Chapitre 4

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Je cours, depuis 1 heure je cours. Je suis fatiguée, j'ai mal au jambe, je pleure, je hurle mais rien n'y fait. Non j'ai toujours aussi mal. Dire que c'était il y a 4 mois la dernière fois où il poser ses mains sur mon corp. Je suis torturée par son sourire.

J'avais besoin d'en parler mais à qui ? Mes frères ? Pas là. Ma mère ? Pas là. Mon père ? Pas là. Je peux pas en parler aux autres, sinon il serait qui je serais, il serait que je suis Lou, Lou Volgones, le fille violer par son copain depuis ces 13 ans, qui n'en n'a presque jamais parler. J'aurais dû, mais bon...

Je remonta le chemin à la maison, je suis fatiguée, les larmes ne coulent plus, mon visage est devenu comme avant, normal, on dirait pas que j'ai pleuré, j'arrive devant la maison. Je peux pas entrer comme ça ? Trop tard pour les pensées, la porte s'ouvre, derrière, Tokyo.

《Je suis désolé, dit-elle en baissant les yeux, je me suis emportée, je sais même pas pourquoi j'ai dit ça.

- T'inquiète pas, y'a rien de méchant et puis je me suis aussi un peu emportée de mon côté, désolé aussi.

- Tu rentre les autres sont dehors on profite du soleil.

- Euh ouais je vais juste me changer.

Je monta en vitesse dans ma chambre avec Tokyo derrière moi, je mis un jean bleu simple avec un tee shirt jaune un peu trop grand étant donné qu'il était à mon frère et que ce dernier faisait 1m80... Je mis des basket en pris ma veste en cuir. On descendit en bas toute les deux.

《Une revenante ha non deux revenantes ! Cria Denver

- Haha t'inquiète j'étais pas bien loin bref je suis désolé de mettre emporter.

- T'inquiète ma ptite c'est rien》 rigola Moscou.

Je souris, heureuse de retrouver cette sensation familiale.

《Et dites professeur on fait quoi si ça rate ? Dit Rio

- Ça ne ratera pas, dit Berlin

- Eh bien on reviens comme avant, en taule avec aucune visite et deux trois crevettes pour noël, mon choux, argumenta Nairobie

- Dites avec tout l'argent qu'on aura vous ferait quoi avec ?

- Moi j'me paye une boite de nuit à trois étages avec de la musique à fond, poum poum pam, poum poum pam. Dit Denver

- Arrête de faire le con

- Et pour toi papa je t'achete des poumons

- N'importe quoi , dit Moscou

- Et tu vas les trouver où tes poumons gros malin, dis-je pour taquiner Denver

- Je sais y'en a bien qui vendent leur rein alors pourquoi pas des poumons.

- Moi je me prend une île, dit Tokyo

- Prend en trois, rigola Rio

-  Trois c'est trop

- Bah moi je me prend une petite île et je construis un maison au bord de l'eau et comme il y aura un balcon, le matin je saute du balcon et hop dans l'eau, le paradis

- Bah voilà quelqu'un qui en a dans la crâne

- Moi je m'acheter plusieurs hectare en province et je fabrique mon vin, dit Berlin avec un verre de vin à la main pour accompagner ces propos.

- Tu vas dans un super marché et tu t'achete tout les vins que tu veux, dit Rio

- Pour l'art, dit-il tout simplement.

- Moi je règle deux ou trois choses et je me prend un avion avec le reste de l'argent

- Avec un beau pilote, demande-je en me servant un verre de vin

- Nan parce que je veux dire "dégager la piste la folle de service arrive "

On rit tous à ces propos, je vis Rio et Tokyo se regardaient tendrement, tien tien, ces deux la nous cache quelque chose, je releva le regard et croisa celui de Berlin, on resta un moment bloqué comme ça. Le temps sembla s'arrêter, je ne sais pas quel était cette sensation mais je me sentais bien à ce moment là.

- Et toi Ravenne ? me demanda Nairobie

- Un tour du monde avec ma famille, je me leva, je passerai pas les îles de Tokyo et Rio, je posa ma main sur leurs épaules, je m'arrête a la boîte de Denver, je lui adressa un clin d'oeil, je prend l'avion de Nairobie et je vais en province voir Berlin, je passa devant lui en faisant claquer nos verres de vin, un sourire s'affiche sur ses lèvres, et je me pose sur un île tranquillement je faisais construire une immense maison comme ça toute la famille pourra loger et vous mourrais venir quand vous voulez,  termine-je en me mettant sur un fauteuil.

- J'adore ton plan, me dit Denver

- Il vous restera quand même un peu d'argent, nous rappela le prof

- Moi j'enregiste un disque de corrido, et je faisais cette tête sur la pochette, il fait une grimace.

- Montre leur comment tu chante papa

- Non désolé gamin

- Oh aller Moscou, insiste-je

Je l'avais déjà entendu chanter et j'adorai sa voix. Il se mit donc à chanter, cette chanson que Denver, Moscou et moi chantions quand on était réunis.

-María, vi vida, mi amor.

Denver se mit à chanter avec son père, tout les souvenir de mon jeunesse avec Denver me revienrent en tête, les rires, les pleurs, les câlins, tout.

Les autres se mirent à danser, seul le prof et Berlin ne dansèrent pas. Moi je passer des bras de Denver à Moscou mais ce que j'ignorais c'était le regard que Berlin me portait.

Chapitre terminé je sais pas comment je vais faire pour poster maintenant car en plus de la reprise des cours je suis à l'internat dans je pense poster les samedis. Voilà que pensais vous de ce chapitre ?

Your Smile (casa de papel)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant