Chapitre 1 : Un paysage magnifique

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Quoi de plus beau que le sable fin brillant sous tes pieds avec un doux soleil faisant de ta peau une couleur plus foncée ? Que les palmiers s'étendant à perte de vue devant un ciel bleu clair sans le moindre nuage gris ? Et cette mer bleu turquoise infini, bercé par de lourde vague blanche s'échouant au bord de la plage ? Pour moi, voici le paysage idéal, qu'aucun autre peu égalé. Ni même les agréables montages avec leurs sommet blanc, ni ces building succombant la ville de New York, ni même ces plaines à l'herbe bien verte et respirant la campagne. Depuis ma plus tendre enfance je reste planté devant ce décor de la nature, m'émerveillant avec le sourire aux lèvres. Ici tout me fascine : que ce soit les géantes vagues me recouvrant entièrement, ce courant de l'eau qui t'entraine peu importe ta décision, mais également les secrets que la mer peut contenir. De l'extérieur tout peu semblait si calme, harmonieux. Mais lorsqu'on si intéresse de plus près, on découvre à l'intérieur qu'une forme de vie s'instaure. Ces bandes de poissons allant dans une direction bien précise, ces plantes bien placée pour servir de manger à la population marine, cette chaine alimentaires bien faîte. Il existe un défaut, un point noir qui subsiste aux fils des années dans ces mers : la pollution. Et cela, ce n'est pas les habitants de la mer qui font cela, mais les Hommes. Oui, nous humains. J'ai vu un homme du haut de son immeuble jeter un sac plastique, et sans même le voir de mes propres yeux, j'ai vu ce sac parcourir des kilomètres, arrivant dans la mer et croisant la route d'une pauvre tortue qui s'étouffa avec. Sans parler de ces litres de pétroles qui sont déversé dans cette eau, intoxiquant tout poisson et la rendant noir.

Me sortant de mes pensées, je me tourne vers ma mère qui de loin me fait un salut. Je lui souris tendrement comme pour la rassuré. Elle, elle est persuadé que la mer est un piège, et qu'une fois dedans il est facile de ne pas y ressortir. Alors même en ayant 18 ans, ma maternelle continu de vouloir me protéger. Mes pieds touchent l'eau froide, ce qui me donne un petit frisson. Sous la chaleur de l'Andalousie, cela fait un bien fou de pouvoir se rafraîchir. Pour une fois, les vagues ne sont pas si fortes, et c'est avec joie que j'ai amené mon matelas gonflable afin de pouvoir me laisser bercer par le mouvement régulier des vagues. Je m'avance, courant presque mais freiné par la puissance de la mer. Mon masque sur la tête, mon tuba à la main : voilà deux outils que je ne quitte jamais. Une fois que je suis assez loin du sol et sûr que mon matelas ne touchera pas un rocher qui pourrait le percer, et saute dessus riant de pleine bouche. Ici je suis heureuse, ici je me sens libre. Aucun stress, aucun mauvais souvenir... Ici je reprends une nouvelle vie, je suis une autre personne.

-Lidia ! Entendais-je soudainement

Je me redresse, un peu mécontente de devoir faire un tel effort, et j'observe ma mère qui cri mon prénom

-Dans une heure nous entrons, ne t'éloigne pas trop. Cri-t-elle

Comme simple réponse je lève un pouce et me rallonge brusquement. Durant ma bronzette en pleine mer, je m'autorise à repensé à pleins de souvenirs agréables. Tout en rêvassant je tortille à l'aide de mon doigt, mes cheveux bruns. Mon autre main, je la laisse trainer dans l'eau claire, tout en m'éclaboussant un peu. Le soleil caresse ma peau, et je me sens bien. Juste une petite soif à étanché qui commence à peine à me déranger. Alors que je me redresse afin de rejoindre le bord pour boire une bonne gorgée d'eau fraiche, je regarde l'alentour avec admiration. Soudain un souvenir surgit en moi. J'étais petite fille encore, peut-être 5 ans, ou bien 7 ans tout au plus, j'étais près d'une plage et mes pieds trainer dans l'eau. L'immensité m'attirer, et me rendait heureuse. C'est donc en regardant la mer, que j'ai regardé le point le plus loin que mes yeux pouvaient voir, et j'ai dit « Si je pouvais, je resterais ici pour toujours ! ». Je ne pensais pas que, ce qui était à l'époque un rêve, deviendrais presque réalité.

***

hey ! Voilà le premier chapitre, alors alors ? Des points noirs : dîtes le moi ! Donnez-moi votre avis le plus sincère ! Sinon premier chapitre un peu court mais pour introduire la suite. Hâte de voir vos commentaires ♥

Perdu en merWhere stories live. Discover now