Chapitre 15

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NDA: Je suis vraiment désolé pour ce retard et surtout, ce chapitre un peu médiocre. Mais il fallait que je le finisse pour pouvoir ''redémarrer'' on va dire. J'espère qu'il vous plaira, et j'essaierai de poster à allure plus régulière à l'avenir. 

Bonnes lecture mes Chatons! xx ♥

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Edward's P.O.V

''-Harry, bébé, tu devrais faire attention à ce que tu manges. Tu grossis à vue d’œil.'' Nerveux, je vire mon regard vers Nate, avant de le virer comme lui vers Harry qui ne dit rien, et mange son petit-déjeuner, tête basse. Maman n'est que rarement là depuis qu'elle s'est trouvée un nouveau mec, et la première chose qu'elle trouve à faire, c'est une réflexion sur son poids. Très classe.

Sans avoir prononcer un mot, il s'en va quand il a fini. Et sous le regard pressant de Nate, je fais de même. Je le suis et le rejoins dans la chambre juste à temps pour le voir se laisser glisser au sol, sanglotant, le visage enfoui dans ses mains. ''-Haz'.. -Fou moi la paix. -Non. Tu sais que je le ferai pas.'' Il pleure, sanglote, et toujours plus lorsque je le prends dans mes bras. Je sais que ça n'est pas la réflexion sur son poids en elle même qui l'a blessé. Mais plutôt que rien n'ait interpellé notre mère à part ça. Elle aurait pût lui parler du lycée, ou de n'importe quoi, mais il a fallut qu'elle fasse une stupide réflexion emplit de superficialité.

Quand il est plus calme, Harry se lève et se prépare pour le lycée. Pourtant, c'est inscrit sur son visage, dans son regard, il y a une partie de lui qui est détruite, et qui ne demande qu'à être remise sur pied. Mais tout le monde ne peut pas réparer les dégâts. Je ne peux pas, réparer les dégâts.

Finalement, aucun de nous n'est allé en cours aujourd'hui. D'un commun accord, on a attendu que maman parte au travail pour nous installer dans le salon. Malgré la chaleur printanière, Nate et moi avons installer des couvertures sur le sol, des coussins par dizaine. On a vidé les placards de toutes les cochonneries qu'on pouvait trouver avant de nous installer avec Harry, et nous faire un marathon de film, comme lorsqu'on était gosse, et que l'un d'entre nous était malade. Depuis combien de temps n'avions-nous as agit ainsi? Depuis quand, n'avions-nous pas agit, comme des frères? Je ne m'en souviens plus, mais aujourd'hui, c'est comme s'il on se retrouvait.

Nate et moi sommes appuyé contre le sofa, et Harry affalé entre, sur nous. Et ce n'est pas gênant, pour aucun d'entre nous. La proximité ne nous fait pas peur, on se retrouve. Parce que même s'il n'est pas malade, qu'à la fin de la journée, Harry n'ira pas se coucher serein, il a besoin de nous. Comme quand on était gosse, et que maman n'était presque jamais là, on veille les uns sur les autres. On veille sur lui. On veille sur notre petit-frère. 

I am just a Boy. (Larry Stylinson Mpreg) TERMINÉEWhere stories live. Discover now