Chapitre 5

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Après que Moscou termina sa chanson, je sortie sur le balcon, mon verre de vin à la main, la nuit commençait à tomber sur la prairie de Tolède. J'étais en débardeur blanc avec un jean noir à troue. Je me mis à chanter une chanson, cette chanson je l'aimais tellement. C'était mon père qui me l'avais appris. Mon frère et moi adorons la chanter tous les deux mais malheureusement cela n'est plus possible.
Des images de lui et moi, heureux avant qu'il ne parte chez les militaires et moi qui croyais que j'avais fait un bêtise, non c'était juste sa putain de vocation de merde, même si je le voyait de temps en temps tout cela était dure pour moi, imaginait votre jumeau partir dans un pays de guerre et ne revenir que tout les 36 du mois...Le plus dure pour moi cela a était quand j'ai du me remettre de tous ce que cet enfoiré m'a fait, je me rappel tellement des détail même au jours d'aujourd'hui, son visage,son corps, sa voix et surtout son nom, Mathieu.... Comme mon frère, quelle drôle de coïncidence.

Je n'avais pas vu le temps passer, la nuit m'entourait complètement? lorsque j'accorda un regard à la salle à manger je constata avec étonnement que plus personne n'était là, sauf une, bien évidement, Berlin était  toujours assis à la table, son verre de vin dans la main, il semblait complètement perdu dans pensées. Cet homme me fascinait, même si cela de faisait que 2 semaines que nous étions là, nous nous étions quand même bien rapprocher malgré les règles du prof... Je pris alors la décision d'aller le voir, enfin mes jambes m'y amenèrent sans que mon esprit ne se soit poser la question.

Pdv Berlin 

J'était dans la salle à manger, seul, après la discussion que je venais d'avoir avec Denver, j'avais besoin de rester seul, pourquoi me diriez vous ? Parce que d'après ce petit con je ne suis qu'un connard qui fait du mal au femme ! Je pense qu'il avait vu que Ravenne et moi nous nous étions rapprochés et cela ne lui avait pas plus. La poignée de la porte se baissa et je vis alors celle qui me tourmentait, Ravenne. Elle me sourria doucement, je lui rendit.

<< Alors comme ça, la plus petite de la bande ne dors pas, allons les enfants devraient dormir depuis longtemps, lui dis-je

- Je fait partie des enfants qui sont exceptés de la règle, puisque je ne suis pas une enfant Berlin

Je leva un sourcil pour montrer mon étonnement, elle se mit à rire doucement pour ne pas réveiller les autres sans doute.

-Dit moi Berlin on est quoi ? me demanda-t-elle sérieusement

-Comment ça ?

-Tu ne comprend pas ?

-Non Ravenne mais éclaire moi, je t'en pris, dis-je malicieusement

- Les petits regards que tu m'accordes à chaque fois que je suis dans ton ventre de vision... Les sourires que tu me fais discrètement lorsqu'on est en face a table...

- Et bien je pourrais te répondre en disant que je ne sais pas, mais malheureusement le mensonge n'es pas de mon ressort, dis-je en me levant pour me mettre devant elle, mais tout ceci me préoccupe ma chère  autant que toi.

- Ça ne répond pas à ma question Berlin...

- Et bien je pourrais te répondre que c'est tout simplement de l'attirance ?

- Cela voudrais que le grand berlin serait attiré par la petite Ravenne, c'est à dire moi ?

- Exactement, au moment où j'ai prononcer ces mots j'ai posé mes mains sur ses hanches et elle derrière ma nuque.


Le retour ?  Oui oui oui c'est gagner !! Pardon. Bon je suis de retour après ce long moment d'absence. Pourquoi ?  Alors parce que j'ai des cours à suivre et que cela deviens assez compliquer. Pour tout vous dire j'ai du remonter ma moyenne qui était de 8 à 13.... Haha superrr ! Bref maintenant ça va beaucoup mieux, j'ai hâte de vous publier la suite. Bisous mes chats🌸

                             Fanny

Your Smile (casa de papel)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant