah donc si on doit viser quelqu'un faut viser plus haut mais, le truc c'est que le conseil d'administration ne siège pas ici, il se réunisse chaque semestre pour faire un point sur les événements qui ont lieux à l'université et aussi sur les examens. S'ils se réunissent avant cette période c'est que vraiment la situation est catastrophique, d'ailleurs si on regard bien, la situation est catastrophique.

« Ils veulent fermés l'université ? demande Bruno.

- Non ils sont contre la fermeture mais, le truc c'est que la proposition de monsieur Barnes est limitée dans le temps et on a vraiment besoin de cet argent donc à moins que quelqu'un d'autre ne fasse une autre offre on est cuit, ajout-il.

- Mais, pourquoi autant précipité les choses ? On est en novembre et les cours finisse en Avril, il ne peut pas attendre 6 mois ? lui demandais-je. Pour les examens ont pourra bien trouver un autre endroit où les faire. »

Ben ouais ce n'est pas comme si les cours se terminait en juin comme au lycée, il se finisse plutôt. Donc pourquoi il n'attend pas la fin d'Avril. Pour les examens ont peut bien demande une salle commune. Enfin il faudra plus d'une salle mais, je pense qu'on peut se débrouiller. On est assez grand hein et puis, on a Cara la présidente du conseil des étudiants. Elle connait du monde. D'ailleurs en ce moment j'ai l'impression qu'elle ne sert à rien, c'est plus nous qui faisons changer les choses.

« Il a peur de quoi d'être ruiné à la fin de l'année ? suppose Bruno en riant de bon cœur.

- C'est peut-être ça qui sait mais, en tout cas on a une semaine pour prendre une décision, nous informe-t-il. Sinon si vous n'avez pas d'autre question j'ai du boulot, nous congédie-t-il en montrant la porte derrière nous. »

Nous nous sommes donc levés des sièges et nous sommes sortis de son bureau. 

Scandal In Cal State | TOME 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant