Scandal In Cal State | TOME 1

Chapitre 44 « Le Début de la Guerre »

Cette histoire d'article me met sans dessous de sous parce que je sais ce que ça va soulever. On parle quand même d'un article et traite sur la présentation du journal. Brooklyn la personne la plus détesté de l'université et moi et Shelby. C'est quand même dingue. Ça va soulever un mouvement de foule et quand je dis un mouvement je parle d'un petit mouvement comme celui des rédacteurs mais, sauf que le mouvement concernera toutes l'universités et franchement je ne sais pas qui va prendre la partie de Brooklyn je suis même sûr que Green ne prendra pas partie, parce qu'on parle quand même de l'université contre Brooklyn il serait con de se mettre conte l'université. Personne n'est assez fou pour faire ça.

Après les cours, je me suis donc mise en route pour la rédaction, il n'y avait pas grand monde mais, le plus important c'est que Green était là et c'est avec lui que je bosse. Du coup je me suis approché de lui, j'ai posé mon sac sur le bureau puis, je me suis assise à côté de lui.

« Qu'est-ce qu'on a ? lui demandais-je.

- Enfin tu es là, il faut que j'y aille, commence-t-il. Donc j'ai imprimé les articles, j'ai fait ma petite annotation manque plus que les tiennes et ta validation, me dit-il en faisant glisser vers moi un petit bloc de feuille.

- Mais, on ne bosse pas ensemble, lui demandais-je en fronçant les sourcils alors qu'il était en train de se lever.

- Si mais, là je ne peux pas, m'informe-t-il. J'ai rendez-vous avec Brooklyn et j'avais complètement oublier qu'on se voyait donc du coup je te laisse gérer, m'informe-t-il en prenant son sac. A plus, me dit-il avant de sortir de la salle. »

J'étais toujours sous le choc le mec me plante comme ça pour aller à un rendez-vous ? Au moins, il a fait sa part c'est le plus important et bon c'est vrai qu'il a une copine et je pense que j'aurais fait la même chose si j'avais un rendez-vous avec Bruno mais, bon il a fait sa part donc ce que je vais faire c'est lire les articles faire mes annotations, validé où pas c'est tout. Alors que je survolais la pile Valensia c'est approché de moi, ce qui m'a intrigué donc j'ai levé le regard sur elle.

« Je peux faire quelque chose pour toi ? Lui demandais-je en m'adossant et m'accoudant à ma chaise.

- J'ai vu que tu as validé le thème de Gavin, commence-t-elle.

- Ouais Brooklyn voulait le faire disparaitre mais, vous m'avez promu pour empêcher ce genre de chose, donc je l'ai gardé, lui répondis-je en levant les yeux en direction du tableau.

- Tu sais ce que ça va engendrer ? me demande-t-elle. »

Où est-ce qu'elle veut en venir ? Evidemment que je sais ce que ça va engendrer mais, pourquoi elle m'en parle ? Elle veut que j'empêche la sortie de cet article ? Elle veut que l'encourage ? Franchement je ne sais pas mais, elle attire encore plus ma curiosité, elle ne vient jamais me voir sans raison.

« Disons que j'ai ma petite idée, lui informais-je.

- ça va déclencher une guerre contre Brooklyn, ajout-elle. Une guerre pour la virer de l'émission, continue-t-elle.

- Je suis au courant, lui informais-je. »

Je ne comprends pas pourquoi elle insiste autant mais, je commence à perdre patience. Si elle ne me dit pas ce qu'elle attend de moi, je ne vais pas tarder à exploser et je n'ai pas envie d'exploser sur elle parce que je l'aime bien et elle est très douer dans se qu'elle fait, elle me fait penser à moi.

« C'est fait exprès, m'informe-t-elle.

- Pourquoi ? lui demandais-je.

- On ne veut pas qu'une étrangère qui a essayé de nous couler présente les informations de notre université, me répondit-elle. Donc on va l'évincer, ajout-elle. Tu en es, me demande-t-elle. »

Je comprends leurs points de vu c'est vrai que c'est un peu étrange qu'une fille qui a essayé de couler investisses de sa personne dans un projet aussi important. Non mais, sérieux elle présente les informations d'une université où elle ne voulait même pas aller. Je comprends qu'ils vieilles se faire entendre après tout ils étaient là avant et elle a fait beaucoup de chose pour nous nuire après c'est vrai qu'on est sensé faire la paix mais, comme Shelby l'a dit une soirée vengeance c'est sympa mais, pas assez.

« Sans moi je n'aime pas comploter, lui informais-je.

- Ouais, c'est ce qu'on m'a dit, m'informe-t-elle. Mais, si tu devais choisir un camp tu te placerais où ? Pour l'université ou pour Brooklyn ? me demande-t-elle.

- Je serai pour l'université qu'elle question, lui répondis-je.

- Dans ce cas c'est plus important parce que bientôt se sera la guerre, ajoute-t-elle avant me laisser à mon bureau. »

Pour des étudiants je trouve qu'on fait un peu trop la guerre entre nous mais, je suppose que c'est comme dans toutes les universités. Tu ne peux pas empêcher une guerre on t'accusera de conspirer contre l'université moi, je n'ai pas envie de me mettre à dos tous les étudiants donc j'œuvre pour l'université, je me bats pour elle. Je m'attends à une nouvelle guerre et je commence à me demander qu'elle en sera l'issu j'ai bien envie de voir l'article qui va déclencher tout ça. Je n'ai pas envie de voir Brooklyn quand elle le lira parce que à mon avis elle va devenir folle et elle va se défouler sur Green pauvre de lui. Il est vraiment tomber sur la pire des copines. Comment il fait pour la supporter d'ailleurs, je me demande au fond de moi comment Bruno me voit, est-ce qu'il trouve que je suis aussi mauvaise que Brooklyn ? Je suis sympa c'est juste que parfois je peux paraitre infecte.

Après avoir fait mon boulot je l'ai placardé sur le tableau puis, j'ai attrapé mon sac et je suis sortie, je suis allée retrouver Bruno dehors pour trainer un peu. Etant donné qu'on ne peut pas trainer dans nos chambres ben on va se contenter de trainer dehors. Donc nous nous sommes données rendez-vous au bord du lac, il avait deux smoothies avec lui.

« Alors cette journée ? me demande-t-il en me tendant mon smoothie.

- Une guerre approche, lui répondis-je en prenant mon smoothie avant de m'asseoir en face de lui. Il va falloir qu'on se tienne près, ajoutais-je.

- Comme à chaque fois, me dit-il en souriant doucement avant de boire une gorger de son smoothie.

- Ouais, on l'habitude, lui répondis-je en souriant doucement avant de prendre possession de ma paille pour boire une gorger de ma boisson. »